Différences entre les versions de « Georges Vacher de Lapouge »

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== Citations ==
  
« '''[...] je n’attache du prix qu’au sang et pas à la ''civilisation''.''' »
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« Une nation est une famille, exactement un complexe de familles alliées, et non une société anonyme dont les actions sont au porteur. Elle est un ensemble biologique, une chose matérielle et non une fiction juridique, ce que paraissent oublier les économistes, les statisticiens et les légistes, qui confondent la qualité de Français et les droits qui lui sont attachés. Le prince, roi, ministre ou Parlement ne peut pas plus faire un Français d’un Grec ou d’un Marocain, qu’il ne peut blanchir la peau d’un nègre, débrider les yeux d’un Chinois ou changer une femme en homme. [...] Pour qu’un Français soit Français, il faut qu’il soit issu d’un Français et d’une Française, et de siècle en siècle. On ne devient pas Français, et d’ailleurs pas davantage Anglais, Russe ou Japonais. De telles choses ne sont possibles que dans le temps de la fondation, d’une nation neuve, en pays inhabité. »
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— Arthur de Gobineau, Lettre à Cosima Wagner, 19 juillet 1881
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« Il y a dans la France continentale environ vingt millions de Français bien purs d’origine, à peu près dix millions de Français mélangés, contaminés par des infiltrations anciennes provenant de pays voisins, par des importations d’esclaves faits sur les musulmans, et même par des nègres introduits en grand nombre pendant les trois derniers siècles dans les provinces de l’Ouest, enfin près de dix millions de métèques arrivés d’hier ou depuis un siècle au plus, les uns naturalisés souvent par l’autorité de la loi et presque de force, les autres restant étrangers, les uns mariés à des françaises ou même fils de françaises, les autres mariés à des étrangères. »
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« '''Le suicide de la race ne consiste pas seulement à ne pas faire d’enfants''', que les conditions de la vie ne permettent plus d’élever et d’établir selon leurs aptitudes et la condition des parents, '''mais à introduire dans la race, par un adultère politique, des gens qui n’en sont pas.''' »
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« [...] '''les hommes se ressembleront tous.''' Leur taille, leurs traits, leurs habitudes corporelles, seront semblables. Ils auront même dose de forces physiques, directions pareilles dans les instincts, mesures analogues dans les facultés, et ce niveau général, encore une fois, sera de la plus révoltante humilité.
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« Tout homme est apparenté à tous les hommes, et à tous les êtres vivants. '''Il n’y a donc pas de droits de l’homme''', pas plus que de droits de tatou à trois bandes, ou de gibbon syndactyle, que du cheval qui s’attelle ou du bœuf qui se mange. L’homme perdant son privilège d’être à part, à l’image de Dieu, n’a pas plus de droits que tout autre mammifère. L’idée même de droit est une fiction. '''Il n’y a que des forces.''' Les droits sont de pures conventions, des transactions entre puissances égales ou inégales ; dès que l’une d’elles cesse d’être assez forte pour que la transaction vaille pour l’autre, le droit cesse. Entre membres d’une société, le droit est ce qui est sanctionné par la force collective. Entre nations, cette garantie de stabilité fait défaut. Il n’y a pas de droit contre la force, car le droit n’est que l’état créé par la force et qu’elle maintient latente. Tous les hommes sont frères, tous les animaux sont frères, et leurs frères, et la fraternité s’étend à tous les êtres mais être frères n’est pas de nature à empêcher qu’on mange. Fraternité, soit, mais malheur aux vaincus ! La vie se maintient que par la mort. Pour vivre il faut manger, tuer pour manger. »
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'''Les nations, non, les troupeaux humains, accablés sous une morne somnolence, vivront dès lors engourdis dans leur nullité, comme les buffles ruminants dans les flaques stagnantes des marais Pontins.''' »
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« On frémit en pensant aux hécatombes humaines que l’avenir réserve. La lutte entre les prétendants à la domination universelle sera longue, et nécessairement sans merci. »
 
