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=== Democracy ===
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== Citations ==
  
"Pure democracy is the despotism of the scoundrel."
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<poem>« L’univers m’embarrasse, et je ne puis songer
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Que cette horloge existe et n’ait point d’horloger. »</poem>
  
[http://en.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
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Voltaire, ''Les Cabales'' (1772)
  
« La démocratie pure est le despotisme de la canaille. »
 
  
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
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« S’il était permis de raisonner conséquemment en fait de religion, il est clair que nous devrions tous nous faire juifs, puisque Jésus-Christ notre sauveur est né juif, a vécu juif, est mort juif, et qu’il a dit expressément qu’il accomplissait, qu’il remplissait la religion juive. Mais il est plus clair encore que nous devons nous tolérer mutuellement, parce que nous sommes tous faibles, inconséquents, sujets à la mutabilité, à l’erreur. »
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« Comme le despotisme est l'abus de la royauté, l'anarchie est l'abus de la démocratie. »
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« Le peuple juif était, je l’avoue, un peuple bien barbare. Il égorgeait sans pitié tous les habitants d’un malheureux petit pays sur lequel il n’avait pas plus de droit qu’il n’en a sur Paris et sur Londres. »
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« Nous avons les Juifs en horreur, et nous voulons que tout ce qui a été écrit par eux et recueilli par nous porte l’empreinte de la Divinité. Il n’y a jamais eu de contradiction si palpable. »
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=== Tax ===
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« Leur profession fut le brigandage et le courtage ; ils ne furent écrivains que par hasard. »
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« L'art de gouverner consiste à prendre le plus d'argent possible à une catégorie de citoyens afin de le donner à une autre. »
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« [...] pourquoi les Juifs n’auraient-ils pas été anthropophages ? C’eût été la seule chose qui eût manqué au peuple de Dieu pour être le plus abominable peuple de la terre. »
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[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
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« [...] il est évident que tous les royaumes de l’Asie étaient très florissants avant que la horde vagabonde des Arabes appelés Juifs possédât un petit coin de terre en propre, avant qu’elle eût une ville, des lois, et une religion fixe. Lors donc qu’on voit un ancien rite, une ancienne opinion établie en Égypte ou en Asie, et chez les Juifs, il est bien naturel de penser que le petit peuple nouveau, ignorant, grossier, toujours privé des arts, a copié, comme il a pu, la nation antique, florissante et industrieuse. »
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=== Racism ===
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« Quand il s’agit d’argent, tout le monde est de la même religion. »
  
« Leurs yeux ronds, leur nez épaté, leurs lèvres toujours grosses, leurs oreilles différemment figurées, la laine de leur tête, la mesure même de leur intelligence, mettent entre eux et les autres espèces d’hommes des différences prodigieuses. Et ce qui démontre qu’ils doivent point cette différence à leur climat, c’est que des Nègres et des Négresses transportés dans les pays les plus froids y produisent toujours des animaux de leur espèce, et que les mulâtres ne sont qu’une race bâtarde d’un noir et d’une blanche, ou d’un blanc et d’une noire. »
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— Voltaire, Lettre à Mme d’Épinal, 26 décembre 1760
  
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
 
  
« Les Samoïèdes, les Lappons, les habitants du nord de la Sibérie, ceux du Kamshatka, sont encore moins avancés que les peuples de l'Amérique. La plupart des Nègres, tous les Cafres, sont plongés dans la même stupidité, et y croupiront longtemps. »
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« Il n’est pas bien étonnant que les peuples voisins se réunissent contre les Juifs, qui, dans l’esprit des peuples aveuglés, ne pouvaient passer que pour des brigands exécrables, et non pour les instruments sacrés de la vengeance divine et du futur salut du genre humain. [...]
  
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
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Ainsi les Juifs furent presque toujours subjugués ou esclaves. [...]
  
