Différences entre les versions de « Adolf Hitler »
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Version du 2 novembre 2013 à 15:45
Revolution
« À toutes époques révolutionnaires, les événements ont été produits non par les mots écrits, mais par les mots parlés. »
- Adolf Hitler, Mein Kampf
Socialism
"We are socialist, we are enemies of today's capitalistic economic system for the exploitation of the economically weak, with its unfair salaries, with its unseemly evaluation of a human beings according to wealth and property instead of responsibility and performance, and we are all determined to destroy this system under all conditions."
- Adolf Hitler, Hitler's speech on May 1, 1927. Cited in Toland, J. (1976) Adolf Hitler Garden City, N.Y. : Doubleday Speech. May 1, 1927. p. 224
- « Nous sommes socialistes, et ennemis du système économique capitaliste actuel, qui exploite les économiquement faibles, avec ses salaires injustes, qui évalue un être humain selon sa richesse et ses biens et non selon la responsabilité et la performance, et nous sommes déterminés à détruire ce système à tout prix. »
- Adolf Hitler, discours du 1er mai 1927 à Munich
« Il y a plus de choses qui nous lient au communisme que des choses qui nous en séparent. Il y a par-dessus tout le sentiment révolutionnaire. J'en ai toujours tenu compte et j'ai donné des ordres pour que les anciens communistes soient admis au Parti aussitôt. Le social-démocrate et le syndicaliste petit-bourgeois ne seront jamais nationaux-socialistes, mais le communiste le sera toujours. »
- Adolf Hitler, à Hermann Rauschning
Nationalism
« Transformer un peuple en nation présuppose la création d'un milieu social sain, plateforme nécessaire pour l'éducation de l'individu. Seul, celui qui aura appris, dans sa famille et à l'école, à apprécier la grandeur intellectuelle, économique et surtout politique de son pays, pourra ressentir - et ressentira - l'orgueil de lui appartenir. On ne combat que pour ce que l'on aime; on n'aime que ce qu'on estime; et pour estimer, il faut au moins connaître. »
- Adolf Hitler, Mein Kampf
« Il est nécessaire que l’individu réalise que son propre égo n’a pas d’importance par rapport à l’existence de sa Nation ; que son ego doit être encadré par les besoins de sa Nation dans son ensemble. D’autant plus que l’esprit de la Nation vaut beaucoup plus que les simples libertés et volontés d’un seul individu. Cet esprit national, qui subordonne les intérêts de l’ego individuel aux besoins de la communauté, est le premier principe de toute culture humaine. Nous devons accepter que l’individu doive faire des sacrifices pour sa communauté et pour son prochain. »
« Si le danger n’avait pas existé que le péril rouge submergeât l’Europe, je n’eusse pas contrecarré la révolution en Espagne. Le clergé eût été exterminé. »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion
« La principale activité des curés consiste à saper la politique nationale-socialiste. »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion
« Attendons la fin de la guerre, et un terme sera mis au Concordat. Je me réserve le plaisir de rappeler moi-même à l’Église les nombreux cas où elle l’a violé. Qu’on songe, par exemple, à la collusion de l’Église avec les meurtriers de Heydrich. Non seulement des prêtres leur ont permis de se cacher dans une église de la banlieue de Prague. Mais ils leur ont permis de se terrer dans le sanctuaire de cette église. »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion
« L'État est le contenant et la race est le contenu. »
- Adolf Hitler, Mein Kampf
« Le terrorisme est la meilleure arme politique, puisque rien ne fait réagir davantage les gens que la peur d'une mort soudaine. »
« Le Fuehrer est le Parti et le Parti est le Fuehrer. Juste comme je me sens moi-même une partie seulement du Parti, le Parti se sent lui-même seulement comme une partie de moi. »
- Adolf Hitler, congrès Nazi, 1935
« Nous n’avons rien à perdre et tout à gagner. Étant données les contraintes qui pèsent sur nous, notre situation économique ne nous permet pas de tenir plus de quelques années. Göring peut le confirmer. Nous n’avons pas d’autre choix. »