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« '''L’espèce blanche, considérée abstractivement, a désormais disparu de la face du monde.''' Après avoir passé l’âge des dieux, où elle était absolument pure ; l’âge des héros, où les mélanges étaient modérés de force et de nombre ; l’âge des noblesses, où des facultés, grandes encore, n’étaient plus renouvelées par des sources taries, elle s’est acheminée plus ou moins promptement, suivant les lieux, vers la confusion définitive de tous ses principes, par suite de ses hymens hétérogènes. »
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« La coalition occidentale peut se faire sous l’hégémonie de l’Allemagne. Il est possible aussi qu’elle se fasse dans des conditions différentes, par l’action des Juifs qui dissolvent rapidement les nations. [...] Cette destruction de l’esprit national peut faciliter le groupement des nations, rendu difficile aujourd’hui par le nationalisme. »
 
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« Un peuple a toujours besoin d’un homme qui comprenne sa volonté, la résume, l’explique, et le mène où il doit aller. »
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« '''Le moment est proche où la lutte pour la domination définitive du globe va s’engager.''' Les nations qui pourront y prendre part comme prétendants sont désignées dès à présent par leur puissance actuelle ou virtuelle. Je dis virtuelle, car la puissance de certaines nations s’augmentera d’une manière automatique par le peuplement de vastes réserves. C’est le cas de la Russie et de tous les États américains, de l’Australie et de l’Afrique australe. »
 
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« Il me semble voir un Bambara assistant à l’exécution d’un des airs qui lui plaisent. Son visage s’enflamme, ses yeux brillent. Il rit, et sa large bouche montre, étincelantes au milieu de sa face ténébreuse, ses dents blanches et aiguës. [...] Des sons inarticulés font effort pour sortir de sa gorge, que comprime la passion ; de grosses larmes roulent sur ses joues proéminentes ; encore un moment, il va crier : la musique cesse, il est accablé de fatigue. [...]
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« Le Japonais et le Chinois surtout possèdent de remarquables aptitudes économiques. Ils valent, au point de vue commercial, les Arméniens, les Juifs et les Anglais. Ils ont sur les Juifs un grand avantage : ils sont des agriculteurs sans pareils, ils tiennent au sol par des racines profondes et ne constituent pas une simple classe bourgeoise, mobile et sans cesse exposée à l’usure sans pouvoir réparer ses pertes en puisant dans des réserves. »
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Ainsi le nègre possède au plus haut degré la faculté sensuelle sans laquelle il n’y a pas d’art possible ; et, d’autre part, l’absence des aptitudes intellectuelles le rend complètement impropre à la culture de l’art, même à l’appréciation de ce que cette noble application de l’intelligence des humains peut produire d’élevé. Pour mettre ses facultés en valeur, il faut qu’il s’allie à une race différemment douée. »
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« Il en sera de même quand les populations noires de l’Afrique, douées d’une si grande fécondité et que nous empêchons de s’égorger, rempliront notre continent de leurs masses compactes et fardées de civilisation. »
 
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L’histoire « nous montre que toute civilisation découle de la race blanche, qu’aucune ne peut exister sans le concours de cette race, et qu’une société n’est grande et brillante qu’à proportion qu’elle conserve plus longtemps le noble groupe qui l’a créée, et que ce groupe lui-même appartient au rameau le plus illustre de l’espèce. »
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« Le fonctionnarisme est ce qui convient au brachycéphale. En France, dans ces cinquante dernières années, le nombre des fonctionnaires est passé de 188 000 à 416 000. Il en est ainsi dans les autres pays brachycéphales, et même en Suisse, où l’avènement politique des couches inférieures a fait disparaître les principes de bonne administration et de liberté. »
 
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« [...] '''l’humanité éprouve, dans toutes ses branches, une répulsion secrète pour les croisements [...].''' »
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« Cependant la médiocrité même du brachycéphale est une force. Ce neutre échappe à toutes les causes de destruction. Noiraud, courtaud, lourdaud, le brachycéphale règne aujourd’hui de l’Atlantique à la Mer Noire. Comme la mauvaise monnaie chasse l’autre, sa race a supplanté la race meilleure. Il est inerte, il est médiocre, mais se multiplie. »
 
