Différences entre les versions de « Jacques Bainville »

 
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== Citations ==
  
« La supériorité des occidentaux tient, en dernière analyse, au capitalisme, c'est-à-dire à la longue accumulation de l'épargne. C'est l'absence de capitaux qui rend les peuples sujets. »
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« '''Versailles est resté un lieu historique, non seulement pour nous, mais pour l’Europe entière.''' Ce palais [...] a été le point que des millions d’hommes regardaient, l’endroit d’où partait une imitation presque générale. Versailles symbolise une civilisation qui a été pendant de longues années la civilisation européenne, notre avance sur les autres pays étant considérable et notre prestige politique aidant à répandre notre langue et nos arts. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville], ''La fortune de la France''
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« ...la fusion des races a commencé dès les âges préhistoriques. Le peuple français est un composé. C'est mieux qu'une race. C'est une nation. »
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« '''Toute guerre civile introduit l’étranger dans les affaires d’un pays.''' Quand une guerre civile a en outre un principe religieux, elle prend un caractère international. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville], ''Histoire de France'', (1924), éd. Americ-Edit, 1930, p. 13
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« En politique ce qui est inutile est souvent nuisible. »
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« Le dixième siècle est probablement le plus atroce de notre l’histoire. [...] Avec la décadence de l’autorité carolingienne, les calamités recommençaient. Au Sud, les Sarrasins avaient reparu. Et puis un autre fléau était venu : les Normands, qui après avoir pillé les côtes, s’enhardissaient, remontaient les fleuves, brûlaient les villes et dévastaient le pays. L’impuissance des Carolingiens à repousser ces envahisseurs hâta la dissolution générale. Désormais, le peuple cessa de compter sur le roi. Le pouvoir royal devint fictif. L’État est en faillite. Personne ne lui obéit plus. On cherche protection où l’on peut.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville]
 
  
« Il y a une autre liberté que la liberté politique, c'est celle qui se gagne par rapport aux idées reçues. »
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[...] L’autorité publique s’est évanouie : c’est le chaos social et politique. Plus de Francie ni de France. Cent, mille autorités locales, au hasard des circonstances, prennent le pouvoir. Le gouverneur de province, le gouverneur de canton, le duc, le comte, de moindres personnages, s’établissent dans leurs charges, les lèguent à leurs enfants, se comportent en vrais souverains. [...]
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville]
 
  
« Les systèmes, comme les constitutions, sont les jouets avec lesquels s'amusent les personnes graves. »
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Ce serait une erreur de croire que les populations eussent été hostiles à ce morcellement de la souveraineté. Tout ce qu’elles demandaient, c’étaient des défenseurs. La féodalité [...] naissait de l’anarchie et du besoin d’un gouvernement, comme aux temps de l’humanité primitive. Représentons-nous des hommes dont la vie était menacée tous les jours, qui fuyaient les bandits de toute espèce, dont les maisons étaient brûlées et les terres ravagées. Dès qu’un individu puissant et vigoureux s’offrait pour protéger les personnes et les biens, on était trop heureux de se livrer à lui, jusqu’au servage, préférable à une existence de bête traquée. De quel prix était la liberté quand la ruine et la mort menaçaient à toute heure et partout ?
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville], ''Réflexions sur la politique''
 
