Différences entre les versions de « Stendhal »
(9 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Image|Stendhal|}} | {{Image|Stendhal|}} | ||
− | == | + | == Citations == |
− | « ''' | + | « Les Cosaques ! Les Cosaques ! Criait-on de tous les côtés. [...] |
+ | |||
+ | Après le mot ''cosaques'' il n’y vit exactement plus personne ; les fuyards avaient abandonné des shakos, des fusils, des sabres, etc. » | ||
{{Réf Livre | {{Réf Livre | ||
|auteur=Stendhal | |auteur=Stendhal | ||
− | |titre= | + | |titre=La Chartreuse de Parme |
− | |année d'origine= | + | |année d'origine=1839 |
− | |éditeur= | + | |éditeur=Le Livre de Poche |
− | |année= | + | |année=2000 |
− | |page= | + | |page=101-102}} |
« [...] '''ils prennent l’étiolement de leur âme pour de la civilisation et de la générosité.''' » | « [...] '''ils prennent l’étiolement de leur âme pour de la civilisation et de la générosité.''' » | ||
Ligne 21 : | Ligne 23 : | ||
|page=82}} | |page=82}} | ||
− | == | + | « J’ai aimé la vérité... Où est-elle ?... Partout hypocrisie, ou du moins charlatanisme, même chez les plus vertueux, même chez les plus grands ; et ses lèvres prirent l’expression du dégoût... Non, l’homme ne peut pas se fier à l’homme. » |
+ | {{Réf Livre | ||
+ | |auteur=Stendhal | ||
+ | |titre=Le Rouge et le Noir | ||
+ | |année d'origine=1830 | ||
+ | |éditeur=Gallimard | ||
+ | |collection= | ||
+ | |année=2002 | ||
+ | |ISBN=9782070412396 | ||
+ | |page=650}} | ||
− | {{ | + | « '''Aujourd’hui, Messieurs, ce n’est plus un homme qu’il faut immoler, c’est Paris.''' Toute la France copie Paris. À quoi bon armer vos cinq cents hommes par département ? Entreprise hasardeuse et qui n’en finira pas. À quoi bon mêler la France à la chose qui est personnelle à Paris ? '''Paris seul avec ses journaux et ses salons a fait le mal ; que la nouvelle Babylone périsse.''' » |
− | {{ | + | {{Réf Livre |
+ | |auteur=Stendhal | ||
+ | |titre=Le Rouge et le Noir | ||
+ | |année d'origine=1830 | ||
+ | |éditeur=Gallimard | ||
+ | |collection= | ||
+ | |année=2002 | ||
+ | |ISBN=9782070412396 | ||
+ | |page=514}} | ||
+ | |||
+ | « Le groupe de mademoiselle de La Mole était encore peuplé. Elle était occupée avec ses amis à se moquer du malheureux comte de Thaler. C’était le fils unique de ce fameux juif célèbre par les richesses qu’il avait acquises en prêtant de l’argent aux rois pour faire la guerre aux peuples. Le juif venait de mourir laissant à son fils cent mille écus de rente par mois, et un nom hélas trop connu. Cette position singulière eût exigé de la simplicité dans le caractère, ou beaucoup de force de volonté. » | ||
+ | {{Réf Livre | ||
+ | |auteur=Stendhal | ||
+ | |titre=Le Rouge et le Noir | ||
+ | |année d'origine=1830 | ||
+ | |éditeur=Gallimard | ||
+ | |collection= | ||
+ | |année=2002 | ||
+ | |ISBN=9782070412396 | ||
+ | |page=258}} | ||
+ | |||
+ | « [...] l’église de France semble avoir compris que les livres sont ses vrais ennemis. » | ||
+ | {{Réf Livre | ||
+ | |auteur=Stendhal | ||
+ | |titre=Le Rouge et le Noir | ||
+ | |année d'origine=1830 | ||
+ | |éditeur=Gallimard | ||
+ | |collection= | ||
+ | |année=2002 | ||
+ | |ISBN=9782070412396 | ||
+ | |page=258}} | ||
+ | |||
+ | « '''La beauté n’est jamais, ce me semble, qu’une ''promesse de bonheur''.''' » | ||
+ | {{Réf Livre | ||
+ | |auteur=Stendhal | ||
+ | |titre=Rome, Naples et Florence | ||
+ | |année d'origine=1817 | ||
+ | |éditeur=Michel Lévy frères | ||
+ | |année=1854 | ||
+ | |page=30}} | ||
− | |||
{{DEFAULTSORT:Stendhal}} | {{DEFAULTSORT:Stendhal}} | ||
− | {{ | + | [[Category:Auctores]] |
+ | {{Footer}} |
Version actuelle datée du 5 août 2024 à 11:13
Citations
« Les Cosaques ! Les Cosaques ! Criait-on de tous les côtés. [...]
Après le mot cosaques il n’y vit exactement plus personne ; les fuyards avaient abandonné des shakos, des fusils, des sabres, etc. »
« [...] ils prennent l’étiolement de leur âme pour de la civilisation et de la générosité. »
« J’ai aimé la vérité... Où est-elle ?... Partout hypocrisie, ou du moins charlatanisme, même chez les plus vertueux, même chez les plus grands ; et ses lèvres prirent l’expression du dégoût... Non, l’homme ne peut pas se fier à l’homme. »
« Aujourd’hui, Messieurs, ce n’est plus un homme qu’il faut immoler, c’est Paris. Toute la France copie Paris. À quoi bon armer vos cinq cents hommes par département ? Entreprise hasardeuse et qui n’en finira pas. À quoi bon mêler la France à la chose qui est personnelle à Paris ? Paris seul avec ses journaux et ses salons a fait le mal ; que la nouvelle Babylone périsse. »
« Le groupe de mademoiselle de La Mole était encore peuplé. Elle était occupée avec ses amis à se moquer du malheureux comte de Thaler. C’était le fils unique de ce fameux juif célèbre par les richesses qu’il avait acquises en prêtant de l’argent aux rois pour faire la guerre aux peuples. Le juif venait de mourir laissant à son fils cent mille écus de rente par mois, et un nom hélas trop connu. Cette position singulière eût exigé de la simplicité dans le caractère, ou beaucoup de force de volonté. »
« [...] l’église de France semble avoir compris que les livres sont ses vrais ennemis. »
« La beauté n’est jamais, ce me semble, qu’une promesse de bonheur. »