- Adolf Hitler, cité par Ian Kershaw, Qu’est-ce que le Nazisme ? Problèmes et perspectives d’interprétation, Gallimard, 2008, p. 117
« Les facultés civilisatrices et constructives de l'Aryen n'ont pas leur source dans ses dons intellectuels. S'il n'avait que ceux-là, il ne pourrait agir que comme destructeur, mais jamais comme organisateur. Car la condition essentielle de toute organisation, c'est que l'individu renonce à faire prévaloir son opinion personnelle aussi bien que ses intérêts particuliers, et les sacrifie su profit de la communauté. C'est par ce détour qu'en se sacrifiant au bien général, il reçoit sa part. Par exemple, il ne travaille pas directement pour lui-même, mais il agit dans le cadre de l'ensemble, non pas pour son utilité personnelle, mais pour le bien de tous. Son expression favorite : « le travail », éclaire admirablement cette disposition d'esprit ; il n'entend pas par là une activité servant uniquement à conserver sa propre vie, mais qui est en connexion avec les intérêts de la communauté des hommes. Dans le cas contraire, il donne à l'activité humaine égoïste, étayant seulement l'instinct de conservation sans souci du reste du monde, le nom de vol, usure, brigandage, spoliation. »
- Adolf Hitler, Mein Kampf
Liberty
« Un très haut degré de liberté individuelle n'est pas nécessairement le signe d'un haut degré de civilisation. Au contraire, c'est la limitation de cette liberté, dans le cadre d'une organisation qui comprend les hommes de la même race, qui est le marqueur réel du degré de civilisation atteint. Si les hommes recevaient une entière liberté d'action, ils se comporteraient immédiatement comme des singes. Desserrez les rênes du pouvoir, donnez plus de liberté à l'individu et vous conduirez le peuple à la décadence. »
- Adolf Hitler, Conversations de Table, 1941-1944
Race
"What we must fight for is to safeguard the existence and reproduction of our race and our people, the sustenance of our children and the purity of our blood, the freedom and independence of the fatherland, so that our people may mature for the fulfillment of the mission allotted it by the creator of the universe. Every thought and every idea, every doctrine and all knowledge, must serve this purpose. And everything must be examined from this point of view and used or rejected according to its utility."
- Adolf Hitler, Mein Kampf, Volume 1, Chapter 8
Christianity
« Le plus grand fardeau de l’humanité, c’est le christianisme. Le marxisme est l'enfant du christianisme. Tout ça c'est l'invention des juifs. »
- Adolf Hitler, 1944
« Le coup le plus dur qui ait frappé l’humanité, c’est l’avènement du christianisme. »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion
« Si le monde antique a été si pur, si léger, si serein, c’est parce qu’il a ignoré ces deux fléaux : la vérole et le christianisme. »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion
« Le christianisme a retardé de mille ans l’épanouissement du monde germanique. »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion
« L’Église catholique n’a qu’un seul désir, c’est notre effondrement. »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion
« Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. Pourquoi n'avons nous pas la religion des Japonais, pour qui se sacrifier à sa patrie est le bien suprême ? La religion musulmane aussi serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante. »
- Adolf Hitler, Au cœur du troisième Reich, Albert Speer, propos d'Adolf Hitler, éd. Fayard, 1971, p. 138
« Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel... Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés. »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, t. 2, 28 août 1942, p. 297
« La conclusion du concordat me paraît apporter la garantie suffisante que les citoyens du Reich de confession catholique se mettront dorénavant sans réserve au service du nouvel État national-socialiste. »
- Adolf Hitler, communiqué publié dans la presse allemande le 10 juillet 1933