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« Je pense donc que le mot ''dégénéré'', s’appliquant à un peuple, doit signifier et signifie que ce peuple n’a plus la valeur intrinsèque qu’autrefois il possédait, parce qu’il n’a plus dans ses veines le même sang, dont des alliages successifs ont graduellement modifié la valeur ; autrement dit, qu’avec le même nom, il n’a pas conservé la même race que ses fondateurs ; enfin, que l’homme de la décadence, celui qu’on appelle l’homme ''dégénéré'', est un produit différent, au point de vue ethnique, du héros des grandes époques. [...] Il mourra définitivement, et sa civilisation avec lui, le jour où l’élément ethnique primordial se trouvera tellement subdivisé et noyé dans des apports de races étrangères, que la virtualité de cet élément n’exercera plus désormais d’action suffisante. Elle ne disparaîtra pas, sans doute, d’une manière absolue ; mais, dans la pratique, elle sera tellement combattue, tellement affaiblie, que sa force deviendra de moins en moins sensible, et c’est à ce moment que la dégénération pourra être considérée comme complète, et que tous ses effets apparaîtront. »
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« Dès que les Juifs ont été livrés en toute liberté à l’exercice de leurs instincts, dans une société où les intérêts économiques sont considérés en première ligne, leurs aptitudes majeures à l’accumulation des capitaux les ont désignés comme les hauts barons de l’aristocratie du capital. C’est par l’acquisition des richesses que commencent toutes les aristocraties, mais la leur a cela de particulier qu’elle s’est fondée sur une acquisition pacifique et dépourvue de risques. Ils se sont emparés de l’argent par la force des instincts ataviques, et l’argent leur donnera bientôt sans doute la suprême puissance, parce qu’il est aujourd’hui seul Dieu et seul roi.
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Les Juifs clairvoyants ont pris conscience de ce rôle. L’idée d’une conquête possible du pouvoir, et de son exploitation raisonnée, devient peu à peu courante dans Israël. '''Il se constitue, par la force des choses, une puissance gouvernementale qui ne connaît pas de frontières, et qui peut conduire, s’il n’arrive point d’accident, à la constitution de ces États-Unis d’Europe, subordonnés à une oligarchie juive''', dont j’ai parlé déjà comme d’une hypothèse admissible. »
 
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« Le Juif est de nature incapable de travail productif. Il est courtier, spéculateur, il n’est pas ouvrier, pas agriculteur. Organisé pour s’emparer habilement du fruit du travail d’autrui, le Juif ne peut exister sans une population bien plus nombreuse d’inférieurs qui sèment, récoltent, tissent et construisent pour lui. [...]
  
« '''La chute des civilisations est le plus frappant et en même temps le plus obscur de tous les phénomènes de l’histoire.''' »
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Chez nous plus que partout il faut comparer le nombre des Juifs à celui des bourgeois et non à celui de l’ensemble de la population. Ce qui tend sans cesse à faire exagérer encore l’importance si grande de l’élément juif, comme de l’élément protestant c’est qu’on oublie qu’ils représentent des état-majors sans soldats. »
 
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« Sur le continent, le régime ploutocratique impliquerait d’une manière toute naturelle l’avénement prochain d’une puissante oligarchie juive. Aucun autre élément ne possède une telle proportion d’hommes habiles à faire foisonner les millions, et à semer la corruption autour d’eux. Tout autour de nous, le Juif n’a pas de rival dans l’art d’exploiter le travail du brachycéphale et de concentrer ses économies. '''Sous un régime où la seule inégalité reçue est celle de la fortune, le Juif est naturellement appelé à prendre le premier rang''', et la forte organisation qui fait d’Israël un État dans les États pourra lui permettre d’éliminer de la classe dominante tous les autres éléments, dans la mesure qu’il estimera nécessaire.  [...]
  
