Différences entre les versions de « Georges Vacher de Lapouge »
(8 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Image|Georges Vacher de Lapouge|}} | {{Image|Georges Vacher de Lapouge|}} | ||
== Citations == | == Citations == | ||
+ | |||
+ | « Une nation est une famille, exactement un complexe de familles alliées, et non une société anonyme dont les actions sont au porteur. Elle est un ensemble biologique, une chose matérielle et non une fiction juridique, ce que paraissent oublier les économistes, les statisticiens et les légistes, qui confondent la qualité de Français et les droits qui lui sont attachés. Le prince, roi, ministre ou Parlement ne peut pas plus faire un Français d’un Grec ou d’un Marocain, qu’il ne peut blanchir la peau d’un nègre, débrider les yeux d’un Chinois ou changer une femme en homme. [...] Pour qu’un Français soit Français, il faut qu’il soit issu d’un Français et d’une Française, et de siècle en siècle. On ne devient pas Français, et d’ailleurs pas davantage Anglais, Russe ou Japonais. De telles choses ne sont possibles que dans le temps de la fondation, d’une nation neuve, en pays inhabité. » | ||
+ | {{Réf Livre | ||
+ | |auteur=Georges Vacher de Lapouge | ||
+ | |titre=Préface de 1926 à « Le Déclin de la grande race » de [[Madison Grant]] | ||
+ | |année d'origine=1916 | ||
+ | |éditeur=L’Homme Libre | ||
+ | |année=2002 | ||
+ | |ISBN=9792912104246 | ||
+ | |page=24}} | ||
+ | |||
+ | « Il y a dans la France continentale environ vingt millions de Français bien purs d’origine, à peu près dix millions de Français mélangés, contaminés par des infiltrations anciennes provenant de pays voisins, par des importations d’esclaves faits sur les musulmans, et même par des nègres introduits en grand nombre pendant les trois derniers siècles dans les provinces de l’Ouest, enfin près de dix millions de métèques arrivés d’hier ou depuis un siècle au plus, les uns naturalisés souvent par l’autorité de la loi et presque de force, les autres restant étrangers, les uns mariés à des françaises ou même fils de françaises, les autres mariés à des étrangères. » | ||
+ | {{Réf Livre | ||
+ | |auteur=Georges Vacher de Lapouge | ||
+ | |titre=Préface de 1926 à « Le Déclin de la grande race » de [[Madison Grant]] | ||
+ | |année d'origine=1916 | ||
+ | |éditeur=L’Homme Libre | ||
+ | |année=2002 | ||
+ | |ISBN=9792912104246 | ||
+ | |page=23-24}} | ||
+ | |||
+ | « '''Le suicide de la race ne consiste pas seulement à ne pas faire d’enfants''', que les conditions de la vie ne permettent plus d’élever et d’établir selon leurs aptitudes et la condition des parents, '''mais à introduire dans la race, par un adultère politique, des gens qui n’en sont pas.''' » | ||
+ | {{Réf Livre | ||
+ | |auteur=Georges Vacher de Lapouge | ||
+ | |titre=Préface de 1926 à « Le Déclin de la grande race » de [[Madison Grant]] | ||
+ | |année d'origine=1916 | ||
+ | |éditeur=L’Homme Libre | ||
+ | |année=2002 | ||
+ | |ISBN=9792912104246 | ||
+ | |page=24}} | ||
+ | |||
+ | « Tout homme est apparenté à tous les hommes, et à tous les êtres vivants. '''Il n’y a donc pas de droits de l’homme''', pas plus que de droits de tatou à trois bandes, ou de gibbon syndactyle, que du cheval qui s’attelle ou du bœuf qui se mange. L’homme perdant son privilège d’être à part, à l’image de Dieu, n’a pas plus de droits que tout autre mammifère. L’idée même de droit est une fiction. '''Il n’y a que des forces.''' Les droits sont de pures conventions, des transactions entre puissances égales ou inégales ; dès que l’une d’elles cesse d’être assez forte pour que la transaction vaille pour l’autre, le droit cesse. Entre membres d’une société, le droit est ce qui est sanctionné par la force collective. Entre nations, cette garantie de stabilité fait défaut. Il n’y a pas de droit contre la force, car le droit n’est que l’état créé par la force et qu’elle maintient latente. Tous les hommes sont frères, tous les animaux sont frères, et leurs frères, et la fraternité s’étend à tous les êtres mais être frères n’est pas de nature à empêcher qu’on mange. Fraternité, soit, mais malheur aux vaincus ! La vie se maintient que par la mort. Pour vivre il faut manger, tuer pour manger. » | ||