« L'on peut parler de la réussite des nouveaux peuplements dans le cas des continents pratiquement vides. Cela explique les États-Unis d'Amérique, cela explique l'Australie. Des réussites, d'accord. Mais uniquement sur le plan matériel. Ce sont des constructions artificielles, des corps sans âge, dont on ignore s'ils ont dépassé l'état d'enfance ou s'ils sont touchés déjà par la sénilité. Dans les continents habités ; l'échec fut encore plus marqué. Là, les blancs ne se sont imposés que par la force, et leur action sur les habitants a été quasiment nulle. Les Hindous sont restés des Hindous, les Chinois des Chinois, les Musulmans des Musulmans. Pas de transformations profondes, sur le plan religieux moins que sur les autres et en dépit de l'effort gigantesque des missions chrétiennes. D'assez rares cas de conversions, et dont presque toujours l'on peut suspecter la sincérité, à moins qu'il ne s'agisse de simples d'esprit. Les blancs ont toutefois apporté quelque chose à ces peuples [colonisés], le pire qu’ils pussent leur apporter, les plaies du monde qui est le nôtre : le matérialisme, le fanatisme, l’alcoolisme et la syphilis. Pour le reste, ce que ces peuples possédaient en propre étant supérieur à ce que nous pouvions leur donner, ils sont demeurés eux-mêmes [...] Une seule réussite à l’actif des colonisateurs : ils ont partout suscité la haine. Cette haine qui pousse tous ces peuples, réveillés par nous de leur sommeil, à nous chasser. Il semble même qu'ils ne se soient réveillés que pour cela ! Qu'on me dise si la colonisation a fait augmenter le nombre des chrétiens par le monde ! Où sont les conversions en masse qui font le succès de l'Islam ? Je vois, çà et là, des îlots de chrétiens, de nom plus encore que de fait. Voilà tout le succès de cette magnifique religion chrétienne, détentrice de la suprême vérité ! »
- Adolf Hitler, Testament politique d’Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 7 février 1945, p. 71-72
Islam
"The only religion I respect is Islam. The only prophet I admire is the Prophet Muhammad."
- Adolf Hitler, quoted by Ahmed Huber, Kevin Coogan, "The Mysterious Achmed Huber: Friend to Hitler, Allah … and Ibn Laden?", in: Hit List Vol. 3 (avril/mai 2002), p. 120-125
« L'allié italien nous a gênés presque partout. C'est ce qui nous a empêchés, en Afrique du Nord, par exemple, de faire une politique révolutionnaire [...] Seuls, nous aurions pu émanciper les pays musulmans dominés par la France. Cela aurait eu un retentissement énorme en Égypte et dans le Proche-Orient asservis par les Anglais. D'avoir notre sort lié à celui des Italiens, cela rendait une telle politique impossible. Tout l'Islam vibrait à l'annonce de nos victoires. Les Égyptiens, les Irakiens et le Proche-Orient tout entier étaient prêts à se soulever. Que pouvions-nous faire pour les aider, pour les pousser même, comme c'eût été notre intérêt et notre devoir. La présence à nos côtés des Italiens nous paralysait, et elle créait un malaise chez nos amis de l'Islam, car ils voyaient en nous des complices, volontaires ou non, de leurs oppresseurs [...] Le souvenir des barbares représailles exercées contre les Senoussis y est toujours vivant. Et d'autre part la ridicule prétention du Duce d'être considéré comme le "Glaive de l'Islam" entretient encore le long ricanement qu'elle suscita avant la guerre. Ce titre qui convient à Mahomet et à un grand conquérant comme Omar, Mussolini se l'était fait donner par quelques pauvres bougres, qu'il avait payés ou terrorisés. Il y avait une grande politique à faire à l'égard de l'Islam. C'est raté - comme tant d'autres choses que nous avons ratées par fidélité à l'alliance italienne ! Les Italiens, sur ce théâtre d'opérations, nous ont donc empêchés de jouer l'une de nos meilleures cartes : qui consistait à émanciper tous les protégés français et à soulever les pays opprimés par les Britanniques. Cette politique aurait suscité l'enthousiasme dans tout l'Islam. C'est en effet une particularité du monde musulman que ce qui touche les uns, en bien ou en mal, y est ressenti par tous les autres, des rives de l'Atlantique à celles du Pacifique. »
- Adolf Hitler, Testament politique d'Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 17 février 1945, p. 100
« L'époque arabe fut l'âge d'or de l'Espagne la plus civilisée. Puis vint l'époque des persécutions toujours recommencées. »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, 1er août 1942, p. 227
