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− | <categorytree mode=pages style="float: right; clear: right; margin-left: 1ex; border: 1px solid gray; padding: 0.7ex; background-color: white;">Freedom thinkers</categorytree>
| + | {{Image|Ludwig von Mises|}} |
− | === [[:Category:Equality|Equality]] === | + | == Citations == |
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− | « L'inégalité des revenus et des fortunes est un caractère inhérent de l'économie de marché. Son élimination détruirait complètement l'économie de marché. Les gens qui réclament l'égalité ont toujours à l'esprit un accroissement de leur propre pouvoir de consommation. Personne, en adoptant le principe d'égalité comme postulat politique, ne souhaite partager son propre revenu avec ceux qui en ont moins. Lorsque le salarié américain parle d'égalité, il veut dire que les dividendes des actionnaires devraient lui être attribués. Il ne suggère pas une réduction de son propre revenu au profit des 95 % de la population mondiale qui gagnent moins que lui. » | + | « '''L’étalon-or a pourtant une vertu proprement formidable : la quantité de monnaie disponible, en régime d’étalon-or, est indépendante de la politique des gouvernants et des partis politiques.''' C’est là son avantage. C’est concrètement une protection contre les gouvernements prodigues. » |
− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises], ''L’action humaine'' (1949) PUF, Coll. Libre échange, page 885, 1985
| + | {{Réf Livre |
| + | |langue=fr |
| + | |auteur=Ludwig von Mises |
| + | |titre=Politique économique. Réflexions pour aujourd’hui et pour demain |
| + | |année d'origine=1959 |
| + | |traducteur=Raoul Audouin |
| + | |éditeur=Éditions de l’Institut économique de Paris |
| + | |année=1983 |
| + | |chapitre=Quatrième leçon — Inflation |
| + | |page=}} |
| + | :“[...] '''the gold standard has one tremendous virtue: the quantity of money under the gold standard is independent of the policies of governments and political parties.''' This is its advantage. It is a form of protection against spendthrift governments.” |
| + | :{{Réf Livre |
| + | |langue=en |
| + | |auteur=Ludwig von Mises |
| + | |titre=Economic Policy: Thoughts for Today and Tomorrow |
| + | |année d'origine=1959 |
| + | |éditeur=Ludwig von Mises Institute |
| + | |année=2006 |
| + | |ISBN=9781933550015 |
| + | |page=65}} |
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− | === [[:Category:Democracy|Democracy]] === | + | « L’économie de marché n’a pas besoin d’apologistes ni de propagandistes. [...] Si vous cherchez son monument, regardez autour de vous. » |
| + | {{Réf Livre |
| + | |auteur=Ludwig von Mises |
| + | |titre=L’Action humaine |
| + | |année d'origine=1949 |
| + | |traducteur=Raoul Audouin |
| + | |éditeur=Presses universitaires de France |
| + | |collection=Libre échange |
| + | |année=1985 |
| + | |ISBN=9782130385981 |
| + | |chapitre=XXXV |
| + | |page=}} |
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− | « Croire en la démocratie implique que l'on croie d'abord à des choses plus hautes que la démocratie. »
| + | „Soviel über die innerpolitische Stellung des Faszismus. Daß er außenpolitisch durch das Bekenntnis zum Gewaltprinzip im Verhältnis von Volk zu Volk eine endlose Reihe von Kriegen hervorrufen muß, die die ganze moderne Gesittung vernichten müssen, bedarf keiner weiteren Ausführung. Der Fortbestand und die Fortentwicklung der wirtschaftlichen Kultur der Gegenwart verlangen Sicherung des Friedens zwischen den Völkern. Die Völker aber können sich nicht vertragen, wenn sie von einer Ideologie beherrscht werden, die glaubt, durch Gewalt allein die Stellung des eigenen Volkes im Kreise der Völker sichern zu können. |
− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | « Si les membres du gouvernement se considèrent comme les représentants non plus des contribuables, mais des bénéficiaires de traitements, appointements, subventions, allocations et autres avantages tirés des ressources publiques, c'en est fait de la démocratie. »
| + | '''Es kann nicht geleugnet werden, daß der Faszismus und alle ähnlichen Diktaturbestrebungen voll von den besten Absichten sind und daß ihr Eingreifen für den Augenblick die europäische Gesittung gerettet hat.''' Das Verdienst, das sich der Faszismus damit erworben hat, wird in der Geschichte ewig fortleben. Doch die Politik, die im Augenblick Rettung gebracht hat, ist nicht von der Art, daß das dauernde Festhalten an ihr Erfolg versprechen könnte. Der Faszismus war ein Notbehelf des Augenblicks; ihn als mehr anzusehen, wäre ein verhängnisvoller Irrtum.“ |
− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
| + | {{Réf Livre |
| + | |langue=de |
| + | |auteur=Ludwig von Mises |
| + | |titre=Liberalismus |
| + | |année d'origine=1927 |
| + | |éditeur=Gustav Fischer Verlag |
| + | |année=1927 |
| + | |page=45}} |