+ | {{Réf Livre | ||
+ | |auteur=Georges Vacher de Lapouge | ||
+ | |titre=L’Aryen, son rôle social | ||
+ | |année d'origine=1889-1890 | ||
+ | |éditeur=Ars Magna | ||
+ | |année=2016 | ||
+ | |ISBN=9791096338115 | ||
+ | |page=609}} | ||
« On frémit en pensant aux hécatombes humaines que l’avenir réserve. La lutte entre les prétendants à la domination universelle sera longue, et nécessairement sans merci. » | « On frémit en pensant aux hécatombes humaines que l’avenir réserve. La lutte entre les prétendants à la domination universelle sera longue, et nécessairement sans merci. » | ||
Ligne 109 : | Ligne 149 : | ||
|ISBN=9791096338115 | |ISBN=9791096338115 | ||
|page=557-561}} | |page=557-561}} | ||
+ | |||
+ | « L’Aryen tel que je l’ai défini [...], c’est l'''Homo Europæus'', une race qui a fait la grandeur de la France, et qui est aujourd’hui rare chez nous et presque éteinte. » | ||
+ | {{Réf Livre | ||
+ | |auteur=Georges Vacher de Lapouge | ||
+ | |titre=L’Aryen, son rôle social | ||
+ | |année d'origine=1889-1890 | ||
+ | |éditeur=Ars Magna | ||
+ | |année=2016 | ||
+ | |ISBN=9791096338115 | ||
+ | |page=554}} | ||
« '''Le seul concurrent dangereux de l’Aryen, dans le présent, c’est le Juif.''' » | « '''Le seul concurrent dangereux de l’Aryen, dans le présent, c’est le Juif.''' » | ||
Ligne 118 : | Ligne 168 : | ||
|année=2016 | |année=2016 | ||
|ISBN=9791096338115 | |ISBN=9791096338115 | ||
− | |page= | + | |page=554}} |
− | |||
− | |||
− | |||
{{DEFAULTSORT:Vacher de Lapouge, Georges}} | {{DEFAULTSORT:Vacher de Lapouge, Georges}} | ||
− | {{ | + | [[Category:Auctores]] |
+ | {{Footer}} |
Version actuelle datée du 26 avril 2024 à 22:05
Citations
« Une nation est une famille, exactement un complexe de familles alliées, et non une société anonyme dont les actions sont au porteur. Elle est un ensemble biologique, une chose matérielle et non une fiction juridique, ce que paraissent oublier les économistes, les statisticiens et les légistes, qui confondent la qualité de Français et les droits qui lui sont attachés. Le prince, roi, ministre ou Parlement ne peut pas plus faire un Français d’un Grec ou d’un Marocain, qu’il ne peut blanchir la peau d’un nègre, débrider les yeux d’un Chinois ou changer une femme en homme. [...] Pour qu’un Français soit Français, il faut qu’il soit issu d’un Français et d’une Française, et de siècle en siècle. On ne devient pas Français, et d’ailleurs pas davantage Anglais, Russe ou Japonais. De telles choses ne sont possibles que dans le temps de la fondation, d’une nation neuve, en pays inhabité. »
« Il y a dans la France continentale environ vingt millions de Français bien purs d’origine, à peu près dix millions de Français mélangés, contaminés par des infiltrations anciennes provenant de pays voisins, par des importations d’esclaves faits sur les musulmans, et même par des nègres introduits en grand nombre pendant les trois derniers siècles dans les provinces de l’Ouest, enfin près de dix millions de métèques arrivés d’hier ou depuis un siècle au plus, les uns naturalisés souvent par l’autorité de la loi et presque de force, les autres restant étrangers, les uns mariés à des françaises ou même fils de françaises, les autres mariés à des étrangères. »
« Le suicide de la race ne consiste pas seulement à ne pas faire d’enfants, que les conditions de la vie ne permettent plus d’élever et d’établir selon leurs aptitudes et la condition des parents, mais à introduire dans la race, par un adultère politique, des gens qui n’en sont pas. »