« Les peuples régis par l'Islam seront toujours plus proches de nous que la France, par exemple, en dépit de la parenté du sang qui coule dans nos veines. Le malheur veut que la France ait dégénéré au cours des siècles et que ses élites aient été subverties par l'esprit juif. Cela a pris de telles proportions que cela est irréparable. La France est condamnée à faire une politique juive. »
- Adolf Hitler, Testament politique d'Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 2 avril 1945, p. 180
« La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes. »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, 28 août 1942, p. 297
« Je conçois que l'on puisse s'enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais le fade paradis des chrétiens ! »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 13 décembre 1941, p. 141
« On doit garantir à tous les membres musulmans des Waffen-SS et de la police le droit indiscutable, prévu par leur religion, à ne pas manger de la viande de porc et à ne pas boire de boissons alcooliques. Il faudra leur garantir des menus équivalents. [...] Je ne veux pas que, par la stupidité et l'étroitesse d'esprit de quelques individus isolés, un seul de ces héroïques volontaires eut à ressentir une gêne et à se croire privé des droits qui leur ont été assurés. [...] J’ordonne que chaque infraction à ces dispositions soit punie sans la moindre hésitation et qu'on m'en rende compte. »
- Adolf Hitler, 6 août 1943
Environmentalism
« Je crois que celui qui contemple l’univers avec des yeux grands ouverts est l’homme le plus naturellement pieux : pas dans le sens où l’entendent les religions, mais dans le sens d’un accord intime avec les choses. »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, t. 1, p. 6
« Celui qui vit en communion avec la nature entre nécessairement en opposition avec les Églises. Et c’est pourquoi elles vont à leur perte ― car la science doit remporter la victoire. »
- Adolf Hitler, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, t. 1, pp. 61-62
"In the new Reich, no more animal cruelty will be allowed."
- « Dans le nouveau Reich il ne devra plus y avoir de place pour la cruauté des bêtes. »
- „Im neuen Reich darf es keine Tierquälerei mehr geben.“
Art
« La seule réalisation impérissable du travail et de l'énergie humaine, c'est l'art. »
- Adolf Hitler, Ma doctrine
Israel
« Si seulement on avait placé devant les gaz ennemis 14 000 Hébreux intellectuels corrupteurs, l'Allemagne n'aurait pas perdu la guerre. »
- Adolf Hitler, Mein Kampf
« Je serai encore un prophète. Si la finance juive internationale en Europe et hors d'Europe devait parvenir encore une fois à précipiter les peuples dans une guerre mondiale, alors le résultat serait l'anéantissement de la race juive. »
- Adolf Hitler, discours devant le Bundestag, 30 janvier 1939
« Il me serait difficile aujourd'hui, sinon impossible, de dire à quelle époque le nom de Juif éveilla pour la première fois en moi des idées particulières. Je ne me souviens pas d'avoir entendu prononcer ce mot dans la maison paternelle du vivant de mon père. Je crois que ce digne homme aurait considéré comme arriérés des gens qui auraient prononcé ce nom sur un certain ton. Il avait, au cours de sa vie, fini par incliner à un cosmopolitisme plus ou moins déclaré qui, non seulement avait pu s imposer à son esprit malgré ses convictions nationales très fermes, mais avait déteint sur moi.
A l'école, rien ne me conduisit à modifier les idées prises à la maison.
A la Realschule je fis bien la connaissance d'un jeune Juif avec lequel nous nous tenions tous sur nos gardes, mais simplement parce que différents incidents nous avaient amenés à n'avoir dans sa discrétion qu'une confiance très limitée. D'ailleurs, ni mes camarades, ni moi, nous ne tirâmes de ce fait des conclusions particulières.
Ce fut seulement quand j'eus quatorze ou quinze ans que je tombai fréquemment sur le mot de Juif, surtout quand on causait politique. Ces propos m'inspiraient une légère aversion et je ne pouvais m'empêcher d'éprouver le sentiment désagréable qu'éveillaient chez moi, lorsque j'en étais témoin, les querelles au sujet des confessions religieuses.
A cette époque, je ne voyais pas la question sous un autre aspect.