| + | :« Nous n’en dirons pas plus sur la politique intérieure du fascisme. Il n’est pas nécessaire de s’appesantir sur le fait que sa politique étrangère, fondée sur le principe déclaré de la force dans les relations internationales, ne peut pas manquer de conduire à une suite sans fin de guerres devant détruire toute la civilisation moderne. Pour maintenir et accroître notre niveau de développement économique actuel, il convient d’assurer la paix entre les nations. Mais celles-ci ne peuvent pas vivre ensemble en paix si les principes de base de l’idéologie qui les gouverne consistent à croire que sa propre nation ne peut assurer que par la force sa place dans le concert des nations. |
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− | === [[:Category:State|State]] === | + | :'''On ne peut nier que le fascisme et les mouvements similaires cherchant à mettre en place des dictatures sont remplis des meilleures intentions et que leur intervention a, pour l’instant, sauvé la civilisation européenne. Le mérite qui en revient au fascisme demeurera éternellement dans l’histoire.''' Mais bien que sa politique ait apporté provisoirement le salut, elle n’est pas de nature à nous assurer les succès futurs. Le fascisme était une solution d’urgence. Le considérer comme quelque chose de plus serait une erreur fatale. » |
| + | :{{Réf Article |
| + | |langue=fr |
| + | |titre=[http://herve.dequengo.free.fr/Mises/LL/LL_1.htm#par10 Le Libéralisme] (1927) |
| + | |auteur=Ludwig von Mises |
| + | |traducteur=Contributions à la nouvelle pensée économique |
| + | |publication=Les essais : Cahiers trimestriels (Contributions à la nouvelle pensée économique) |
| + | |éditeur=L’imprimerie du Delta |
| + | |date=1964 |
| + | |page=47-157 |
| + | }} |
| + | ::“So much for the domestic policy of Fascism. That its foreign policy, based as it is on the avowed principle of force in international relations, cannot fail to give rise to an endless series of wars that must destroy all of modern civilization requires no further discussion. To maintain and further raise our present level of economic development, peace among nations must be assured. But they cannot live together in peace if the basic tenet of the ideology by which they are governed is the belief that one’s own nation can secure its place in the community of nations by force alone. |
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− | « Les pires maux qu'aient eu à endurer l'humanité ont été infligés par de mauvais gouvernements. L'État peut être, et a souvent été dans le cours de l'histoire, la principale source de dommages et de désastres. »
| + | ::'''It cannot be denied that Fascism and similar movements aiming at the establishment of dictatorships are full of the best intentions and that their intervention has, for the moment, saved European civilization. The merit that Fascism has thereby won for itself will live on eternally in history.''' But though its policy has brought salvation for the moment, it is not of the kind which could promise continued success. Fascism was an emergency makeshift. To view it as something more would be a fatal error.” |
− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
| + | ::{{Réf Livre |
| + | |langue=en |
| + | |auteur=Ludwig von Mises |
| + | |titre=Liberalism: A Socio-Economic Exposition (Studies in economic theory) |
| + | |année d'origine=1927 |
| + | |éditeur=Sheed Andrews and McMeel |
| + | |année=1978 |
| + | |page=}} |
| + | {{Center|Friedrich Hayek et Ludwig von Mises|[[Friedrich Hayek]] et [[Ludwig von Mises]]}} |
| + | {{Center|Ludwig von Mises et Friedrich Hayek|[[Ludwig von Mises]] et [[Friedrich Hayek]]}} |
| + | {{Center|Ludwig von Mises et Jacques Rueff|[[Ludwig von Mises]] et [[Jacques Rueff]]}} |
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− | « Un gouvernement se trouve toujours obligé de recourir aux mesures inflationnistes quand il ne peut pas négocier de crédits et n’ose pas lever de nouveaux impôts parce qu’il craint avec raison de ne pas obtenir de soutien à la politique qu’il mène s’il révèle trop vite les conséquences financières et économiques de cette dernière. Ainsi l’inflation devient la ressource psychologique la plus importante de toute politique économique dont les conséquences doivent être masquées et, dans cet esprit, elle peut être considérée comme un instrument impopulaire, c’est-à-dire anti-démocratique, puisqu’elle induit en erreur l’opinion publique, puisqu’elle permet l’existence ininterrompue d’un système de gouvernement qui n’obtiendrait jamais l’assentiment du peuple si les circonstances lui étaient clairement exposées. Voilà la fonction politique de l’inflation. Cela explique pourquoi l’inflation a toujours été une ressource importante parmi les mesures politiques en temps de guerre et de révolution et pourquoi nous la retrouvons au service du socialisme. Quand les gouvernements ne croient pas qu’il est nécessaire d’adapter leurs dépenses à leurs revenus et s’arrogent le droit de creuser le déficit budgétaire en imprimant des billets, leur idéologie relève d’un absolutisme déguisé. »
| + | {{DEFAULTSORT:Mises, Ludwig von}} |
− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
