Différences entre les versions de « Discussion:Julius Evola »

 
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== Citationes ==
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"[...] la totalité de l'histoire est une dégénérescence, parce qu'elle montre le déclin universel des premières cultures de type traditionnel, et la montée décisive et violente d'une nouvelle civilisation universelle du type «moderne». "
  
« La femme ne peut être supérieure à l'homme que comme femme, mais à partir du moment où elle veut égaler l'homme, elle n'est qu'une guenon. »
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— Julius Evola, Deutsches Volkstum, Nr. 11 (1938)
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola Julius Evola]
 
  
« Il faut dire sans ambages, que se battre pour la monarchie n'aurait aucun sens, si celle ci devait n'être rien d'autre qu'un bibelot décoratif, quelque chose qui se superposerait au système existant en le laissant tel quel. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola Julius Evola]
 
  
« Est digne du nom d’homme, celui qui en a lui-même sa propre conception. »
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"La communication avec les forces profondes et libres de l’homme et avec celles des choses et de la nature est rompue, le démon des métropoles pétrifie toute vie, syncope toute respiration, contamine toute source."
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola Julius Evola]
 
  
« En tant que "transcendance immanente", le tradere, la transmission (donc la Tradition) ne concerne pas une abstraction qu’on peut contempler, mais une énergie qui, pour être invisible, n’en est pas moins réelle. C’est aux chefs et à l’élite qu’il appartient d’assurer, à l’intérieur de certains cadres institutionnels, variables mais homologues dans leur finalité, cette transmission. Il est assez clair que celle-ci est parfaitement garantie lorsqu’elle est parallèle à la continuité rigoureusement contrôlée d’un même sang. De fait, lorsque la chaîne de la transmission s’interrompt, il est très difficile de la rétablir. Que la Tradition soit l’opposé de tout ce qui est démocratie, égalitarisme, primauté de la société sur l’État, pouvoir qui vient d’en bas, etc., il est inutile de le souligner. »
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— Julius Evola, Méditations du haut des cimes (1974)
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola Julius Evola]
 
  
« La force formatrice de la race ne s'incarne pleinement que chez une minorité ; il n'y a que chez une minorité que peut se réaliser l'idéal de la race dans toute sa pureté, en tant que correspondance, parfaite adéquation et présence de la race du corps, de l'âme et de l'esprit. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola Julius Evola]
 
  
« La force formatrice de la race ne s'incarne pleinement que chez une minorité; il n'y a que chez une minorité que peut se réaliser l'idéal de la race dans toute sa pureté, en tant que correspondance, parfaite adéquation et présence de la race du corps, de l'âme et de l'esprit. [...]
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« L’inégalité est vraie de fait pour la seule raison qu’elle est vraie de droit, elle est réelle pour la seule raison qu’elle est nécessaire. Ce que l’idéologie égalitaire voudrait dépeindre comme un état de justice, serait au contraire, d’un point de vue plus élevé et à l’abri des rhétoriques humanitaires, un état d’injustice. C’est une chose qu’Aristote et Cicéron avaient déjà reconnue. Imposer l’inégalité veut dire transcender la quantité, veut dire admettre la qualité. C’est ici que se distinguent nettement les concepts d’individu et de personne. »
  
Seule compte la résistance silencieuse d’un petit nombre, dont la présence impassible de « convives de pierre » sert à créer de nouveaux rapports, de nouvelles distances, de nouvelles valeurs, et permet de constituer un pôle qui, s’il n’empêche certes pas ce monde d’égarés d’être ce qu’il est, transmettra pourtant à quelques uns la sensation de la vérité, sensation qui sera peut-être aussi le début de quelque crise libératrice. »
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Julius Evola, Les Hommes au milieu des ruines (1953)
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola Julius Evola]
 
  
« The Americans' 'open-mindedness', which is sometimes cited in their favor, is the other side of their interior formlessness. The same goes for their 'individualism'. Individualism and personality are not the same: the one belongs to the formless world of quantity, the other to the world of quality and hierarchy. The Americans are the living refutation of the Cartesian axiom, "I think, therefore I am": Americans do not think, yet they are. The American 'mind', puerile and primitive, lacks characteristic form and is therefore open to every kind of standardization. »
 