Il n'y avait que très peu de Juifs à Linz. Au cours des siècles ils s'étaient européanisés extérieurement et ils ressemblaient aux autres hommes ; je les tenais même pour des Allemands. Je n'apercevais pas l'absurdité de cette illusion, parce que leur religion étrangère me semblait la seule différence qui existât entre eux et nous. Persuadé qu'ils avaient été persécutés pour leurs croyances, les propos défavorables tenus sur leur compte m'inspiraient une antipathie qui, parfois, allait presque jusqu'à l'horreur.
Je ne soupçonnais pas encore qu'il pût y avoir des adversaires systématiques des Juifs. »
- Adolf Hitler, Mein Kampf, p. 27
Politics
« Je suis prêt à parapher et à signer tout ce qu'on voudra. Je ferai toutes les concessions pour rester libre de poursuivre ma politique. Je garantirai toutes les frontières, je conclurai tous les pactes de non-agression et les pactes d'amitié que l'on me demandera. Il serait enfantin de ma part de ne pas me servir de ces moyens, sous prétexte qu'un jour peut-être je devrai violer mes engagements les plus solennels. Il n'y a pas de pacte solennel qui, tôt ou tard, n'ait été rompu ou ne soit devenu caduc. Il n'existe pas de contrats éternels. L'homme scrupuleux qui se croit obligé de consulter sa conscience avant de donner sa signature n'est qu'un nigaud : qu'il se tienne à l'écart de la politique. »
- Adolf Hitler, reporté par Hermann Rauschning dans Hitler m'a dit, première édition, en langue allemande, publiée en Suisse en 1939, version française publiée dans la collection Pluriel, Le Livre de Poche, 1979 p. 168
Journalism
« Si vous désirez la sympathie des masses, vous devez leur dire les choses les plus stupides et les plus crues. »
- Adolf Hitler, Mein Kampf
« Toute propagande efficace doit se limiter à des points fort peu nombreux et les faire valoir à coups de formules stéréotypées aussi longtemps qu'il le faudra, pour que le dernier des auditeurs soit à même de saisir l'idée. »
- Adolf Hitler, Mein Kampf
Truth
« Faites un gros mensonge, faites-le simple, continuez à le répéter et, éventuellement, ils le croiront tous. »
Miscellaneous
"The most foolish mistake we could possibly make would be to allow the subject races to possess arms. History shows that all conquerors who have allowed the subject races to carry arms have prepared their own downfall by so doing. Indeed, I would go so far as to say that the supply of arms to the underdogs is a sine qua non for the overthrow of any sovereignty."
- Adolf Hitler, edict of March 18, 1938, H.R. Trevor-Roper, Hitler's Table Talks 1941-1944 (London: Widenfeld and Nicolson, 1953, p. 425-426), 1938(9?)-03-18
« De quoi vivrait l'Église, si ce n'est du péché de ses fidèles ? »
Quotes about Adolf Hitler
« Ou bien je me trompe vraiment beaucoup, ou bien tout cela ne se terminera pas bien. Cet être-là est entièrement possédé de lui-même : tout ce qu'il dit et écrit porte l'empreinte de son égoïsme ; c'est un homme à enjamber des cadavres et à fouler aux pieds tout ce qui est en travers de son chemin - je n'arrive pas à comprendre que tant de gens en Allemagne, même parmi les meilleurs, ne voient pas cela, ou du moins ne tirent aucune leçon de ce qu'il écrit et dit. - Qui parmi tous ces gens, a seulement lu ce livre à faire dresser les cheveux sur la tête qu'est Mein Kampf ? »
- Pie XII, cité par Andrea Tornielli dans sa biographie sur Pie XII, éditions Tempora
« Tout Français doit lire ce livre. »
- Hubert Lyautey, à propos de Mein Kampf d'Adolf Hitler
« C'est très réellement le chef-d'œuvre du crétinisme excité... Cette lecture m'a affligé. »
- Robert Brasillach, après avoir lu Mein Kampf en 1935, Philippe d'Hugues, « Brasillac et l'Allemagne », La Nouvelle Revue d'Histoire, n° 50, septembre-octobre 2010, p. 45-48
« On peut ne pas aimer le système de Hitler et admirer cependant l'oeuvre patriotique qu'il a accomplie. Si jamais notre peuple connaissait la défaite, j'éspère que nous trouverions un champion aussi indomptable que lui, pour nous rendre notre courage et nous conduire de nouveau à la place qui nous revient dans le concert des nations. »
