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{{Column|Freedom thinkers}}
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{{Image|Voltaire|}}
=== [[:Category:Human nature|Human nature]] ===
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== Citations ==
  
« Quel est donc cet animal qui boit sans avoir soif et qui fait l'amour en toute saison ? »
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<poem>« L’univers m’embarrasse, et je ne puis songer
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], citation apocryphe
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Que cette horloge existe et n’ait point d’horloger. »</poem>
  
=== [[:Category:Liberty|Liberty]] ===
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— Voltaire, ''Les Cabales'' (1772)
  
<poem>« Si l'homme est créé libre, il doit se gouverner ;
 
Si l'homme a des tyrans, il les doit détrôner. »</poem>
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''Epîtres''
 
  
"I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it"
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« S’il était permis de raisonner conséquemment en fait de religion, il est clair que nous devrions tous nous faire juifs, puisque Jésus-Christ notre sauveur est né juif, a vécu juif, est mort juif, et qu’il a dit expressément qu’il accomplissait, qu’il remplissait la religion juive. Mais il est plus clair encore que nous devons nous tolérer mutuellement, parce que nous sommes tous faibles, inconséquents, sujets à la mutabilité, à l’erreur. »
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
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{{Réf Livre
:« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »
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|auteur=Voltaire
:*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], citation apocryphe
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|titre=Dictionnaire philosophique
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|année d'origine=1764
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|éditeur=Gallimard
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|année=2002
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=== [[:Category:Work|Work]] ===
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« Le peuple juif était, je l’avoue, un peuple bien barbare. Il égorgeait sans pitié tous les habitants d’un malheureux petit pays sur lequel il n’avait pas plus de droit qu’il n’en a sur Paris et sur Londres. »
 
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{{Réf Livre
« Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin. »
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|auteur=Voltaire
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''Candide''
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|titre=Dictionnaire philosophique
 
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|année d'origine=1764
=== [[:Category:Education|Education]] ===
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|éditeur=Gallimard
 
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|collection=Folio
« Il est à propos que le peuple soit guidé, et non pas qu'il soit instruit; il n'est pas digne de l'être. »
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|année=2002
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], « Lettre à d'Amilaville » (19 mars 1766), ''Œuvres'', éd. Hachette, 1862, t. 31, p. 164
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|ISBN=9782070386284
 
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|section=Tolérance
=== [[:Category:Equality|Equality]] ===
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|page=494}}
 
 
« En ayant bien dans le coeur que tous les hommes sont égaux, et dans la tête, que l'extérieur les distingue, on peut se tirer d'affaire dans le monde. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
=== [[:Category:Democracy|Democracy]] ===
 
 
 
"Pure democracy is the despotism of the scoundrel."
 
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
« La démocratie pure est le despotisme de la canaille. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
« Comme le despotisme est l'abus de la royauté, l'anarchie est l'abus de la démocratie. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
=== [[:Category:Tax|Tax]] ===
 
 
 
« L'art de gouverner consiste à prendre le plus d'argent possible à une catégorie de citoyens afin de le donner à une autre. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
 
 
 
 
Article « Abraham » :
 
« Il est évident que tous les royaumes de l’Asie étaient très florissants avant que la horde vagabonde des Arabes appelés Juifs possédât un petit coin de terre en propre, avant qu’elle eût une ville, des lois et une religion fixe. Lors donc qu’on voit un rite, une ancienne opinion établie en Égypte ou en Asie, et chez les Juifs, il est bien naturel de penser que le petit peuple nouveau, ignorant, grossier, toujours privé des arts, a copié, comme il a pu, la nation antique, florissante et industrieuse. »
 
 
 
Article « Anthropophage » :
 
« Pourquoi les Juifs n’auraient-ils pas été anthropophages ? C’eût été la seule chose qui eût manqué au peuple de Dieu pour être le plus abominable peuple de la terre. »
 
  
Article « Juifs » :
+
« Nous avons les Juifs en horreur, et nous voulons que tout ce qui a été écrit par eux et recueilli par nous porte l’empreinte de la Divinité. Il n’y a jamais eu de contradiction si palpable. »
« Vous ne trouverez en eux qu’un peuple ignorant et barbare, qui joint depuis longtemps la plus sordide avarice à la plus détestable superstition et à la plus invincible haine pour tous les peuples qui les tolèrent et qui les enrichissent. Il ne faut pourtant pas les brûler. »
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Article «Job» :
 