  
« La nationalisme est une attitude de défense, rendue nécessaire par la faiblesse de l'État. »
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[...] Ainsi naquit une multitude de monarchies locales fondées sur un consentement donné par la détresse. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville], ''Journal''
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« L'homme, à toutes les époques et dans tous les siècles, se ressemble, il a les mêmes passions, il raisonne et il se comporte de la même manière dans les mêmes cas. C'est le point capital. Hors de là, il n'y a qu'erreur et fantaisie. »
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« Près de mille ans d’une histoire qui n’est pas finie seront partagés entre la mer et la terre, entre l’Angleterre et l’Allemagne. Ainsi l’histoire de la France, c’est celle de l’élaboration et de la conservation de notre pays à travers des accidents, des difficultés, des orages, venus de l’intérieur comme de l’extérieur, qui ont failli vingt fois renverser la maison ou après lesquels il a fallu la reconstruire. '''La France est une œuvre de l’intelligence et de la volonté.''' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville]
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« Les générations sont solidaires à travers le temps et à travers les sottises. »
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« [...] la fusion des races a commencé dès les âges préhistoriques. '''Le peuple français est un composé. C’est mieux qu’une race. C’est une nation.''' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville], ''Politique''
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« Le pouvoir d'oublier, très fort chez les individus, l'est encore plus dans les sociétés humaines. »
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« '''Le sionisme allumera sans doute en Palestine une hideuse guerre de religion : encore un de ces progrès à rebours que les traités auront valu au genre humain.''' ''L’Osservatore romano'' signale, parmi les immigrants juifs qui arrivent en nombre, des fanatiques qui parlent de détruire les reliques chrétiennes. Ce n’est pas tout. Avec la guerre religieuse, le sionisme apporte la guerre sociale. Les juifs venus de Pologne, de Russie, de Roumanie, réclament un partage des terres et l’expulsion des indigènes. M. Nathan Strauss, le milliardaire américain, dit crûment que “les musulmans trouveront d’autres régions pour vivre”. Admirable moyen de réunir, en Asie Mineure et même plus loin, tout l’Islam contre l’Occident. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville], ''Lectures''
 
  
« Ce qui contribue à donner à l'histoire les plus fausses couleurs, ce sont les mémoires. »
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— Jacques Bainville, « Les effets du sionisme », ''L’Action française'', 20 décembre 1920
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville]
 
  
« Ce qui est curieux, ce n'est pas tant qu'on ait tout dit, mais qu'on ait tout dit en vain, de sorte que tout est toujours à redire. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville]
 
  
« Le dixième siècle est probablement le plus atroce de notre l’histoire. Avec la décadence de l’autorité carolingienne, les calamités recommençaient : au Sud, les Sarrasins avaient reparu, et un autre fléau était venu : les Normands s’enhardissaient et dévastaient le pays.
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« '''Le nationalisme est une attitude de défense, rendue nécessaire par la faiblesse de l’État français.''' »
  
L’impuissance des Carolingiens à repousser ces envahisseurs hâta la dissolution générale. Désormais, le peuple cessa de compter sur le roi. Le pouvoir royal devint fictif. L’État est en faillite. Personne ne lui obéit plus. On cherche protection où l’on peut. L’autorité publique s’est évanouie : c’est le chaos social et politique. Plus de Francie ni de France. Cent, mille autorités locales, au hasard des circonstances, prennent le pouvoir. Le gouverneur de province, le gouverneur de canton, le duc, le comte, de moindres personnages, s’établissent dans leurs charges, les lèguent à leurs enfants, se comportent en vrais souverains. `
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— Jacques Bainville, Journal, 12 novembre 1911
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Ce serait une erreur de croire que les populations eussent été hostiles à ce morcellement de la souveraineté. Tout ce qu’elles demandaient, c’étaient des défenseurs. La féodalité naissait de l’anarchie et du besoin d’un gouvernement, comme aux temps de l’humanité primitive. Représentons-nous des hommes dont la vie était menacée tous les jours, qui fuyaient les bandits de toute espèce, dont les maisons étaient brûlées et les terres ravagées. Dès qu’un individu puissant et vigoureux s’offrait pour protéger les personnes et les biens, on était trop heureux de se livrer à lui, jusqu’au servage, préférable à une existence de bête traquée.
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== Bibliographie ==
  
De quel prix était la liberté quand la ruine et la mort menaçaient à toute heure et partout ? Ainsi naquit une multitude de monarchies locales fondées sur un consentement donné par la détresse. »
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*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville], ''Histoire de France'' (1924)
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{{Affiliation|https://kontrekulture.com/produit/histoire-de-deux-peuples/?asv=7|https://cdn.kontrekulture.com/wp-content/uploads/20200626231158/histoire-de-deux-peuples-300x300.png}}
  