- Winston Churchill, cité par Emrys Hughes, Winston Churchill his career in War and Peace, Glasgow , 1950, page 144
« La religion d'Hitler est la plus proche qui soit de l'islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l'islamisme, elle prêche la vertu de l'épée. »
- Carl Gustav Jung, C. G. Jung parle : Rencontres et interviews (1936), Buchet-Chastel, 1985, p. 94
« Durant les terribles bouleversements qui se déroulèrent en Europe, le caporal Hitler a mené son combat, long et difficile, pour conquérir le cœur des hommes. On ne peut lire qu’avec admiration l’histoire de ce combat pour le courage, la persévérance et la force vitale dont il a fait preuve, qui l’ont incité à surmonter toutes les résistances qui se sont opposées à lui. Par son ardeur et son amour de la patrie, il a prouvé, et avec lui les légions sans cesses grandissantes de ceux qui se sont joints à lui, que rien n’était impossible, que tout pouvait être tenté et qu’ils étaient prêts aussi bien à y laisser leur vie, leur santé et leur liberté qu’à perdre leurs ennemis. »
- Winston Churchill, "The Truth about Hitler", Strand Magazine, novembre 1935
« Hitler, ce Mahomet du Tyrol. »
- Maurice G. Dantec, American Black Box (2006), éd. Albin Michel, coll. Livre de Poche, 2009, p. 374
« Hitler était un génie militaire inégalé. Le nazisme a fait passer l’Allemagne d’un bas niveau à un niveau physique et idéologique fantastique. Les jeunes loqueteux ont été transformés en une catégorie propre et ordonnée de la société et l’Allemagne a disposé d’un régime exemplaire, d’un système de justice adéquat et de l’ordre public. Hitler aimait la bonne musique. Il pouvait peindre. Les nazis n’étaient pas une bande de voyous. »
- Moshe Feiglin, entretien au quotidien Haaretz, 1995
« Nous ne savons pas si Hitler est sur le point de fonder un nouvel islam. Il est d'ores et déjà sur la voie ; il ressemble à Mahomet. L'émotion en Allemagne est islamique, guerrière et islamique. Ils sont tous ivres d’un dieu farouche. »
- Carl Gustav Jung, La vie symbolique (1939), Albin Michel, 1989, p. 151
« [Ce] livre qui, répandu en Allemagne à plus d'un million d'exemplaires, a eu sur l'orientation soudaine de tout un peuple une influence telle, qu'il faut, pour en trouver l'analogue, remonter au Coran. » Hitler ayant « obstinément refusé de laisser publier en français [... nous] avons pensé qu'il était de l'intérêt national de passer outre à ce refus, quelles que puissent être pour nous-mêmes et pour la jeune maison que nous avons fondée les conséquences de notre initiative. »
- Fernand Sorlot, premier éditeur français de Mein Kampf en 1934
« Je n’ai pas traduit Mein Kampf sans but ni raison. [...] Le livre constitue le dogme du parti qui mène l’Allemagne actuelle, dogme d’une agissante majorité, dogme demain de l’Allemagne entière. Je dis bien dogme, et je pense au Coran. [...] Il faut se mettre sur un plan largement humain. L’ouvrage même autorise à le faire. Il s’agit d’un document ample, tiré à près d’un million d’exemplaires en Allemagne, traduit dans plusieurs pays. Il a été écrit par un Allemand pour les Allemands, mais il touche des problèmes politiques, sociaux, et de morale, qui se posent à tous les peuples. La traduction en est intégrale : on n’a pas le droit, sur quinze ou sur cent versets du Coran, de parler de l’islamisme, ni, sur dix pages de Mein Kampf de parler de l’hitlérisme ; et la lecture des passages secondaires sera aussi féconde que celle des passages réputés essentiels. »
- André Calmettes, premier traducteur en français de Mein Kampf, Journal de l'École polytechnique, 25 février 1934
« La persécution systématique des Juifs a été une erreur d'Hitler, car elle est une mesure située hors du contrat fasciste. Il y a des sans-parti dans un régime fasciste, comme il y a des spectateurs sur le parcours d'un défilé. S'ils se tiennent tranquillles, pourquoi les ennuyer ? »