== Citationes de Arthur de Gobineau ==
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'''C’est pourquoi il est possible que dans un avenir prochain l’Occident devienne, à l’exception de l’Angleterre, une république fédérative gouvernée par une oligarchie juive.''' C’est ce que semble présager la prépondérance de plus en plus grande des questions économiques, l’aptitude majeure des Juifs à concentrer les capitaux, et le développement sans cesse plus accusé du régime ploutocratique. [...]
  
« Dans la première hypothèse, la réalité de la race s’opère dans des temps si reculés qu’il est impossible d’en rien connaître. Il ne s’agit pas d’une hypothèse scientifique, c’est-à-dire vérifiable même indirectement par ses conséquences lointaines, mais d’une affirmation catégorique ayant valeur d’axiome qu’on pose dans l’absolu, parce qu’on estime impossible, sans elle, de rendre compte des différences actuelles. Telle était déjà la doctrine de [[Arthur de Gobineau|Gobineau]], à qui l’on attribue la paternité du racisme, bien qu’il eût été parfaitement conscient que les races n’étaient pas des phénomènes observables ; il les postulait seulement comme les conditions a priori de la diversité des cultures historiques, qui lui semblait autrement inexplicable, tout en reconnaissant que les populations ayant donné naissance à ces cultures étaient issues de mélanges entre des groupes humains qui, eux-mêmes, avaient déjà résulté d’autres mélanges. Si donc on essaye de faire remonter les différences raciales aux origines, on s’interdit par là d’en rien savoir, et ce dont on débat en fait n’est pas la diversité des races, mais la diversité des cultures. »
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Je crois que la domination juive ne sera pas plus douce que le fut celle des Carthaginois. Le sang est au fond le même, la psychologie la même. On voit trop le Juif obséquieux qui demande, on oublie le Juif arrogant qui commande. Il y a chez cet être, à double face, de la femme qui ruse et caresse pour corrompre, du prêtre hautain et dominateur. »
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[[Claude Lévi-Strauss]], ''[[Race et Culture - Claude Lévi-Strauss|Race et Culture]]'', 22 mars 1971
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« L’Aryen tel que je l’ai défini [...], c’est l'''Homo Europæus'', une race qui a fait la grandeur de la France, et qui est aujourd’hui rare chez nous et presque éteinte. »
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« '''Le seul concurrent dangereux de l’Aryen, dans le présent, c’est le Juif.''' »
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== Bibliographia ==
 
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Citations

« Une nation est une famille, exactement un complexe de familles alliées, et non une société anonyme dont les actions sont au porteur. Elle est un ensemble biologique, une chose matérielle et non une fiction juridique, ce que paraissent oublier les économistes, les statisticiens et les légistes, qui confondent la qualité de Français et les droits qui lui sont attachés. Le prince, roi, ministre ou Parlement ne peut pas plus faire un Français d’un Grec ou d’un Marocain, qu’il ne peut blanchir la peau d’un nègre, débrider les yeux d’un Chinois ou changer une femme en homme. [...] Pour qu’un Français soit Français, il faut qu’il soit issu d’un Français et d’une Française, et de siècle en siècle. On ne devient pas Français, et d’ailleurs pas davantage Anglais, Russe ou Japonais. De telles choses ne sont possibles que dans le temps de la fondation, d’une nation neuve, en pays inhabité. »

— Georges Vacher de Lapouge, Préface de 1926 à « Le Déclin de la grande race » de Madison Grant (1916), éd. L’Homme Libre, 2002 (ISBN 9792912104246), p. 24


« Il y a dans la France continentale environ vingt millions de Français bien purs d’origine, à peu près dix millions de Français mélangés, contaminés par des infiltrations anciennes provenant de pays voisins, par des importations d’esclaves faits sur les musulmans, et même par des nègres introduits en grand nombre pendant les trois derniers siècles dans les provinces de l’Ouest, enfin près de dix millions de métèques arrivés d’hier ou depuis un siècle au plus, les uns naturalisés souvent par l’autorité de la loi et presque de force, les autres restant étrangers, les uns mariés à des françaises ou même fils de françaises, les autres mariés à des étrangères. »

