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"Nous nous plaignons chaque jour de l'immoralité et nous ne daignons pas nous apercevoir que nous avons détruit nous-mêmes ou laissé détruire toute une partie des bases de la morale, qu'on les détruit encore chaque jour devant nous. Les pousses que nous avons plantées à la place des grands chênes abattus sont rabougries et se dessèchent. Et nous nous plaignons d'avancer dans un désert. C'est que nous avons reconstruit les ponts, les usines, les villes que les bombes avaient écrasés, mais non les valeurs morales que la guerre idéologique avait détruites. Dans ce domaine nous sommes encore devant un champ de ruines. Des cloportes hantent ces ruines, on y trouve des végétations inconnues, on y rencontre des visiteurs étranges. Le vide moral que nous avons créé n'est pas moins menaçant pour notre avenir que le vide géographique que nous avons laissé s'installer au cœur de l'Europe, mais nous ne le voyons pas. "
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« Nous en sommes arrivés, sans nous en rendre compte, à un régime où il n’est pas permis de penser incorrectement, et où il n’est pas permis non plus de vivre incorrectement. Comme le marxisme, la démocratie tient qu’il existe une vérité morale parce qu’elle croit comme le marxisme à un progrès de l’humanité et par conséquent à un sens de l’histoire. »
Maurice Bardèche
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« Je crois en l’homme blanc, non parce qu’il a créé les machines et les banques, mais parce qu’il a proclamé que le courage et la loyauté étaient les plus grandes qualités de l’homme. Tout ce qui favorise et exalte les qualités viriles et chevaleresques de l’homme s’appelle civilisation ; tout ce qui les dégrade et les ravale s’appelle décadence. Tout homme, tout événement, toute situation qui aide l’homme d’Occident à être le juge entre les hommes est bon. Tout homme, tout événement, toute situation qui diminuent le pouvoir de l’homme d’Occident est un malheur. De ces principes, les esprits logiques ont pu tirer les conséquences humaines. La défaite de l’Allemagne en 1945 est la plus grande catastrophe des temps modernes. L’abandon volontaire de la moitié de l’Europe à un pharaonisme asiatique fondé sur l’esclavage et la terreur est un crime politique. L’institution de la dissidence et de la rébellion comme principes de la légitimité politique ne peuvent amener dans l’avenir que d’autres dissidences et d’autres rébellions. La campagne systématique de calomnies et de haine contre l’énergie, la discipline, le désintéressement est un attentat contre les valeurs les plus précieuses de la civilisation d’Occident. L’exaltation systématique des races étrangères à l’esprit de la civilisation occidentale et la prétention de leur confier un rôle important dans la politique mondiale est un danger grave pour l’Occident et en même temps pour ces races mêmes qui sont incapables d’assumer le rôle qu’on leur destine. »

Version actuelle datée du 19 mai 2025 à 10:33

« Nous en sommes arrivés, sans nous en rendre compte, à un régime où il n’est pas permis de penser incorrectement, et où il n’est pas permis non plus de vivre incorrectement. Comme le marxisme, la démocratie tient qu’il existe une vérité morale parce qu’elle croit comme le marxisme à un progrès de l’humanité et par conséquent à un sens de l’histoire. »

« Je crois en l’homme blanc, non parce qu’il a créé les machines et les banques, mais parce qu’il a proclamé que le courage et la loyauté étaient les plus grandes qualités de l’homme. Tout ce qui favorise et exalte les qualités viriles et chevaleresques de l’homme s’appelle civilisation ; tout ce qui les dégrade et les ravale s’appelle décadence. Tout homme, tout événement, toute situation qui aide l’homme d’Occident à être le juge entre les hommes est bon. Tout homme, tout événement, toute situation qui diminuent le pouvoir de l’homme d’Occident est un malheur. De ces principes, les esprits logiques ont pu tirer les conséquences humaines. La défaite de l’Allemagne en 1945 est la plus grande catastrophe des temps modernes. L’abandon volontaire de la moitié de l’Europe à un pharaonisme asiatique fondé sur l’esclavage et la terreur est un crime politique. L’institution de la dissidence et de la rébellion comme principes de la légitimité politique ne peuvent amener dans l’avenir que d’autres dissidences et d’autres rébellions. La campagne systématique de calomnies et de haine contre l’énergie, la discipline, le désintéressement est un attentat contre les valeurs les plus précieuses de la civilisation d’Occident. L’exaltation systématique des races étrangères à l’esprit de la civilisation occidentale et la prétention de leur confier un rôle important dans la politique mondiale est un danger grave pour l’Occident et en même temps pour ces races mêmes qui sont incapables d’assumer le rôle qu’on leur destine. »