Différences entre les versions de « Discussion:Werner Sombart »
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+ | Werner Sombart, Kapitalismus, III, XXI |
Version actuelle datée du 21 janvier 2025 à 13:38
« Le marchand et le héros : ils constituent les deux grandes oppositions, les deux pôles de toute l’orientation humaine. Le marchand entre dans la vie en lui disant : que peux-tu me donner ? Il veut prendre, il veut, en échange du moindre effort, avoir le plus possible, il veut conclure avec la vie une affaire avantageuse. Bref : il est pauvre. Le héros entre dans la vie en lui demandant : que puis-je te donner ? Il veut faire des cadeaux, il veut se dépenser sans contrepartie. Bref : il est riche. Le marchand ne parle que de ses “droits”, le héros ne parle que de ses “devoirs” […] Nous pouvons dire encore que la mentalité mercantile tourne autour de l’intérêt, la mentalité héroïque autour de l’idée ; l’essence de celle-là est de réclamer, l’essence de celle-ci est de se sacrifier. »
Werner Sombart, Händler und Helden, 1915
« Toutes les grandes guerres ont été, sont et seront, des guerres de religions. »
Werner Sombart, Händler und Helden, 1915
« Nous ne pouvons plus croire à la puissance créatrice du capitalisme comme le faisait Marx. [...] Nous savons qu'en dépit de tout le brouhaha, il n'a accouché d'aucune création culturellement importante, et ne le fera jamais. [...] Notre salut ne peut exister que dans son rejet. »
Werner Sombart, Kapitalismus, III, XXI