— Georges Vacher de Lapouge, Préface de 1926 à « Le Déclin de la grande race » de Madison Grant (1916), éd. L’Homme Libre, 2002 (ISBN 9792912104246), p. 23-24


« Le suicide de la race ne consiste pas seulement à ne pas faire d’enfants, que les conditions de la vie ne permettent plus d’élever et d’établir selon leurs aptitudes et la condition des parents, mais à introduire dans la race, par un adultère politique, des gens qui n’en sont pas. »

— Georges Vacher de Lapouge, Préface de 1926 à « Le Déclin de la grande race » de Madison Grant (1916), éd. L’Homme Libre, 2002 (ISBN 9792912104246), p. 24


« Tout homme est apparenté à tous les hommes, et à tous les êtres vivants. Il n’y a donc pas de droits de l’homme, pas plus que de droits de tatou à trois bandes, ou de gibbon syndactyle, que du cheval qui s’attelle ou du bœuf qui se mange. L’homme perdant son privilège d’être à part, à l’image de Dieu, n’a pas plus de droits que tout autre mammifère. L’idée même de droit est une fiction. Il n’y a que des forces. Les droits sont de pures conventions, des transactions entre puissances égales ou inégales ; dès que l’une d’elles cesse d’être assez forte pour que la transaction vaille pour l’autre, le droit cesse. Entre membres d’une société, le droit est ce qui est sanctionné par la force collective. Entre nations, cette garantie de stabilité fait défaut. Il n’y a pas de droit contre la force, car le droit n’est que l’état créé par la force et qu’elle maintient latente. Tous les hommes sont frères, tous les animaux sont frères, et leurs frères, et la fraternité s’étend à tous les êtres mais être frères n’est pas de nature à empêcher qu’on mange. Fraternité, soit, mais malheur aux vaincus ! La vie se maintient que par la mort. Pour vivre il faut manger, tuer pour manger. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 609


« On frémit en pensant aux hécatombes humaines que l’avenir réserve. La lutte entre les prétendants à la domination universelle sera longue, et nécessairement sans merci. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 596


« La coalition occidentale peut se faire sous l’hégémonie de l’Allemagne. Il est possible aussi qu’elle se fasse dans des conditions différentes, par l’action des Juifs qui dissolvent rapidement les nations. [...] Cette destruction de l’esprit national peut faciliter le groupement des nations, rendu difficile aujourd’hui par le nationalisme. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 589


« Le moment est proche où la lutte pour la domination définitive du globe va s’engager. Les nations qui pourront y prendre part comme prétendants sont désignées dès à présent par leur puissance actuelle ou virtuelle. Je dis virtuelle, car la puissance de certaines nations s’augmentera d’une manière automatique par le peuplement de vastes réserves. C’est le cas de la Russie et de tous les États américains, de l’Australie et de l’Afrique australe. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 586


« Le Japonais et le Chinois surtout possèdent de remarquables aptitudes économiques. Ils valent, au point de vue commercial, les Arméniens, les Juifs et les Anglais. Ils ont sur les Juifs un grand avantage : ils sont des agriculteurs sans pareils, ils tiennent au sol par des racines profondes et ne constituent pas une simple classe bourgeoise, mobile et sans cesse exposée à l’usure sans pouvoir réparer ses pertes en puisant dans des réserves. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 576


« Il en sera de même quand les populations noires de l’Afrique, douées d’une si grande fécondité et que nous empêchons de s’égorger, rempliront notre continent de leurs masses compactes et fardées de civilisation. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 576


« Le fonctionnarisme est ce qui convient au brachycéphale. En France, dans ces cinquante dernières années, le nombre des fonctionnaires est passé de 188 000 à 416 000. Il en est ainsi dans les autres pays brachycéphales, et même en Suisse, où l’avènement politique des couches inférieures a fait disparaître les principes de bonne administration et de liberté. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 575