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola Julius Evola], American "Civilization" (from ''Civilta Americana'')
 
  
« The United States represents the reductio ad absurdum of the negative and the most senile aspects of Western civilization. What in Europe exist in diluted form are magnified and concentrated in the United States whereby they are revealed as the symptoms of disintegration and cultural and human regression. The American mentality can only be interpreted as an example of regression, which shows itself in the mental atrophy towards all higher interests and incomprehension of higher sensibility. The American mind has limited horizons, one conscribed to everything which is immediate and simplistic, with the inevitable consequence that everything is made banal, basic and leveled down until it is deprived of all spiritual life. Life itself in American terms is entirely mechanistic. The sense of I in America belongs entirely to the physical level of existence. The typical American neither has spiritual dilemmas nor complications: he is a natural joiner and conformist. »
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"L'Occident ne représente aucune idée supérieure. Sa civilisation même, basée sur une négation essentielle des valeurs traditionnelles, comporte les mêmes destructions, le même fond nihiliste qui apparaît avec évidence dans l'univers marxiste et communiste, bien que sous des formes et à des degrés différents."
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola Julius Evola], American "Civilization" (from ''Civilta Americana'')
 
  
« In a superior civilization, as, for example, that of the Indo-Aryans, the being who is without a characteristic form or caste... would emerge as a pariah. In this respect America is a society of pariahs. There is a role for pariahs. It is to be subjected to beings whose form and internal laws are precisely defined. Instead the modern pariahs seek to become dominant themselves and to exercise their dominion over all the world. »
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Julius Evola, Chevaucher le tigre (1961)
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola Julius Evola], American "Civilization" (from ''Civilta Americana'')
 
  
"Το an extent, the formation of nations has run parallel with the revolutionary idea. Already in the oldest historical example, that of the France of Philip the Fair, one can see how the move toward a national state went hand in hand with a process of anti-aristocratic leveling, an incipient destruction of the articulations of an organic society due to absolutism, and the constitution of those centralized “public powers” that would become ever more prominent in modern states. We are well aware of the close relationship between the dissolution corresponding to the declaration of the “rights of man and the citizen” of 1789 and the patriotic, nationalistic, and revolutionary idea. The very word “patriot” was unknown before the French Revolution; it first appeared between 1789 and 1793 to indicate one who supported the revolution against the monarchies and aristocracies. Similarly, in the European revolutionary movements of 1848 and 1849, “people,” “national idea,” and “patriotism” οn the one hand, and revolution, liberalism, constitutionalism, republican and antimonarchical tendencies οn the other, were concordant and often inseparable elements."
 
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Julius_Evola Julius Evola], ''Ride the Tiger''
 
  
== Nexus ==
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"Il est incontestable que, dans le domaine de la culture, de la littérature, des arts et même de la science, les contributions juives, directes ou indirectes, convergent toujours vers un même effet : falsifier, ridiculiser, montrer sous un jour injuste et illusoire tous les idéaux des peuples aryens, en poussant au premier plan tout ce qui se cache de sensuel, d'inférieur et d'animal dans la nature humaine. Souiller tout ce qui est sacré, faire vaciller les certitudes sur leur socle, inspirer un effroi spirituel de nature à encourager les forces les plus viles, ainsi se manifeste l'action juive, action par ailleurs essentiellement instinctive, naturelle, procédant de l'essence, de la «race interne», comme il est propre au feu de brûler et à l'acide de corroder."
  