| + | [[Category:Auctores]] |
− | | + | {{Footer}} |
− | « Les princes et les majorités démocratiques sont ivres de pouvoir. C’est avec réticence qu’ils doivent admettre qu’ils sont assujettis aux lois de la nature. Mais ils rejettent la notion même de la loi économique. Ne sont-ils pas les législateurs suprêmes ? Ne sont-ils pas capables d’écraser tout opposant ? Aucun seigneur de la guerre n’est enclin à reconnaître aucune limite autre que celle qui lui est imposée par une force armée supérieure. Des serviles écrivaillons sont toujours prêts à encourager cette complaisance en exposant les doctrines appropriées. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | === [[:Category:Tax|Tax]] ===
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− | « L'impôt progressif est un mode exagéré d'expropriation. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | === [[:Category:Liberalism|Liberalism]] ===
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− | « À la base de toutes les doctrines totalitaires se trouve la croyance que les gouvernants sont plus sages et d'un esprit plus élevé que leurs sujets, qu'ils savent donc mieux qu'eux ce qui leur est profitable. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | « Les gens qui se battent pour la libre entreprise ne défendent pas les intérêts de ceux qui se trouvent aujourd'hui être riches. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | « Le nationalisme économique est la cause à la racine de tous les conflits internationaux qui ont débouché sur deux guerres mondiales. C'est le nationalisme économique qui, d'une part, conduisit les nations "dynamiques" à l'agression et, d'autre part, dissuada les nations pacifiques de mettre en place une barrière contre une nouvelle agression allemande. Tous les plans pour un meilleur ordre mondial après la guerre sont inutiles s'ils ne réussissent pas à éliminer le protectionnisme et à instaurer le libre-échange. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | === [[:Category:Economy|Economy]] ===
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− | « L'économie de marché n'a pas besoin d'apologistes ni de propagandistes. [...] Si vous cherchez son monument, regardez autour de vous. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | « La valeur n'est pas intrinsèque, elle n'est pas dans des choses. Elle est en nous ; elle est la façon
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− | dont l’homme réagit aux conditions de son environnement. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | === [[:Category:Money|Money]] ===
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− | « La quantité de monnaie disponible dans l'économie est toujours suffisante pour permettre à chacun tout ce que la monnaie fait et peut faire. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | « Recourir à l'inflation pour surmonter des difficultés passagères équivaut à brûler ses meubles pour se chauffer. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises], publié (en français) dans ''Aujourd'hui'', première année, numéro 4, pp. 153-161, 15 février 1938
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− | « Ce qu’il faut pour une expansion saine de la production, ce sont des biens d’équipement supplémentaires, pas de l’argent ou des moyens fiduciaires. L’expansion du crédit est bâtie sur les sables des billets de banques et des dépôts. Elle doit nécessairement s’effondrer. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises], ''L’action humaine''
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− | « Certes, les gouvernements peuvent réduire les taux d’intérêts à court terme, émettre de la monnaie papier supplémentaire, ouvrir la voie du crédit par les banques. Ils peuvent donc créer un boom artificiel et l’apparence de la prospérité. Mais un tel boom est condamné à s’effondrer tôt ou tard, et à provoquer une dépression. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises], ''Omnipotent Government'' (1944)
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− | « Il n’y a aucun moyen d’éviter l’effondrement final d’un boom provoqué par une expansion du crédit. L’alternative est de savoir si la crise doit arriver plus tôt, par l’abandon volontaire d’une expansion supplémentaire du crédit, ou plus tardivement, comme une catastrophe finale et totale du système monétaire affecté. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises], ''L’action humaine''
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− | « Il n’y a aucun moyen de soutenir durablement un « boom » économique résultant d’une expansion du crédit. L’alternative est ou bien d’aboutir à une crise plus tôt par arrêt volontaire de l’expansion monétaire, ou bien plus tard par l’effondrement complet de la monnaie qui est en cause. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | === [[:Category:Anti-communism|Anti-communism]] ===