« L'optimisme est la foi des révolutions. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville], ''Lectures''
 
 
« Ayant dit un nombre prodigieux de sottises, la Révolution en a fait encore dire plus ! »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville], ''Lectures''
 
 
« Symmaque. - [...] Tu te trompes, Flaminius, quand tu supputes un retour à nos croyances. Les catastrophes ne ramènent pas le passé. Elles sont comme les tempêtes qui achèvent de renverser les vieux murs. Elles dispersent ce qui ne subsistait que par la force de l'habitude. Elles donnent un élan irrésistible aux novateurs. Peut-être, un moment,dans la communauté de l'infortune, auront-ils quelque attendrissement et quelque pitié pour ceux qui restent fidèles aux dieux. Chez les révolutionnaires eux-mêmes il paraît alors comme un regret de ce qui va périr. Ce moment ne dure pas. La sagesse est d'en profiter. N'attaquons plus les chrétiens. Ne raillons plus leur Christ, leurs apôtres et leur martyrs. Gardons les images des dieux immortels vivantes dans nos coeurs, mais faisons-nous oublier et tolérer s'il se peut.
 
 
Flaminius. - Tolérance est le mot des tièdes. C'est aussi la supplication des vaincus. Les chrétiens nous disent déjà que nous invoquons la tolérance depuis que nous sommes persécutés. Nous serons perdus le jour où nous accepterons l'égalité des cultes et où nous cesseront de rappeler que l'adoration des dieux est la religion de l’État. La politique des concessions n'est pas seulement honteuse et lâche. Elle est inepte. Est-ce à l'heure où le maître du monde manifeste si clairement sa colère que nous allons renoncer à la lutte ? Notre vieille religion a passé par d'autres épreuves et c'est quand on la croyait morte qu'elle a eu ses plus belles renaissances. Quand parut-elle plus bas qu'à la fin de la République, au temps où la Grèce vaincue nous donnait, par une sorte de vengeance, le poison de sa philosophie ? Alors l'impiété fut si grande que l'athéisme était proféré par les poètes et les consuls. Auguste vint. Il releva les autels et Virgile honora pour toujours ce que Lucrèce avait souillé. Souviens-toi encore du noble Julien avec qui notre culte remonta sur le trône après un exil de quarante ans. L'éclatante conversion du neveu de Constantin ne prouve-t-elle pas que les dieux sont immortels ? Si nous ne les trahissons pas, ils ne peuvent nous trahir. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville], ''Symmaque'', 1926
 
 
« La dictature n'est pas forcément de droite, elle est souvent de gauche, pour prendre le vocabulaire d'aujourd'hui. Fustel de Coulanges a montré que dans la cité antique, le "tyran" est l'homme des pauvres contre les riches ; un Lénine exerçait la dictature du prolétariat… »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville]
 
 
« La dictature n’est nullement exclue par le régime républicain. Et même, une république dans l’embarras recourt naturellement à la dictature… »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Bainville Jacques Bainville]
 
 
== Bibliographia ==
 
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Version actuelle datée du 12 novembre 2024 à 14:50

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Citations

« Versailles est resté un lieu historique, non seulement pour nous, mais pour l’Europe entière. Ce palais [...] a été le point que des millions d’hommes regardaient, l’endroit d’où partait une imitation presque générale. Versailles symbolise une civilisation qui a été pendant de longues années la civilisation européenne, notre avance sur les autres pays étant considérable et notre prestige politique aidant à répandre notre langue et nos arts. »

— Jacques Bainville, Histoire de France (1924), éd. Kontre Kulture, 2012 (ISBN 9782367250045), p. 255


« Toute guerre civile introduit l’étranger dans les affaires d’un pays. Quand une guerre civile a en outre un principe religieux, elle prend un caractère international. »

— Jacques Bainville, Histoire de France (1924), éd. Kontre Kulture, 2012 (ISBN 9782367250045), p. 164