 
« Leur profession fut le brigandage et le courtage ; ils ne furent écrivains que par hasard. »
 
« Leur profession fut le brigandage et le courtage ; ils ne furent écrivains que par hasard. »
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{{Réf Livre
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|auteur=Voltaire
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|titre=Dictionnaire philosophique
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|année d'origine=1764
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Article « Tolérance » :
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« [...] pourquoi les Juifs n’auraient-ils pas été anthropophages ? C’eût été la seule chose qui eût manqué au peuple de Dieu pour être le plus abominable peuple de la terre. »
« Le peuple juif était, je l’avoue, un peuple bien barbare. Il égorgeait sans pitié tous les habitants d’un malheureux petit pays sur lequel il n’avait pas plus de droit qu’il n’en a sur Paris et sur Londres. »
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{{Réf Livre
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''Dictionnaire philosophique''
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|auteur=Voltaire
 
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|titre=Dictionnaire philosophique
« La nature a subordonné à ce principe ces différents degrés et ces caractères des nations, qu’on voit si rarement se changer. C’est par là que les Nègres sont les esclaves des autres hommes. On les achète sur les côtes d’Afrique comme des bêtes. »
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|année d'origine=1764
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''Essai sur les mœurs et l'esprit des nations''
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|éditeur=Gallimard
 
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|collection=Folio
« La race des Nègres est une espèce d’hommes différente de la nôtre [...] on peut dire que si leur intelligence n’est pas d’une autre espèce que notre entendement, elle est très inférieure. Ils ne sont pas capables d’une grande attention, ils combinent peu et ne paraissent faits ni pour les avantages, ni pour les abus de notre philosophie. Ils sont originaires de cette partie de l’Afrique comme les éléphants et les singes ; ils se croient nés en Guinée pour être vendus aux Blancs et pour les servir. »''
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|année=2002
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''Essai sur les mœurs et l'esprit des nations'', Genève, 1755, t. XVI, pp. 269-270
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|ISBN=9782070386284
 
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|section=Anthropophages
<poem>« Il me restait de voir l'Afrique, pour jouir de toutes les douceurs de notre continent. Je la vis en effet. Mon vaisseau fut pris par des corsaires noirs. Notre patron fit de grandes plaintes ; il leur demanda pourquoi ils violaient ainsi les lois des nations. Le capitaine nègre lui répondit : « Vous avez le nez long, et nous l'avons plat ; vos cheveux sont tout droits, et notre laine est frisée ; vous avez la peau de la couleur de cendre, et nous de couleur d'ébène ; par conséquent, nous devons, par les lois sacrées de la nature, être toujours ennemis. Vous nous achetez aux foires de la Côte de Guinée comme des bêtes de somme, pour nous faire travailler à je ne sais quel emploi aussi pénible que ridicule. Vous nous faites fouiller à coups de nerfs de bœuf dans des montagnes, pour en tirer une espèce de terre jaune qui par elle-même n'est bonne à rien, et qui ne vaut pas, à beaucoup près. un bon oignon d’Égypte ; aussi, quand nous vous rencontrons et que nous sommes les plus forts, nous vous faisons esclaves, nous vous faisons labourer nos champs, ou nous vous coupons le nez et les oreilles.
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|page=68}}
 
 
On n'avait rien à répliquer à un discours si sage. J'allai labourer le champ d'une vieille négresse pour conserver mes oreilles et mon nez. »</poem>
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''Histoire des voyages de Scarmentado''
 
 
 
=== [[:Category:Human nature|Human nature]] ===
 
 
 
« Les hommes seront toujours fous et ceux qui croient les guérir sont les plus fous de la bande. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
« Le Ciel fit la vertu ; l'homme en fit l'apparence. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''Poème su la loi naturelle''
 
 
 
=== [[:Category:Art|Art]] ===
 
 
 
« La beauté n'est qu'un piège tendu par la nature à la raison. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
 
 
=== [[:Category:State|State]] ===
 
 
 
"It is dangerous to be right in matters on which the established authorities are wrong."
 