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− | « Le marxisme et le national-socialisme ont en commun leur opposition au libéralisme et le rejet de l'ordre social et du régime capitaliste. Les deux visent un régime socialiste. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | « Le socialiste marxiste rejette la guerre internationale parce que les ennemis sont pour lui les classes possédantes de sa propre nation et non les autres nations. L'impérialiste nationaliste rejette la révolution parce qu'il est convaincu de la solidarité d'intérêts de toutes les couches de sa nation dans la lutte contre l'ennemi étranger. Ni l'un ni l'autre ne sont des adversaires de l'intervention armée, ni l'un ni l'autre ne sont des adversaires des bains de sang comme le sont les libéraux, qui n'approuvent que la guerre défensive. Rien n'est par conséquent de plus mauvais goût pour un socialiste marxiste que de fulminer contre la guerre, rien n'est de plus mauvais goût pour un chauvin que de fulminer contre la révolution, quand cela se fait pour des considérations philanthropiques se souciant du sang innocent versé à cette occasion. Quis tulerit Gracchos de seditione querentes ? (Qui peut supporter les Gracchi quand ils se plaignent de la sédition ?). »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | === [[:Category:Liberty|Liberty]] ===
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− | « Le concept : liberté, est un concept sociologique. Il est stupide de l'appliquer à des situations qui se trouvent en dehors de la formation sociale. [...] Nous n'avons pas affaire ici au problème de la liberté intérieure, associée à la naissance des actes de la volonté mais au problème de la liberté extérieure, associée aux effets des actions. [...] C'est l'adaptation de l'individu aux nécessités de la vie sociale ; d'un côté limitation de la propre liberté d'action par rapport à autrui, de l'autre limitation de la liberté d'action d'autrui par rapport à l'individu. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | === [[:Category:Perversion|Perversion]] ===
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− | « Dans la vie de l'homme la question sexuelle a moins d'importance que dans la vie de la femme. Lorsqu'il a contenté son désir, c'est pour lui une détente, il se sent libre et léger. La femme, elle, est dépendante du poids de la maternité, qu'elle a maintenant à porter. Sa destiné est incluse dans l'action sexuelle qui, dans la vie de l'homme n'est qu'un incident. L'homme, quelque soit l'ardeur et la sincérité de son amour, quelque grands que soient les sacrifices qu'il est prêt à faire pour la femme, reste toujours sur un plan supérieur au plan sexuel. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises], ''Le Socialisme''
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− | === [[:Category:Property|Property]] ===
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− | « En réalité, l'idée centrale du libéralisme classique est la propriété privée, et non une certaine idée erronée de la libre concurrence. Il est sans importance qu'il y ait ou non beaucoup de studios d'enregistrement, mais ce qui compte c'est que les moyens de production des enregistrements soient propriété privée et non propriété du gouvernement. »
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− | *[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ludwig_Von_Mises Ludwig von Mises]
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− | == Videos ==
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− | * [http://www.youtube.com/view_play_list?p=ED883527337E557B Human Action: A Treatise on Economics by Ludwig von Mises]
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− | [[Category:Equality]]
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− | [[Category:Democracy]]
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− | [[Category:State]]
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− | [[Category:Tax]]
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− | [[Category:Liberalism]]
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− | [[Category:Economy]]
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− | [[Category:Money]]
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− | [[Category:Anti-communism]]
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− | [[Category:Liberty]]
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− | [[Category:Perversion]]
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− | [[Category:Property]]
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− | [[Category:Freedom thinkers]]
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Citations
« L’étalon-or a pourtant une vertu proprement formidable : la quantité de monnaie disponible, en régime d’étalon-or, est indépendante de la politique des gouvernants et des partis politiques. C’est là son avantage. C’est concrètement une protection contre les gouvernements prodigues. »
— (fr) Ludwig von Mises, Politique économique. Réflexions pour aujourd’hui et pour demain (1959), trad. Raoul Audouin, éd. Éditions de l’Institut économique de Paris, 1983, chap. Quatrième leçon — Inflation, p.