« Cependant la médiocrité même du brachycéphale est une force. Ce neutre échappe à toutes les causes de destruction. Noiraud, courtaud, lourdaud, le brachycéphale règne aujourd’hui de l’Atlantique à la Mer Noire. Comme la mauvaise monnaie chasse l’autre, sa race a supplanté la race meilleure. Il est inerte, il est médiocre, mais se multiplie. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 574


« Dès que les Juifs ont été livrés en toute liberté à l’exercice de leurs instincts, dans une société où les intérêts économiques sont considérés en première ligne, leurs aptitudes majeures à l’accumulation des capitaux les ont désignés comme les hauts barons de l’aristocratie du capital. C’est par l’acquisition des richesses que commencent toutes les aristocraties, mais la leur a cela de particulier qu’elle s’est fondée sur une acquisition pacifique et dépourvue de risques. Ils se sont emparés de l’argent par la force des instincts ataviques, et l’argent leur donnera bientôt sans doute la suprême puissance, parce qu’il est aujourd’hui seul Dieu et seul roi.

Les Juifs clairvoyants ont pris conscience de ce rôle. L’idée d’une conquête possible du pouvoir, et de son exploitation raisonnée, devient peu à peu courante dans Israël. Il se constitue, par la force des choses, une puissance gouvernementale qui ne connaît pas de frontières, et qui peut conduire, s’il n’arrive point d’accident, à la constitution de ces États-Unis d’Europe, subordonnés à une oligarchie juive, dont j’ai parlé déjà comme d’une hypothèse admissible. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 570-571


« Le Juif est de nature incapable de travail productif. Il est courtier, spéculateur, il n’est pas ouvrier, pas agriculteur. Organisé pour s’emparer habilement du fruit du travail d’autrui, le Juif ne peut exister sans une population bien plus nombreuse d’inférieurs qui sèment, récoltent, tissent et construisent pour lui. [...]

Chez nous plus que partout il faut comparer le nombre des Juifs à celui des bourgeois et non à celui de l’ensemble de la population. Ce qui tend sans cesse à faire exagérer encore l’importance si grande de l’élément juif, comme de l’élément protestant c’est qu’on oublie qu’ils représentent des état-majors sans soldats. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 561-565


« Sur le continent, le régime ploutocratique impliquerait d’une manière toute naturelle l’avénement prochain d’une puissante oligarchie juive. Aucun autre élément ne possède une telle proportion d’hommes habiles à faire foisonner les millions, et à semer la corruption autour d’eux. Tout autour de nous, le Juif n’a pas de rival dans l’art d’exploiter le travail du brachycéphale et de concentrer ses économies. Sous un régime où la seule inégalité reçue est celle de la fortune, le Juif est naturellement appelé à prendre le premier rang, et la forte organisation qui fait d’Israël un État dans les États pourra lui permettre d’éliminer de la classe dominante tous les autres éléments, dans la mesure qu’il estimera nécessaire. [...]

C’est pourquoi il est possible que dans un avenir prochain l’Occident devienne, à l’exception de l’Angleterre, une république fédérative gouvernée par une oligarchie juive. C’est ce que semble présager la prépondérance de plus en plus grande des questions économiques, l’aptitude majeure des Juifs à concentrer les capitaux, et le développement sans cesse plus accusé du régime ploutocratique. [...]

Je crois que la domination juive ne sera pas plus douce que le fut celle des Carthaginois. Le sang est au fond le même, la psychologie la même. On voit trop le Juif obséquieux qui demande, on oublie le Juif arrogant qui commande. Il y a chez cet être, à double face, de la femme qui ruse et caresse pour corrompre, du prêtre hautain et dominateur. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 557-561


« L’Aryen tel que je l’ai défini [...], c’est l'Homo Europæus, une race qui a fait la grandeur de la France, et qui est aujourd’hui rare chez nous et presque éteinte. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 554


« Le seul concurrent dangereux de l’Aryen, dans le présent, c’est le Juif. »

— Georges Vacher de Lapouge, L’Aryen, son rôle social (1889-1890), éd. Ars Magna, 2016 (ISBN 9791096338115), p. 554