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
:« Il est dangereux d'avoir raison quand le gouvernement a tort. »
 
:*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
  
=== [[:Category:God|God]] ===
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« [...] il est évident que tous les royaumes de l’Asie étaient très florissants avant que la horde vagabonde des Arabes appelés Juifs possédât un petit coin de terre en propre, avant qu’elle eût une ville, des lois, et une religion fixe. Lors donc qu’on voit un ancien rite, une ancienne opinion établie en Égypte ou en Asie, et chez les Juifs, il est bien naturel de penser que le petit peuple nouveau, ignorant, grossier, toujours privé des arts, a copié, comme il a pu, la nation antique, florissante et industrieuse. »
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{{Réf Livre
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|auteur=Voltaire
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|titre=Dictionnaire philosophique
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|année d'origine=1764
 +
|éditeur=Gallimard
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|collection=Folio
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|année=2002
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|ISBN=9782070386284
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|section=Abraham
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|page=44}}
  
« Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer. »
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« Quand il s’agit d’argent, tout le monde est de la même religion. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''Epîtres'', CIV
 
  
<poem>« L'univers m'embarrasse, et je ne puis songer
+
— Voltaire, Lettre à Mme d’Épinal, 26 décembre 1760
Que cette horloge existe et n'ait pas d'horloger. »</poem>
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''Satires''
 
  
« Si Dieu nous a faits à son image, nous le lui avons bien rendu. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''Le Sottisier'', éd. Garnier, 1883, p. 164
 
  
=== [[:Category:Woman|Woman]] ===
+
« Il n’est pas bien étonnant que les peuples voisins se réunissent contre les Juifs, qui, dans l’esprit des peuples aveuglés, ne pouvaient passer que pour des brigands exécrables, et non pour les instruments sacrés de la vengeance divine et du futur salut du genre humain. [...]
  
« Dieu n'a crée les femmes que pour apprivoiser les hommes. »
+
Ainsi les Juifs furent presque toujours subjugués ou esclaves. [...]
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''L'Ingénu''
 
  
=== [[:Category:Perversion|Perversion]] ===
+
Il y eut, du temps de Trajan, un tremblement de terre qui engloutit les plus belles villes de la Syrie. Les Juifs crurent que c’était le signal de la colère de Dieu contre les Romains. Ils se rassemblèrent, ils s’armèrent en Afrique et en Chypre : une telle fureur les anima qu’ils dévorèrent les membres des Romains égorgés par eux ; mais bientôt tous les coupables moururent dans les supplices. Ce qui restait fut animé de la même rage sous Adrien, quand Barchochébas, se disant leur messie, se mit à leur tête. Ce fanatisme fut étouffé dans des torrents de sang.
  
« C'est l'attrait du plaisir qui doit nous conduire en tout. »
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Il est étonnant qu’il reste encore des Juifs. [...] Jamais les Juifs n’eurent aucun pays en propre, depuis Vespasien, excepté quelques bourgades dans les déserts de l’Arabie Heureuse, vers la mer Rouge. Mahomet fut d’abord obligé de les ménager ; mais à la fin il détruisit la petite domination qu’ils avaient établie au nord de la Mecque. C’est depuis Mahomet qu’ils ont cessé réellement de composer un corps de peuple.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
  
« Il faut jouir et tout le reste est folie. »
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En suivant simplement le fil historique de la petite nation juive, on voit qu’elle ne pouvait avoir une autre fin. Elle se vante elle-même d’être sortie d’Égypte comme une horde de voleurs, emportant tout ce qu’elle avait emprunté des Égyptiens : elle fait gloire de n’avoir jamais épargné ni la vieillesse, ni le sexe, ni l’enfance, dans les villages et dans les bourgs dont elle a pu s’emparer. Elle ose étaler une haine irréconciliable contre toutes les nations ; elle se révolte contre tous ses maîtres. Toujours superstitieuse, toujours avide du bien d’autrui, toujours barbare, rampante dans le malheur, et insolente dans la prospérité. Voilà ce que furent les Juifs aux yeux des Grecs et des Romains qui purent lire leurs livres ; mais, aux yeux des chrétiens éclairés par la foi, ils ont été nos précurseurs, ils nous ont préparé la voie, ils ont été les hérauts de la Providence. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire]
 