- “[...] the gold standard has one tremendous virtue: the quantity of money under the gold standard is independent of the policies of governments and political parties. This is its advantage. It is a form of protection against spendthrift governments.”
— (en) Ludwig von Mises, Economic Policy: Thoughts for Today and Tomorrow (1959), éd. Ludwig von Mises Institute, 2006 (ISBN 9781933550015), p. 65
« L’économie de marché n’a pas besoin d’apologistes ni de propagandistes. [...] Si vous cherchez son monument, regardez autour de vous. »
— Ludwig von Mises, L’Action humaine (1949), trad. Raoul Audouin, éd. Presses universitaires de France, coll. « Libre échange », 1985 (ISBN 9782130385981), chap. XXXV, p.
„Soviel über die innerpolitische Stellung des Faszismus. Daß er außenpolitisch durch das Bekenntnis zum Gewaltprinzip im Verhältnis von Volk zu Volk eine endlose Reihe von Kriegen hervorrufen muß, die die ganze moderne Gesittung vernichten müssen, bedarf keiner weiteren Ausführung. Der Fortbestand und die Fortentwicklung der wirtschaftlichen Kultur der Gegenwart verlangen Sicherung des Friedens zwischen den Völkern. Die Völker aber können sich nicht vertragen, wenn sie von einer Ideologie beherrscht werden, die glaubt, durch Gewalt allein die Stellung des eigenen Volkes im Kreise der Völker sichern zu können.
Es kann nicht geleugnet werden, daß der Faszismus und alle ähnlichen Diktaturbestrebungen voll von den besten Absichten sind und daß ihr Eingreifen für den Augenblick die europäische Gesittung gerettet hat. Das Verdienst, das sich der Faszismus damit erworben hat, wird in der Geschichte ewig fortleben. Doch die Politik, die im Augenblick Rettung gebracht hat, ist nicht von der Art, daß das dauernde Festhalten an ihr Erfolg versprechen könnte. Der Faszismus war ein Notbehelf des Augenblicks; ihn als mehr anzusehen, wäre ein verhängnisvoller Irrtum.“
— (de) Ludwig von Mises, Liberalismus (1927), éd. Gustav Fischer Verlag, 1927, p. 45
- « Nous n’en dirons pas plus sur la politique intérieure du fascisme. Il n’est pas nécessaire de s’appesantir sur le fait que sa politique étrangère, fondée sur le principe déclaré de la force dans les relations internationales, ne peut pas manquer de conduire à une suite sans fin de guerres devant détruire toute la civilisation moderne. Pour maintenir et accroître notre niveau de développement économique actuel, il convient d’assurer la paix entre les nations. Mais celles-ci ne peuvent pas vivre ensemble en paix si les principes de base de l’idéologie qui les gouverne consistent à croire que sa propre nation ne peut assurer que par la force sa place dans le concert des nations.
- On ne peut nier que le fascisme et les mouvements similaires cherchant à mettre en place des dictatures sont remplis des meilleures intentions et que leur intervention a, pour l’instant, sauvé la civilisation européenne. Le mérite qui en revient au fascisme demeurera éternellement dans l’histoire. Mais bien que sa politique ait apporté provisoirement le salut, elle n’est pas de nature à nous assurer les succès futurs. Le fascisme était une solution d’urgence. Le considérer comme quelque chose de plus serait une erreur fatale. »
—
(fr)«
Le Libéralisme (1927) », Ludwig von Mises (trad. Contributions à la nouvelle pensée économique),
Les essais : Cahiers trimestriels (Contributions à la nouvelle pensée économique), 1964
- “So much for the domestic policy of Fascism. That its foreign policy, based as it is on the avowed principle of force in international relations, cannot fail to give rise to an endless series of wars that must destroy all of modern civilization requires no further discussion. To maintain and further raise our present level of economic development, peace among nations must be assured. But they cannot live together in peace if the basic tenet of the ideology by which they are governed is the belief that one’s own nation can secure its place in the community of nations by force alone.
- It cannot be denied that Fascism and similar movements aiming at the establishment of dictatorships are full of the best intentions and that their intervention has, for the moment, saved European civilization. The merit that Fascism has thereby won for itself will live on eternally in history. But though its policy has brought salvation for the moment, it is not of the kind which could promise continued success. Fascism was an emergency makeshift. To view it as something more would be a fatal error.”
— (en) Ludwig von Mises, Liberalism: A Socio-Economic Exposition (Studies in economic theory) (1927), éd. Sheed Andrews and McMeel, 1978, p.
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