« Le dixième siècle est probablement le plus atroce de notre l’histoire. [...] Avec la décadence de l’autorité carolingienne, les calamités recommençaient. Au Sud, les Sarrasins avaient reparu. Et puis un autre fléau était venu : les Normands, qui après avoir pillé les côtes, s’enhardissaient, remontaient les fleuves, brûlaient les villes et dévastaient le pays. L’impuissance des Carolingiens à repousser ces envahisseurs hâta la dissolution générale. Désormais, le peuple cessa de compter sur le roi. Le pouvoir royal devint fictif. L’État est en faillite. Personne ne lui obéit plus. On cherche protection où l’on peut.

[...] L’autorité publique s’est évanouie : c’est le chaos social et politique. Plus de Francie ni de France. Cent, mille autorités locales, au hasard des circonstances, prennent le pouvoir. Le gouverneur de province, le gouverneur de canton, le duc, le comte, de moindres personnages, s’établissent dans leurs charges, les lèguent à leurs enfants, se comportent en vrais souverains. [...]

Ce serait une erreur de croire que les populations eussent été hostiles à ce morcellement de la souveraineté. Tout ce qu’elles demandaient, c’étaient des défenseurs. La féodalité [...] naissait de l’anarchie et du besoin d’un gouvernement, comme aux temps de l’humanité primitive. Représentons-nous des hommes dont la vie était menacée tous les jours, qui fuyaient les bandits de toute espèce, dont les maisons étaient brûlées et les terres ravagées. Dès qu’un individu puissant et vigoureux s’offrait pour protéger les personnes et les biens, on était trop heureux de se livrer à lui, jusqu’au servage, préférable à une existence de bête traquée. De quel prix était la liberté quand la ruine et la mort menaçaient à toute heure et partout ?

[...] Ainsi naquit une multitude de monarchies locales fondées sur un consentement donné par la détresse. »

— Jacques Bainville, Histoire de France (1924), éd. Kontre Kulture, 2012 (ISBN 9782367250045), p. 49-51


« Près de mille ans d’une histoire qui n’est pas finie seront partagés entre la mer et la terre, entre l’Angleterre et l’Allemagne. Ainsi l’histoire de la France, c’est celle de l’élaboration et de la conservation de notre pays à travers des accidents, des difficultés, des orages, venus de l’intérieur comme de l’extérieur, qui ont failli vingt fois renverser la maison ou après lesquels il a fallu la reconstruire. La France est une œuvre de l’intelligence et de la volonté. »

— Jacques Bainville, Histoire de France (1924), éd. Kontre Kulture, 2012 (ISBN 9782367250045), p. 21


« [...] la fusion des races a commencé dès les âges préhistoriques. Le peuple français est un composé. C’est mieux qu’une race. C’est une nation. »

— Jacques Bainville, Histoire de France (1924), éd. Kontre Kulture, 2012 (ISBN 9782367250045), p. 19


« Le sionisme allumera sans doute en Palestine une hideuse guerre de religion : encore un de ces progrès à rebours que les traités auront valu au genre humain. L’Osservatore romano signale, parmi les immigrants juifs qui arrivent en nombre, des fanatiques qui parlent de détruire les reliques chrétiennes. Ce n’est pas tout. Avec la guerre religieuse, le sionisme apporte la guerre sociale. Les juifs venus de Pologne, de Russie, de Roumanie, réclament un partage des terres et l’expulsion des indigènes. M. Nathan Strauss, le milliardaire américain, dit crûment que “les musulmans trouveront d’autres régions pour vivre”. Admirable moyen de réunir, en Asie Mineure et même plus loin, tout l’Islam contre l’Occident. »

— Jacques Bainville, « Les effets du sionisme », L’Action française, 20 décembre 1920


« Le nationalisme est une attitude de défense, rendue nécessaire par la faiblesse de l’État français. »

— Jacques Bainville, Journal, 12 novembre 1911

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Bibliographie

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