« La même providence qui a produit l'éléphant, le rhinocéros et les Nègres, a fait naître dans un autre monde des orignaux, des condors, des animaux a qui on a cru longtemps le nombril sur le dos, et des hommes d'un caractère qui n'est pas le notre. »
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Il y eut, du temps de Trajan, un tremblement de terre qui engloutit les plus belles villes de la Syrie. Les Juifs crurent que c’était le signal de la colère de Dieu contre les Romains. Ils se rassemblèrent, ils s’armèrent en Afrique et en Chypre : une telle fureur les anima qu’ils dévorèrent les membres des Romains égorgés par eux ; mais bientôt tous les coupables moururent dans les supplices. Ce qui restait fut animé de la même rage sous Adrien, quand Barchochébas, se disant leur messie, se mit à leur tête. Ce fanatisme fut étouffé dans des torrents de sang.
  
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
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Il est étonnant qu’il reste encore des Juifs. [...] Jamais les Juifs n’eurent aucun pays en propre, depuis Vespasien, excepté quelques bourgades dans les déserts de l’Arabie Heureuse, vers la mer Rouge. Mahomet fut d’abord obligé de les ménager ; mais à la fin il détruisit la petite domination qu’ils avaient établie au nord de la Mecque. C’est depuis Mahomet qu’ils ont cessé réellement de composer un corps de peuple.
  
« Les blancs et les nègres, et les rouges, et les Lappons, et les Samoïèdes, et les Albinos, ne viennent certainement pas du même sol. La différence entre toutes ces espèces est aussi marquée qu'entre un lévrier et un barbet. »
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En suivant simplement le fil historique de la petite nation juive, on voit qu’elle ne pouvait avoir une autre fin. Elle se vante elle-même d’être sortie d’Égypte comme une horde de voleurs, emportant tout ce qu’elle avait emprunté des Égyptiens : elle fait gloire de n’avoir jamais épargné ni la vieillesse, ni le sexe, ni l’enfance, dans les villages et dans les bourgs dont elle a pu s’emparer. Elle ose étaler une haine irréconciliable contre toutes les nations ; elle se révolte contre tous ses maîtres. Toujours superstitieuse, toujours avide du bien d’autrui, toujours barbare, rampante dans le malheur, et insolente dans la prospérité. Voilà ce que furent les Juifs aux yeux des Grecs et des Romains qui purent lire leurs livres ; mais, aux yeux des chrétiens éclairés par la foi, ils ont été nos précurseurs, ils nous ont préparé la voie, ils ont été les hérauts de la Providence. »
  
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
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[...] si Dieu avait exaucé toutes les prières de son peuple, il ne serait resté que des Juifs sur la terre, car ils détestaient toutes les nations, ils en étaient détestés ; et, en demandant sans cesse que Dieu exterminât tous ceux qu’ils haïssaient, ils semblaient demander la ruine de la terre entière. »
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|titre de la contribution=Essai sur les mœurs et l'esprit des nations
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« Si nous lisions l'histoire des Juifs écrite par un auteur d'une autre nation, nous aurions peine à croire qu'il y ait eu en effet un peuple fugitif d'Egypte qui soit venu par ordre exprès de Dieu immoler sept ou huit petites nations qu'il ne connaissait pas ; égorger sans miséricorde les femmes, les vieillards et les enfants à la mamelle, et ne réserver que les petites filles ; que ce peuple saint ait été puni de son Dieu quand il avait été assez criminel pour épargner un seul homme dévoué à l'anathème. Nous ne croirions pas qu'un peuple si abominable (les Juifs) eut pu exister sur la terre. Mais comme cette nation elle-même nous rapporte tous ses faits dans ses livres saints, il faut la croire. »
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« Le meilleur gouvernement est celui où il y a le moins d’hommes inutiles. »
  
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
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Voltaire, ''Dialogue entre un philosophe et un contrôleur général des finances'' (1751)
  
