Différences entre les versions de « Joseph Goebbels »
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« [...] un corps de combattants disciplinés s’est rangé sous les bannières du parti. Ils savent non seulement utiliser leur intelligence mais aussi — quand on menace leur vie ou celle du mouvement — leurs poings. Qu’on les soumette à une terreur sanguinaire, qu’on les fasse traquer par les services policiers et les tribunaux, qu’on leur envoie des colonnes de meurtriers rouges : s’imagine-t-on que des hommes qui ont bravé le mépris et la calomnie, fait face au mensonge et au ridicule aillent faiblir maintenant sous la violence ? Tout au contraire : pour la défense d’une idée nouvelle, l’emploi de cette méthode par l’adversaire est le signe certain qu’il se trouve sur la bonne voie. Si on n’utilisait pas ces procédés contre lui, alors pourrait-il peut-être courir le danger de se soupçonner lui-même d’être dans l’erreur. Mais la terreur lui fournit la preuve que l’adversaire l’a reconnu, qu’il le hait, et cela du seul fait qu’il l’a reconnu et qu’il le craint. Le sang ne fait que cimenter encore plus étroitement l’unité d’un mouvement. '''Le chef et le militant font bloc ; ils constituent un corps indivisible, une phalange révolutionnaire, contre laquelle plus rien ne peut plus être entrepris sérieusement.''' » | « [...] un corps de combattants disciplinés s’est rangé sous les bannières du parti. Ils savent non seulement utiliser leur intelligence mais aussi — quand on menace leur vie ou celle du mouvement — leurs poings. Qu’on les soumette à une terreur sanguinaire, qu’on les fasse traquer par les services policiers et les tribunaux, qu’on leur envoie des colonnes de meurtriers rouges : s’imagine-t-on que des hommes qui ont bravé le mépris et la calomnie, fait face au mensonge et au ridicule aillent faiblir maintenant sous la violence ? Tout au contraire : pour la défense d’une idée nouvelle, l’emploi de cette méthode par l’adversaire est le signe certain qu’il se trouve sur la bonne voie. Si on n’utilisait pas ces procédés contre lui, alors pourrait-il peut-être courir le danger de se soupçonner lui-même d’être dans l’erreur. Mais la terreur lui fournit la preuve que l’adversaire l’a reconnu, qu’il le hait, et cela du seul fait qu’il l’a reconnu et qu’il le craint. Le sang ne fait que cimenter encore plus étroitement l’unité d’un mouvement. '''Le chef et le militant font bloc ; ils constituent un corps indivisible, une phalange révolutionnaire, contre laquelle plus rien ne peut plus être entrepris sérieusement.''' » | ||
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− | == | + | « Le Juif est immunisé contre tous les dangers : on peut l’appeler fripouille, parasite, escroc, profiteur, tout lui glisse dessus comme de l’eau sur un manteau. Mais '''appelez-le “juif” et vous serez stupéfait de la façon dont il recule, à quel point il est blessé, comment il fait marche arrière : “Je suis découvert”.''' » |
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+ | — Joseph Goebbels, ''Der Angriff'', 21 janvier 1929 | ||
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Citations
“The Jews call this chutzpah. Chutzpah is a typically Jewish expression that really cannot be translated into any other language, since chutzpah is a concept found only among the Jews. Other languages have not needed to invent such a word since they do not know the phenomenon. Basically, it means unlimited, impertinent, and unbelievable impudence and shamelessness.”
- « Les Juifs appellent ça chutzpah, La chutzpah est une expression typiquement juive qui ne peut être traduite dans aucune autre langue, puisque la chutzpah est un concept que l’on ne trouve que chez les juifs. Fondamentalement, cela signifie une impudence et une effronterie sans limite, impertinentes, incroyables. »
- — « Mimicry », Joseph Goebbels, Das Reich, 20 juillet 1941 (lire en ligne)
« [...] un corps de combattants disciplinés s’est rangé sous les bannières du parti. Ils savent non seulement utiliser leur intelligence mais aussi — quand on menace leur vie ou celle du mouvement — leurs poings. Qu’on les soumette à une terreur sanguinaire, qu’on les fasse traquer par les services policiers et les tribunaux, qu’on leur envoie des colonnes de meurtriers rouges : s’imagine-t-on que des hommes qui ont bravé le mépris et la calomnie, fait face au mensonge et au ridicule aillent faiblir maintenant sous la violence ? Tout au contraire : pour la défense d’une idée nouvelle, l’emploi de cette méthode par l’adversaire est le signe certain qu’il se trouve sur la bonne voie. Si on n’utilisait pas ces procédés contre lui, alors pourrait-il peut-être courir le danger de se soupçonner lui-même d’être dans l’erreur. Mais la terreur lui fournit la preuve que l’adversaire l’a reconnu, qu’il le hait, et cela du seul fait qu’il l’a reconnu et qu’il le craint. Le sang ne fait que cimenter encore plus étroitement l’unité d’un mouvement. Le chef et le militant font bloc ; ils constituent un corps indivisible, une phalange révolutionnaire, contre laquelle plus rien ne peut plus être entrepris sérieusement. »
« Aujourd’hui, il n’y avait plus ni écrivain ni prolétaire, ni valet de ferme ou petit fonctionnaire. Aujourd’hui, ils étaient tous les derniers Allemands, qui ne voulaient pas désespérer de l’avenir de la nation. Ils étaient les détenteurs de l’avenir, les garants que l’Allemagne était vouée non au naufrage mais à la liberté. Pour des centaines de milliers sur des millions d’êtres, ils étaient devenus le symbole d’une foi nouvelle en marche. S’ils n’étaient pas là, tous savaient qu’alors l’Allemagne devrait désespérer. Et ils allaient, le cœur gonflé de fierté, les étendards brandis dans le vent, laissant se répercuter contre les murs de la vieille cité d’Empire le rythme fracassant de leur pas cadencé. »
« Lorsque tombèrent les dernières barrières qui séparaient en Allemagne prussienne la juiverie internationale de l’administration et du gouvernement, le destin de la nation était alors scellé. À compter de ce jour, débuta la pénétration du nomadisme intellectuel dans les départements de discipline administrative et de cohésion nationale, et il n’y eut plus aucun frein à l’effondrement catastrophique de l’État allemand. »
« Les bourgeois considéraient qu’il était vulgaire et peu distingué de descendre dans la rue, de manifester et prendre fait et cause pour un idéal. Mais à l’heure actuelle, c’est dans la rue que se fait la politique moderne. Qui peut conquérir la rue, peut aussi conquérir les masses, et conquiert ainsi l’État. »
« Le peuple ne veut se gouverner lui-même que si le système au pouvoir est malade et corrompu. Le peuple n’éprouve ni le besoin d’un certain droit de vote, ni celui d’une constitution soi-disant démocratique aussi longtemps qu’il est pénétré de la conviction que ses dirigeants poursuivent une bonne et honnête politique. »
« Le Juif est immunisé contre tous les dangers : on peut l’appeler fripouille, parasite, escroc, profiteur, tout lui glisse dessus comme de l’eau sur un manteau. Mais appelez-le “juif” et vous serez stupéfait de la façon dont il recule, à quel point il est blessé, comment il fait marche arrière : “Je suis découvert”. »
— Joseph Goebbels, Der Angriff, 21 janvier 1929
Bibliographie