- Maurice Bardèche, Qu'est-ce que le fascisme ?, éd. Les Sept Couleur, 1962, Le Fascisme germanique, p. 44
« Hitler était très sensible à l’islam, ça c’est vrai. Mais d’autre part il savait les possibilités immenses que représentait l’islam pour une Europe unie. [...] C'est un homme profondément religieux, quoiqu'on en pense. Et qui est resté tout le temps catholique. Il était anti-clérical, c'est autre chose, parce que le clergé politique, avant Hitler, avait été féroce contre le National-Socialisme. Et puis après avait été à plat ventre, comme ça c'est toujours passé : l'église a toujours été en retard puis se précipite aux pieds du vainqueur... Bon, et alors Hitler avait pris ces musulmans, avait ouvert ses rangs aux musulmans, parce que, tôt ou tard, l’Europe allait avoir besoin de cet immense monde musulman, et que c'était proche, et qu'il fallait avoir là des camarades. Et ce que Hitler voulait c’est former des divisions de jeunes SS, Waffen SS musulmans, qui après ça feraient dans leur pays la transformation nationale et socialiste ce qui ferait qu’on aurait lutté en camarades , au lieu d'être livrés comme maintenant à d'abominables disputes d'intérêt. Et c’est... à tel point que j’ai vu, au nouvel an 45, les 60.000 Waffen SS (musulmans) recevoir d’Hitler une petite chaînette en or avec un coran : chacun recevait un coran, comme souvenir. »
- Léon Degrelle, interview réalisée en 1978
« Le Troisième Reich est une menace pour la France : soyons forts, prenons nos précautions, armons-nous. Mais n’injurions pas. Tous ces messieurs de la gauche prolongent sur le plan extérieur leurs haines de partisans. »
- Pierre Gaxotte, Je suis partout, 18 mars 1933
« Entre le bolchevisme et le hitlérisme, il y a beaucoup moins de différences qu'entre le bolchevisme et la monarchie anglaise. La révolution allemande s'est accomplie dans un pays qui était en avance de plusieurs siècles sur la Russie des tsars. L'expérience de socialisation s'accomplit à un niveau supérieur, sur un peuple depuis longtemps dressé à une exacte discipline et qui a le fonctionnarisme dans le sang. Ce n'en est pas moins de la socialisation. Hitler est aussi antibourgeois et aussi anticapitaliste que Staline. »
- Pierre Gaxotte, La Nation Belge, 29 mars 1939
« Puisqu'il s'agit toujours de tenir l'Allemagne en respect, de la mettre en garde contre elle même et contre le renouvellement de sa folie, le mieux serait de l'inspirer une crainte salutaire par la supériorité évidente des forces. »
- Pierre Gaxotte, La Nation Belge, 4 janvier 1937
"I have spent most of my life, since I was your age, studying Germanic matters (in the general sense that includes England and Scandinavia). There is a great deal more force (and truth) than ignorant people imagine in the "Germanic" ideal. I was much attracted by it as an undergraduate (when Hitler was, I suppose, dabbling in paint and had not heard of it), in reaction against the "Classics". You have to understand the good in things, to detect the real evil. …Yet I suppose I know better than most what is the truth about this "Nordic" nonsense. Anyway, I have in this War a burning private grudge - which would probably make me a better soldier at 49 than I was at 22: against that ruddy little ignoramous Adolf Hitler (for the odd thing about demonic inspiration and impetus is that it in no way enhances the purely intellectual stature: it chiefly affects the mere will). Ruining, perverting, misapplying, and making for ever accursed, that noble northern spirit, a supreme contribution to Europe, which I have ever loved, and tried to present in its true light."
External links
- Libres propos d’un fils de la modernité : Adolf Hitler
- Testament d'Adolf Hitler
- Citations sur Wikiquote
- Politique étrangère du Troisième Reich avec le Moyen-Orient
Videos
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