« Toujours superstitieuse, toujours avide du bien d'autrui, toujours barbare, rampante dans le malheur, et insolente dans la prospérité, voilà ce que furent les Juifs aux yeux des Grecs et des Romains qui purent lire leurs livres. »
 
  
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
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« [...] '''un juif, n’étant d’aucun pays que de celui où il gagne de l’argent, peut aussi bien trahir le roi pour l’empereur que l’empereur pour le roi''' [...]. »
  
« Si Dieu avait exaucé toutes les prières de son peuple, il ne serait restés que des Juifs sur la terre ; car ils détestaient toutes les nations, ils en étaient détestés ; et, en demandant sans cesse que Dieu exterminât tous ceux qu'ils haïssaient, ils semblaient demander la ruine de la terre entière. »
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— Voltaire, Lettre au cardinal Dubois, 28 mai 1722
  
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
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== Textes ==
  
« N'est-il pas clair (humainement parlant, en ne considérant que les causes secondes) que si les Juifs, qui espéraient la conquête du monde, ont été presque toujours asservis, ce fut leur faute ? Et si les Romains dominèrent, ne le méritèrent-ils pas par leur courage et par leur prudence ? Je demande très humblement pardon aux Romains de les comparer un moment avec les Juifs. »
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*[[Jugement sur Voltaire - Joseph de Maistre]]
  
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
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== Bibliographie ==
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« Si ces Ismaélites [les Arabes] ressemblaient aux Juifs par l'enthousiasme et la soif du pillage, ils étaient prodigieusement supérieurs par le courage, par la grandeur d'âme, par la magnanimité : leur histoire, ou vraie ou fabuleuse, avant Mahomet, est remplie d'exemples d'amitié, tels que la Grèce en inventa dans les fables de Pilade et d'Oreste, de Thésée et de Pirithous. L'histoire des Barmécides n'est qu'une suite de générosités inouïes qui élèvent l'âme. Ces traits caractérisent une nation. On ne voit au contraire, dans toutes les annales du peuple hébreu, aucune action généreuse. Ils ne connaissent ni l'hospitalité, ni la libéralité, ni la clémence. Leur souverain bonheur est d'exercer l'usure avec les étrangers ; et cet esprit d'usure, principe de toute lâcheté, est tellement enracinée dans leurs coeurs, que c'est l'objet continuel des figures qu'ils emploient dans l'espèce d'éloquence qui leur est propre. Leur gloire est de mettre à feu et à sang les petits villages dont ils peuvent s'emparer. Ils égorgent les vieillards et les enfants ; ils ne réservent que les filles nubiles ; ils assassinent leurs maîtres quand ils sont esclaves ;ils ne savent jamais pardonner quand ils sont vainqueurs : ils sont ennemis du genre humain. Nulle politesse, nulle science, nul art perfectionné dans aucun temps, chez cette nation atroce. »
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[[Category:Auctores]]
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
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{{Footer}}
 
 
« Lorsque, vers la fin du quinzième siècle, on voulut rechercher la source de la misère espagnole, on trouva que les Juifs avaient attiré à eux tout l'argent du pays par le commerce et par l'usure. On comptait en Espagne plus de cent cinquante mille hommes de cette nation étrangère si odieuse et si nécessaire. (...) Les Juifs seuls sont en horreur à tous les peuples chez lesquels ils sont admis (...). On feignait de s'alarmer que la vanité que tiraient les Juifs d'être établis sur les côtes méridionales de ce royaume long-temps avant les chrétiens : il est vrai qu'ils avaient passé en Andalousie de temps immémorial ; ils enveloppaient cette vérité de fables ridicules, telles qu'en a toujours débité ce peuple, chez qui les gens de bon sens ne s'appliquent qu'au négoce, et où le rabbinisme est abandonné à ceux qui ne peuvent mieux faire. Les rabbins espagnols avaient beaucoup écrit pour prouver qu'une colonie de Juifs avait fleuri sur les côtes du temps de Salomon, et que l'ancienne Bétique payait un tribut à ce troisième roi de Palestine ; il est très vraisemblable que les Phéniciens, en découvrant l'Andalousie, et en y fondant des colonies, y avaient établi des Juifs qui servirent de courtiers, comme ils en ont servi partout ; mais de tout temps les Juifs ont défiguré la vérité par des fables absurdes. Ils mirent en œuvre de fausses médailles, de fausses inscriptions ; cette espèce de fourberie, jointe aux autres plus essentielles qu'on leur reprochait, ne contribua pas peu à leur disgrâce. »
 