« Tout homme est apparenté à tous les hommes, et à tous les êtres vivants. Il n’y a donc pas de droits de l’homme, pas plus que de droits de tatou à trois bandes, ou de gibbon syndactyle, que du cheval qui s’attelle ou du bœuf qui se mange. L’homme perdant son privilège d’être à part, à l’image de Dieu, n’a pas plus de droits que tout autre mammifère. L’idée même de droit est une fiction. Il n’y a que des forces. Les droits sont de pures conventions, des transactions entre puissances égales ou inégales ; dès que l’une d’elles cesse d’être assez forte pour que la transaction vaille pour l’autre, le droit cesse. Entre membres d’une société, le droit est ce qui est sanctionné par la force collective. Entre nations, cette garantie de stabilité fait défaut. Il n’y a pas de droit contre la force, car le droit n’est que l’état créé par la force et qu’elle maintient latente. Tous les hommes sont frères, tous les animaux sont frères, et leurs frères, et la fraternité s’étend à tous les êtres mais être frères n’est pas de nature à empêcher qu’on mange. Fraternité, soit, mais malheur aux vaincus ! La vie se maintient que par la mort. Pour vivre il faut manger, tuer pour manger. »
« On frémit en pensant aux hécatombes humaines que l’avenir réserve. La lutte entre les prétendants à la domination universelle sera longue, et nécessairement sans merci. »
« La coalition occidentale peut se faire sous l’hégémonie de l’Allemagne. Il est possible aussi qu’elle se fasse dans des conditions différentes, par l’action des Juifs qui dissolvent rapidement les nations. [...] Cette destruction de l’esprit national peut faciliter le groupement des nations, rendu difficile aujourd’hui par le nationalisme. »
« Le moment est proche où la lutte pour la domination définitive du globe va s’engager. Les nations qui pourront y prendre part comme prétendants sont désignées dès à présent par leur puissance actuelle ou virtuelle. Je dis virtuelle, car la puissance de certaines nations s’augmentera d’une manière automatique par le peuplement de vastes réserves. C’est le cas de la Russie et de tous les États américains, de l’Australie et de l’Afrique australe. »
« Le Japonais et le Chinois surtout possèdent de remarquables aptitudes économiques. Ils valent, au point de vue commercial, les Arméniens, les Juifs et les Anglais. Ils ont sur les Juifs un grand avantage : ils sont des agriculteurs sans pareils, ils tiennent au sol par des racines profondes et ne constituent pas une simple classe bourgeoise, mobile et sans cesse exposée à l’usure sans pouvoir réparer ses pertes en puisant dans des réserves. »
« Il en sera de même quand les populations noires de l’Afrique, douées d’une si grande fécondité et que nous empêchons de s’égorger, rempliront notre continent de leurs masses compactes et fardées de civilisation. »
« Le fonctionnarisme est ce qui convient au brachycéphale. En France, dans ces cinquante dernières années, le nombre des fonctionnaires est passé de 188 000 à 416 000. Il en est ainsi dans les autres pays brachycéphales, et même en Suisse, où l’avènement politique des couches inférieures a fait disparaître les principes de bonne administration et de liberté. »
« Cependant la médiocrité même du brachycéphale est une force. Ce neutre échappe à toutes les causes de destruction. Noiraud, courtaud, lourdaud, le brachycéphale règne aujourd’hui de l’Atlantique à la Mer Noire. Comme la mauvaise monnaie chasse l’autre, sa race a supplanté la race meilleure. Il est inerte, il est médiocre, mais se multiplie. »
« Dès que les Juifs ont été livrés en toute liberté à l’exercice de leurs instincts, dans une société où les intérêts économiques sont considérés en première ligne, leurs aptitudes majeures à l’accumulation des capitaux les ont désignés comme les hauts barons de l’aristocratie du capital. C’est par l’acquisition des richesses que commencent toutes les aristocraties, mais la leur a cela de particulier qu’elle s’est fondée sur une acquisition pacifique et dépourvue de risques. Ils se sont emparés de l’argent par la force des instincts ataviques, et l’argent leur donnera bientôt sans doute la suprême puissance, parce qu’il est aujourd’hui seul Dieu et seul roi.
