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« La civilisation européenne est gangrenée par le système occidental qu’elle a elle-même contribué à faire naître. (…) La ‘civilisation occidentale’ n’est pas une véritable civilisation, mais un mode technique de vie sans profondeur (…).  
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— Guillaume Faye, Pourquoi nous combattons, 2001
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« Le vivre-ensemble bienveillant n’est possible qu’entre des populations apparentées, biologiquement et culturellement. Tout le reste n’est que fumisterie. »
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« Être nationaliste aujourd’hui, c’est attribuer à ce concept son sens étymologique originel, « défendre les membres autochtones d’un peuple ». Cela implique une rupture avec l’idée traditionnelle de nation et de citoyenneté que nous avons héritée de la philosophie égalitaire des Lumières. Être nationaliste aujourd’hui, c’est adhérer à la notion d’un « peuple européen », qui existe et est menacé, mais qui n’est pas encore politiquement organisé pour sa légitime défense. On peut être un « patriote », quelqu’un lié à sa patrie sous-continentale, sans oublier que celui-ci est une partie organique et vitale du peuple dont le territoire naturel et historique – dont la forteresse, je dirais, s’étend de Brest au Détroit de Béring. »

Version actuelle datée du 19 mai 2025 à 10:47

« La civilisation européenne est gangrenée par le système occidental qu’elle a elle-même contribué à faire naître. (…) La ‘civilisation occidentale’ n’est pas une véritable civilisation, mais un mode technique de vie sans profondeur (…).

— Guillaume Faye, Pourquoi nous combattons, 2001


« Le vivre-ensemble bienveillant n’est possible qu’entre des populations apparentées, biologiquement et culturellement. Tout le reste n’est que fumisterie. »


« Être nationaliste aujourd’hui, c’est attribuer à ce concept son sens étymologique originel, « défendre les membres autochtones d’un peuple ». Cela implique une rupture avec l’idée traditionnelle de nation et de citoyenneté que nous avons héritée de la philosophie égalitaire des Lumières. Être nationaliste aujourd’hui, c’est adhérer à la notion d’un « peuple européen », qui existe et est menacé, mais qui n’est pas encore politiquement organisé pour sa légitime défense. On peut être un « patriote », quelqu’un lié à sa patrie sous-continentale, sans oublier que celui-ci est une partie organique et vitale du peuple dont le territoire naturel et historique – dont la forteresse, je dirais, s’étend de Brest au Détroit de Béring. »