 
 
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
 
 
 
« Ils ont même été sur le point d'obtenir le droit de bourgeoisie en Angleterre vers l'an 1750 et l'acte du parlement allait déjà passer en leur faveur. Mais enfin le cri de la nation, et l'excès du ridicule jeté sur cette entreprise la fit échouer. Il courut cent pasquinades représentant mylord Aaron et mylord Judas séants dans la chambre des pairs. On rit, et les Juifs se contentèrent d'être riches et libres ; (...) Vous êtes frappés de cette haine et de ce mépris que toutes les nations ont toujours eus pour les Juifs. C'est la suite inévitable de leur législation : Il fallait, ou qu'ils subjugassent tout, ou qu'ils fussent écrasés. Il leur fut ordonné d'avoir les nations en horreur, et de se croire souillés s'ils avaient mangé dans un plat qui eût appartenu à un homme d'une autre loi. Ils appelaient les nations vingt à trente bourgades leurs voisines qu'ils voulaient exterminer, et ils crurent qu'il fallait n'avoir rien de commun avec elles. Quand leurs yeux furent un peu ouverts par d'autre nations victorieuses qui leur apprirent que le monde était plus grand qu'ils ne croyaient, ils se trouvèrent, par leur loi même, ennemis naturels de ces nations, et enfin du genre humain. Leur politique absurde subsista quand elle devait changer ; leur superstition augmenta avec leurs malheurs : leurs vainqueurs étaient incirconcis ; il ne parut pas plus permis à un Juif de manger dans un plat qui avait servi à un Romain que dans le plat d'un Amorrhéen ; ils gardèrent tous leurs usages, qui sont précisément le contraire des usages sociables. Ils furent donc avec raison traités comme une nation opposée en tout aux autres ; les servant par avarice, les détestant par fanatisme, se faisant de l'usure un devoir sacré. Et ce sont nos pères ! »
 
 
 
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
 
 
 
« Il y avait alors une petite nation, aussi vagabonde, aussi méprisée que les Juifs, et adonnée à une autre espèce de rapine ; c'était un ramas de gens inconnus, qu'on nommait Bohèmes en France, et ailleurs Egyptiens, Giptes ou Gipsis, ou Syriens (...). Cette race a commencé à disparaître de la face de la terre depuis que, dans nos derniers temps, les hommes ont été désinfatués des sortilèges, des talismans, des prédictions et des possessions. »
 
 
 
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
 
 
 
« Nous n'achetons des esclaves domestiques que chez les Nègres ; on nous reproche ce commerce. Un peuple qui trafique de ses enfants est encore plus condamnable que l'acheteur. Ce négoce démontre notre supériorité ; celui qui se donne un maître était né pour en avoir. »
 
 
 
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Essais sur les mœurs, 1756
 
 
 
« Je me félicite avec vous de l'heureux succès du navire le Congo, arrivé si à propos sur la côte d'Afrique pour soustraire à la mort tant de malheureux nègres... Je me réjouis d'avoir fait une bonne affaire en même temps qu'une bonne action. »
 
 
 
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], Lettre à Michaud de Nantes, son associé dans l'armement du Congo
 
 
 
« La nature a subordonné à ce principe ces différents degrés et ces caractères des nations, qu’on voit si rarement se changer. C’est par là que les Nègres sont les esclaves des autres hommes. On les achète sur les côtes d’Afrique comme des bêtes. »
 