  
=== [[:Category:Reason|Reason]] ===
+
[...] si Dieu avait exaucé toutes les prières de son peuple, il ne serait resté que des Juifs sur la terre, car ils détestaient toutes les nations, ils en étaient détestés ; et, en demandant sans cesse que Dieu exterminât tous ceux qu’ils haïssaient, ils semblaient demander la ruine de la terre entière. »
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{{Réf Livre
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|auteur=Voltaire
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|titre de la contribution=Essai sur les mœurs et l'esprit des nations
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|année de la contribution=1756
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« Quand la populace se mêle de raisonner, tout est perdu. »
+
« Le meilleur gouvernement est celui où il y a le moins d’hommes inutiles. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''Lettre à Damilaville'', 1766
 
  
« N'est-il pas honteux que les fanatique aient du zèle et que les sages n'en aient pas ? Il faut être prudent, mais non pas timide. »
+
Voltaire, ''Dialogue entre un philosophe et un contrôleur général des finances'' (1751)
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Voltaire Voltaire], ''Pensées détachées de M. l'Abbé de St-Pierre''
 
  
== Quotes about Voltaire ==
 
  
« Savez-vous que cet athée et grande crapule de Voltaire, ce mécréant et fieffé coquin, est crevé pour ainsi dire comme un chien - comme une bête. - Voilà sa récompense ! »
+
« [...] '''un juif, n’étant d’aucun pays que de celui où il gagne de l’argent, peut aussi bien trahir le roi pour l’empereur que l’empereur pour le roi''' [...]. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Wolfgang_Amadeus_Mozart Wolfgang Amadeus Mozart], à Paris, 1777
 
  
<poem>« Voltaire alors régnait, ce sing de génie
+
Voltaire, Lettre au cardinal Dubois, 28 mai 1722
Chez l'homme en mission par le diable envoyé. »</poem>
 
*[[Victor Hugo]], ''Les Rayons et les Ombres''
 
  
== Texts ==
+
== Textes ==
=== [[:Category:Racism|Racism]] ===
 
*[[Essais sur les mœurs et l'esprit des nations de Voltaire]]
 
*[[Traité de Métaphysique de Voltaire]]
 
  
=== [[:Category:Anti-Islam|Anti-Islam]] ===
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*[[Jugement sur Voltaire - Joseph de Maistre]]
  
*[http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Fanatisme,_ou_Mahomet_le_proph%C3%A8te Le Fanatisme, ou Mahomet le prophète de Voltaire]
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== Bibliographie ==
*[http://en.wikisource.org/wiki/Mahomet_(Voltaire) Mahomet de Voltaire]
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Version actuelle datée du 12 novembre 2024 à 15:07

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Citations

« L’univers m’embarrasse, et je ne puis songer
Que cette horloge existe et n’ait point d’horloger. »

— Voltaire, Les Cabales (1772)


« S’il était permis de raisonner conséquemment en fait de religion, il est clair que nous devrions tous nous faire juifs, puisque Jésus-Christ notre sauveur est né juif, a vécu juif, est mort juif, et qu’il a dit expressément qu’il accomplissait, qu’il remplissait la religion juive. Mais il est plus clair encore que nous devons nous tolérer mutuellement, parce que nous sommes tous faibles, inconséquents, sujets à la mutabilité, à l’erreur. »

— Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), éd. Gallimard, coll. « Folio », 2002 (ISBN 9782070386284), Tolérance, p. 499-500


« Le peuple juif était, je l’avoue, un peuple bien barbare. Il égorgeait sans pitié tous les habitants d’un malheureux petit pays sur lequel il n’avait pas plus de droit qu’il n’en a sur Paris et sur Londres. »

— Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), éd. Gallimard, coll. « Folio », 2002 (ISBN 9782070386284), Tolérance, p. 494


« Nous avons les Juifs en horreur, et nous voulons que tout ce qui a été écrit par eux et recueilli par nous porte l’empreinte de la Divinité. Il n’y a jamais eu de contradiction si palpable. »

— Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), éd. Gallimard, coll. « Folio », 2002 (ISBN 9782070386284), Salomon, p. 474


« Leur profession fut le brigandage et le courtage ; ils ne furent écrivains que par hasard. »

— Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), éd. Gallimard, coll. « Folio », 2002 (ISBN 9782070386284), Job, p. 336


« [...] pourquoi les Juifs n’auraient-ils pas été anthropophages ? C’eût été la seule chose qui eût manqué au peuple de Dieu pour être le plus abominable peuple de la terre. »

— Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), éd. Gallimard, coll. « Folio », 2002 (ISBN 9782070386284), Anthropophages, p. 68


« [...] il est évident que tous les royaumes de l’Asie étaient très florissants avant que la horde vagabonde des Arabes appelés Juifs possédât un petit coin de terre en propre, avant qu’elle eût une ville, des lois, et une religion fixe. Lors donc qu’on voit un ancien rite, une ancienne opinion établie en Égypte ou en Asie, et chez les Juifs, il est bien naturel de penser que le petit peuple nouveau, ignorant, grossier, toujours privé des arts, a copié, comme il a pu, la nation antique, florissante et industrieuse. »

— Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), éd. Gallimard, coll. « Folio », 2002 (ISBN 9782070386284), Abraham, p. 44


« Quand il s’agit d’argent, tout le monde est de la même religion. »

— Voltaire, Lettre à Mme d’Épinal, 26 décembre 1760


« Il n’est pas bien étonnant que les peuples voisins se réunissent contre les Juifs, qui, dans l’esprit des peuples aveuglés, ne pouvaient passer que pour des brigands exécrables, et non pour les instruments sacrés de la vengeance divine et du futur salut du genre humain. [...]

Ainsi les Juifs furent presque toujours subjugués ou esclaves. [...]

Il y eut, du temps de Trajan, un tremblement de terre qui engloutit les plus belles villes de la Syrie. Les Juifs crurent que c’était le signal de la colère de Dieu contre les Romains. Ils se rassemblèrent, ils s’armèrent en Afrique et en Chypre : une telle fureur les anima qu’ils dévorèrent les membres des Romains égorgés par eux ; mais bientôt tous les coupables moururent dans les supplices. Ce qui restait fut animé de la même rage sous Adrien, quand Barchochébas, se disant leur messie, se mit à leur tête. Ce fanatisme fut étouffé dans des torrents de sang.

Il est étonnant qu’il reste encore des Juifs. [...] Jamais les Juifs n’eurent aucun pays en propre, depuis Vespasien, excepté quelques bourgades dans les déserts de l’Arabie Heureuse, vers la mer Rouge. Mahomet fut d’abord obligé de les ménager ; mais à la fin il détruisit la petite domination qu’ils avaient établie au nord de la Mecque. C’est depuis Mahomet qu’ils ont cessé réellement de composer un corps de peuple.

En suivant simplement le fil historique de la petite nation juive, on voit qu’elle ne pouvait avoir une autre fin. Elle se vante elle-même d’être sortie d’Égypte comme une horde de voleurs, emportant tout ce qu’elle avait emprunté des Égyptiens : elle fait gloire de n’avoir jamais épargné ni la vieillesse, ni le sexe, ni l’enfance, dans les villages et dans les bourgs dont elle a pu s’emparer. Elle ose étaler une haine irréconciliable contre toutes les nations ; elle se révolte contre tous ses maîtres. Toujours superstitieuse, toujours avide du bien d’autrui, toujours barbare, rampante dans le malheur, et insolente dans la prospérité. Voilà ce que furent les Juifs aux yeux des Grecs et des Romains qui purent lire leurs livres ; mais, aux yeux des chrétiens éclairés par la foi, ils ont été nos précurseurs, ils nous ont préparé la voie, ils ont été les hérauts de la Providence. »

[...] si Dieu avait exaucé toutes les prières de son peuple, il ne serait resté que des Juifs sur la terre, car ils détestaient toutes les nations, ils en étaient détestés ; et, en demandant sans cesse que Dieu exterminât tous ceux qu’ils haïssaient, ils semblaient demander la ruine de la terre entière. »

— Voltaire, « Essai sur les mœurs et l'esprit des nations » (1756), dans Œuvres complètes de Voltaire, éd. Garnier, 1878, p. 117-129


« Le meilleur gouvernement est celui où il y a le moins d’hommes inutiles. »

— Voltaire, Dialogue entre un philosophe et un contrôleur général des finances (1751)


« [...] un juif, n’étant d’aucun pays que de celui où il gagne de l’argent, peut aussi bien trahir le roi pour l’empereur que l’empereur pour le roi [...]. »

— Voltaire, Lettre au cardinal Dubois, 28 mai 1722

Textes

Bibliographie

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