Les Juifs clairvoyants ont pris conscience de ce rôle. L’idée d’une conquête possible du pouvoir, et de son exploitation raisonnée, devient peu à peu courante dans Israël. Il se constitue, par la force des choses, une puissance gouvernementale qui ne connaît pas de frontières, et qui peut conduire, s’il n’arrive point d’accident, à la constitution de ces États-Unis d’Europe, subordonnés à une oligarchie juive, dont j’ai parlé déjà comme d’une hypothèse admissible. »
« Le Juif est de nature incapable de travail productif. Il est courtier, spéculateur, il n’est pas ouvrier, pas agriculteur. Organisé pour s’emparer habilement du fruit du travail d’autrui, le Juif ne peut exister sans une population bien plus nombreuse d’inférieurs qui sèment, récoltent, tissent et construisent pour lui. [...]
Chez nous plus que partout il faut comparer le nombre des Juifs à celui des bourgeois et non à celui de l’ensemble de la population. Ce qui tend sans cesse à faire exagérer encore l’importance si grande de l’élément juif, comme de l’élément protestant c’est qu’on oublie qu’ils représentent des état-majors sans soldats. »
« Sur le continent, le régime ploutocratique impliquerait d’une manière toute naturelle l’avénement prochain d’une puissante oligarchie juive. Aucun autre élément ne possède une telle proportion d’hommes habiles à faire foisonner les millions, et à semer la corruption autour d’eux. Tout autour de nous, le Juif n’a pas de rival dans l’art d’exploiter le travail du brachycéphale et de concentrer ses économies. Sous un régime où la seule inégalité reçue est celle de la fortune, le Juif est naturellement appelé à prendre le premier rang, et la forte organisation qui fait d’Israël un État dans les États pourra lui permettre d’éliminer de la classe dominante tous les autres éléments, dans la mesure qu’il estimera nécessaire. [...]
C’est pourquoi il est possible que dans un avenir prochain l’Occident devienne, à l’exception de l’Angleterre, une république fédérative gouvernée par une oligarchie juive. C’est ce que semble présager la prépondérance de plus en plus grande des questions économiques, l’aptitude majeure des Juifs à concentrer les capitaux, et le développement sans cesse plus accusé du régime ploutocratique. [...]
Je crois que la domination juive ne sera pas plus douce que le fut celle des Carthaginois. Le sang est au fond le même, la psychologie la même. On voit trop le Juif obséquieux qui demande, on oublie le Juif arrogant qui commande. Il y a chez cet être, à double face, de la femme qui ruse et caresse pour corrompre, du prêtre hautain et dominateur. »
« L’Aryen tel que je l’ai défini [...], c’est l'Homo Europæus, une race qui a fait la grandeur de la France, et qui est aujourd’hui rare chez nous et presque éteinte. »
« Le seul concurrent dangereux de l’Aryen, dans le présent, c’est le Juif. »