Différences entre les versions de « Discussion:Pierre Drieu la Rochelle »

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« Il faut faire les États-Unis d’Europe, parce que c’est la seule façon de défendre l’Europe contre elle-même et contre les autres groupes humains. »
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"Si le monde ne peut plus vivre dans l'ordre des patries, il n'est pas mûr pour vivre dans l'ordre planétaire. Tel qu'il est actuellement, il est fait pour s'arrêter longtemps dans l'ordre continental."
*Genève ou Moscou (1927)
 
  
<poem>La race des Aryens retrouve son union
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— Pierre Drieu la Rochelle, Chronique politique 1934-1942
Et reconnait son dieu à l’encolure forte.
 
Trois cents millions d’Humains chantent dans un seul camp.
 
Un seul drapeau rouge à la cime des Alpes.
 
Voici les temps sacrés remontant des enfers</poem>
 
  
<poem>Nous sommes les hommes d’aujourd’hui.
 
Nous sommes seuls.
 
Nous n’avons plus de dieux.
 
Nous n’avons plus d’idée.
 
Nous ne croyons ni à Jésus-Christ ni à Karl Marx.
 
  
Nous sommes seuls.
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« D’abord, la Russie tient à l’Europe. On ne sait exactement où finit l’Europe et où commence l’Asie. L’idée d’Eurasie n’est pas un vain mot. On peut aisément imaginer une Russie rentrant en Europe, par la conquête de l’Europe, et s’y tenant. »
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Nous ne croyons à rien.
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— Pierre Drieu la Rochelle, Chronique politique 1934-1942
Nous croyons à tout.
 
Nous ne croyons qu’au sang qui coule dans nos veines.
 
Dans ce sang est tout le feu du soleil.
 
 
Adieu les généraux qui perdaient les guerres.
 
Adieu les princes qui perdent leur couronne.
 
Adieu les banquiers qui perdent leur argent.
 
Adieu les socialistes qui perdent les révolutions.
 
</poem>
 

Version du 6 mai 2025 à 21:24

"Si le monde ne peut plus vivre dans l'ordre des patries, il n'est pas mûr pour vivre dans l'ordre planétaire. Tel qu'il est actuellement, il est fait pour s'arrêter longtemps dans l'ordre continental."

— Pierre Drieu la Rochelle, Chronique politique 1934-1942


« D’abord, la Russie tient à l’Europe. On ne sait exactement où finit l’Europe et où commence l’Asie. L’idée d’Eurasie n’est pas un vain mot. On peut aisément imaginer une Russie rentrant en Europe, par la conquête de l’Europe, et s’y tenant. »

— Pierre Drieu la Rochelle, Chronique politique 1934-1942