 
 
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
« La race des Nègres est une espèce d’hommes différente de la nôtre [...] on peut dire que si leur intelligence n’est pas d’une autre espèce que notre entendement, elle est très inférieure. Ils ne sont pas capables d’une grande attention, ils combinent peu et ne paraissent faits ni pour les avantages, ni pour les abus de notre philosophie. Ils sont originaires de cette partie de l’Afrique comme les éléphants et les singes ; ils se croient nés en Guinée pour être vendus aux Blancs et pour les servir. »''
 
 
 
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
« Les Blancs sont supérieurs à ces Nègres, comme les Nègres le sont aux singes et comme les singes le sont aux huîtres. »
 
 
 
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
« Les hommes seront toujours fous et ceux qui croient les guérir sont les plus fous de la bande. »
 
 
 
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
=== Art ===
 
 
 
« La beauté n'est qu'un piège tendu par la nature à la raison. »
 
 
 
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
=== State ===
 
 
 
« Il est dangereux d'avoir raison quand le gouvernement a tort. »
 
 
 
[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
== Texts ==
 
 
 
=== Anti-Islam ===
 
 
 
* http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Fanatisme,_ou_Mahomet_le_proph%C3%A8te
 
* http://en.wikisource.org/wiki/Mahomet_(Voltaire)
 
 
 
[[Category:Democracy]]
 
[[Category:Tax]]
 
[[Category:Racism]]
 
[[Category:Art]]
 
[[Category:State]]
 
[[Category:Anti-Islam]]
 
[[Category:Freedom thinkers]]
 
 
 
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__NOEDITSECTION__
 

Version actuelle datée du 12 novembre 2024 à 15:07

Voltaire.jpg

Citations

« L’univers m’embarrasse, et je ne puis songer
Que cette horloge existe et n’ait point d’horloger. »

— Voltaire, Les Cabales (1772)


« S’il était permis de raisonner conséquemment en fait de religion, il est clair que nous devrions tous nous faire juifs, puisque Jésus-Christ notre sauveur est né juif, a vécu juif, est mort juif, et qu’il a dit expressément qu’il accomplissait, qu’il remplissait la religion juive. Mais il est plus clair encore que nous devons nous tolérer mutuellement, parce que nous sommes tous faibles, inconséquents, sujets à la mutabilité, à l’erreur. »

— Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), éd. Gallimard, coll. « Folio », 2002 (ISBN 9782070386284), Tolérance, p. 499-500


« Le peuple juif était, je l’avoue, un peuple bien barbare. Il égorgeait sans pitié tous les habitants d’un malheureux petit pays sur lequel il n’avait pas plus de droit qu’il n’en a sur Paris et sur Londres. »

— Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), éd. Gallimard, coll. « Folio », 2002 (ISBN 9782070386284), Tolérance, p. 494


« Nous avons les Juifs en horreur, et nous voulons que tout ce qui a été écrit par eux et recueilli par nous porte l’empreinte de la Divinité. Il n’y a jamais eu de contradiction si palpable. »

— Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), éd. Gallimard, coll. « Folio », 2002 (ISBN 9782070386284), Salomon, p. 474


« Leur profession fut le brigandage et le courtage ; ils ne furent écrivains que par hasard. »

— Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), éd. Gallimard, coll. « Folio », 2002 (ISBN 9782070386284), Job, p. 336


« [...] pourquoi les Juifs n’auraient-ils pas été anthropophages ? C’eût été la seule chose qui eût manqué au peuple de Dieu pour être le plus abominable peuple de la terre. »

— Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), éd. Gallimard, coll. « Folio », 2002 (ISBN 9782070386284), Anthropophages, p. 68


