Différences entre les versions de « Montesquieu »
(3 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Image|Montesquieu|}} | {{Image|Montesquieu|}} | ||
− | == | + | == Citations == |
« '''Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice''' [...]. » | « '''Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice''' [...]. » | ||
Ligne 10 : | Ligne 10 : | ||
|année=1876 | |année=1876 | ||
|chapitre=XIV | |chapitre=XIV | ||
− | |page=230 | + | |page=230}} |
− | }} | ||
« [...] '''les lois inutiles affaiblissent les lois nécessaires''' [...]. » | « [...] '''les lois inutiles affaiblissent les lois nécessaires''' [...]. » | ||
Ligne 22 : | Ligne 21 : | ||
|section=Livre XXIX | |section=Livre XXIX | ||
|chapitre=XVI | |chapitre=XVI | ||
− | |page=435 | + | |page=435}} |
− | }} | ||
« '''Comme celui qui a l’argent est toujours le maître de l’autre, le traitant se rend despotique sur le prince même ; il n’est pas législateur, mais il le force à donner des lois.''' » | « '''Comme celui qui a l’argent est toujours le maître de l’autre, le traitant se rend despotique sur le prince même ; il n’est pas législateur, mais il le force à donner des lois.''' » | ||
Ligne 34 : | Ligne 32 : | ||
|section=Livre XIII | |section=Livre XIII | ||
|chapitre=XIX | |chapitre=XIX | ||
− | |page=27 | + | |page=27}} |
− | }} | ||
« '''Le commerce guérit des préjugés destructeurs : et c’est presque une règle générale, que partout où il y a des mœurs douces, il y a du commerce''' ; et que partout où il y a du commerce, il y a des mœurs douces. » | « '''Le commerce guérit des préjugés destructeurs : et c’est presque une règle générale, que partout où il y a des mœurs douces, il y a du commerce''' ; et que partout où il y a du commerce, il y a des mœurs douces. » | ||
Ligne 46 : | Ligne 43 : | ||
|section=Livre XX | |section=Livre XX | ||
|chapitre=I | |chapitre=I | ||
− | |page=238 | + | |page=238}} |
− | }} | ||
− | « | + | « Je me croirais le plus heureux des mortels, si je pouvais faire que les hommes pussent se guérir de leurs préjugés. J’appelle ici préjugés, non pas ce qui fait que l’on ignore de certaines choses, mais ce qui fait qu’on s’ignore soi-même. » |
{{Réf Livre | {{Réf Livre | ||
|auteur=Montesquieu | |auteur=Montesquieu | ||
Ligne 57 : | Ligne 53 : | ||
|année=1777 | |année=1777 | ||
|section=Préface | |section=Préface | ||
− | |page=cxl | + | |page=cxl}} |
− | }} | ||
− | |||
{{DEFAULTSORT:Montesquieu}} | {{DEFAULTSORT:Montesquieu}} | ||
− | {{ | + | [[Category:Auctores]] |
+ | {{Footer}} |
Version actuelle datée du 22 décembre 2023 à 12:58
Citations
« Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice [...]. »
« [...] les lois inutiles affaiblissent les lois nécessaires [...]. »
« Comme celui qui a l’argent est toujours le maître de l’autre, le traitant se rend despotique sur le prince même ; il n’est pas législateur, mais il le force à donner des lois. »
« Le commerce guérit des préjugés destructeurs : et c’est presque une règle générale, que partout où il y a des mœurs douces, il y a du commerce ; et que partout où il y a du commerce, il y a des mœurs douces. »
« Je me croirais le plus heureux des mortels, si je pouvais faire que les hommes pussent se guérir de leurs préjugés. J’appelle ici préjugés, non pas ce qui fait que l’on ignore de certaines choses, mais ce qui fait qu’on s’ignore soi-même. »