*http://fr.metapedia.org/wiki/Chevalerie
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— Julius Evola, Il mito del sangue (1942)
*https://philitt.fr/2017/10/16/julius-evola-du-liberalisme-au-marxisme-la-demonie-de-leconomie/
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"Il y a encore des hommes qui n'appartiennent pas à ce monde moderne et que rien dans ce monde ne saurait égarer, exalter ou humilier. Mais qui sont néanmoins prêts à combattre ce monde de toutes leurs forces, dès qu'il sera temps."
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— Julius Evola, Impérialisme Païen
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«Entre la vraie droite et la droite économique, écrit Julius Evola, non seulement il n’y a pas identité, mais il y a même opposition précise» (Le fascisme vu de droite, Totalité, 1981, p. 24).
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== Textes ==
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*https://www.revue-elements.com/le-peril-americain
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*https://theatrum-belli.com/orientations-julius-evola
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*https://www.cjoint.com/doc/20_05/JEdkAkLQEaV_Evola-Orientations.pdf
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« La contemplation, c’est l’essence même de cette expérience héroïque : le regard devient circulaire et solaire, il n’y a plus que le ciel et des forces pures et libres qui reflètent et figent l’immensité dans le chœur titanique des sommets. »
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*Julius Evola, Méditations du haut des cimes (Meditazioni delle vette)

Version actuelle datée du 22 septembre 2024 à 18:09

"[...] la totalité de l'histoire est une dégénérescence, parce qu'elle montre le déclin universel des premières cultures de type traditionnel, et la montée décisive et violente d'une nouvelle civilisation universelle du type «moderne». "

— Julius Evola, Deutsches Volkstum, Nr. 11 (1938)


"La communication avec les forces profondes et libres de l’homme et avec celles des choses et de la nature est rompue, le démon des métropoles pétrifie toute vie, syncope toute respiration, contamine toute source."

— Julius Evola, Méditations du haut des cimes (1974)


« L’inégalité est vraie de fait pour la seule raison qu’elle est vraie de droit, elle est réelle pour la seule raison qu’elle est nécessaire. Ce que l’idéologie égalitaire voudrait dépeindre comme un état de justice, serait au contraire, d’un point de vue plus élevé et à l’abri des rhétoriques humanitaires, un état d’injustice. C’est une chose qu’Aristote et Cicéron avaient déjà reconnue. Imposer l’inégalité veut dire transcender la quantité, veut dire admettre la qualité. C’est ici que se distinguent nettement les concepts d’individu et de personne. »

— Julius Evola, Les Hommes au milieu des ruines (1953)


"L'Occident ne représente aucune idée supérieure. Sa civilisation même, basée sur une négation essentielle des valeurs traditionnelles, comporte les mêmes destructions, le même fond nihiliste qui apparaît avec évidence dans l'univers marxiste et communiste, bien que sous des formes et à des degrés différents."

— Julius Evola, Chevaucher le tigre (1961)


"Il est incontestable que, dans le domaine de la culture, de la littérature, des arts et même de la science, les contributions juives, directes ou indirectes, convergent toujours vers un même effet : falsifier, ridiculiser, montrer sous un jour injuste et illusoire tous les idéaux des peuples aryens, en poussant au premier plan tout ce qui se cache de sensuel, d'inférieur et d'animal dans la nature humaine. Souiller tout ce qui est sacré, faire vaciller les certitudes sur leur socle, inspirer un effroi spirituel de nature à encourager les forces les plus viles, ainsi se manifeste l'action juive, action par ailleurs essentiellement instinctive, naturelle, procédant de l'essence, de la «race interne», comme il est propre au feu de brûler et à l'acide de corroder."

— Julius Evola, Il mito del sangue (1942)


"Il y a encore des hommes qui n'appartiennent pas à ce monde moderne et que rien dans ce monde ne saurait égarer, exalter ou humilier. Mais qui sont néanmoins prêts à combattre ce monde de toutes leurs forces, dès qu'il sera temps."

— Julius Evola, Impérialisme Païen


«Entre la vraie droite et la droite économique, écrit Julius Evola, non seulement il n’y a pas identité, mais il y a même opposition précise» (Le fascisme vu de droite, Totalité, 1981, p. 24).

Textes

« La contemplation, c’est l’essence même de cette expérience héroïque : le regard devient circulaire et solaire, il n’y a plus que le ciel et des forces pures et libres qui reflètent et figent l’immensité dans le chœur titanique des sommets. »

  • Julius Evola, Méditations du haut des cimes (Meditazioni delle vette)