« [...] il est évident que tous les royaumes de l’Asie étaient très florissants avant que la horde vagabonde des Arabes appelés Juifs possédât un petit coin de terre en propre, avant qu’elle eût une ville, des lois, et une religion fixe. Lors donc qu’on voit un ancien rite, une ancienne opinion établie en Égypte ou en Asie, et chez les Juifs, il est bien naturel de penser que le petit peuple nouveau, ignorant, grossier, toujours privé des arts, a copié, comme il a pu, la nation antique, florissante et industrieuse. »

— Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), éd. Gallimard, coll. « Folio », 2002 (ISBN 9782070386284), Abraham, p. 44


« Quand il s’agit d’argent, tout le monde est de la même religion. »

— Voltaire, Lettre à Mme d’Épinal, 26 décembre 1760


« Il n’est pas bien étonnant que les peuples voisins se réunissent contre les Juifs, qui, dans l’esprit des peuples aveuglés, ne pouvaient passer que pour des brigands exécrables, et non pour les instruments sacrés de la vengeance divine et du futur salut du genre humain. [...]

Ainsi les Juifs furent presque toujours subjugués ou esclaves. [...]

Il y eut, du temps de Trajan, un tremblement de terre qui engloutit les plus belles villes de la Syrie. Les Juifs crurent que c’était le signal de la colère de Dieu contre les Romains. Ils se rassemblèrent, ils s’armèrent en Afrique et en Chypre : une telle fureur les anima qu’ils dévorèrent les membres des Romains égorgés par eux ; mais bientôt tous les coupables moururent dans les supplices. Ce qui restait fut animé de la même rage sous Adrien, quand Barchochébas, se disant leur messie, se mit à leur tête. Ce fanatisme fut étouffé dans des torrents de sang.

Il est étonnant qu’il reste encore des Juifs. [...] Jamais les Juifs n’eurent aucun pays en propre, depuis Vespasien, excepté quelques bourgades dans les déserts de l’Arabie Heureuse, vers la mer Rouge. Mahomet fut d’abord obligé de les ménager ; mais à la fin il détruisit la petite domination qu’ils avaient établie au nord de la Mecque. C’est depuis Mahomet qu’ils ont cessé réellement de composer un corps de peuple.

En suivant simplement le fil historique de la petite nation juive, on voit qu’elle ne pouvait avoir une autre fin. Elle se vante elle-même d’être sortie d’Égypte comme une horde de voleurs, emportant tout ce qu’elle avait emprunté des Égyptiens : elle fait gloire de n’avoir jamais épargné ni la vieillesse, ni le sexe, ni l’enfance, dans les villages et dans les bourgs dont elle a pu s’emparer. Elle ose étaler une haine irréconciliable contre toutes les nations ; elle se révolte contre tous ses maîtres. Toujours superstitieuse, toujours avide du bien d’autrui, toujours barbare, rampante dans le malheur, et insolente dans la prospérité. Voilà ce que furent les Juifs aux yeux des Grecs et des Romains qui purent lire leurs livres ; mais, aux yeux des chrétiens éclairés par la foi, ils ont été nos précurseurs, ils nous ont préparé la voie, ils ont été les hérauts de la Providence. »

[...] si Dieu avait exaucé toutes les prières de son peuple, il ne serait resté que des Juifs sur la terre, car ils détestaient toutes les nations, ils en étaient détestés ; et, en demandant sans cesse que Dieu exterminât tous ceux qu’ils haïssaient, ils semblaient demander la ruine de la terre entière. »

— Voltaire, « Essai sur les mœurs et l'esprit des nations » (1756), dans Œuvres complètes de Voltaire, éd. Garnier, 1878, p. 117-129


« Le meilleur gouvernement est celui où il y a le moins d’hommes inutiles. »

— Voltaire, Dialogue entre un philosophe et un contrôleur général des finances (1751)


« [...] un juif, n’étant d’aucun pays que de celui où il gagne de l’argent, peut aussi bien trahir le roi pour l’empereur que l’empereur pour le roi [...]. »

— Voltaire, Lettre au cardinal Dubois, 28 mai 1722

Textes

Bibliographie

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