Ligne 33 : Ligne 33 :
 
|ISBN=9782070412396
 
|ISBN=9782070412396
 
|page=514}}
 
|page=514}}
 +
 +
« [...] l’église de France semble avoir compris que les livres sont ses vrais ennemis. »
 +
{{Réf Livre
 +
|auteur=Stendhal
 +
|titre=Le Rouge et le Noir
 +
|année d'origine=1830
 +
|éditeur=Gallimard
 +
|collection=
 +
|année=2002
 +
|ISBN=9782070412396
 +
|page=258}}
  
 
« '''La beauté n’est jamais, ce me semble, qu’une ''promesse de bonheur''.''' »
 
« '''La beauté n’est jamais, ce me semble, qu’une ''promesse de bonheur''.''' »

Version du 29 juillet 2024 à 17:16

Stendhal.jpg

Citations

« Les Cosaques ! Les Cosaques ! Criait-on de tous les côtés. [...]

Après le mot cosaques il n’y vit exactement plus personne ; les fuyards avaient abandonné des shakos, des fusils, des sabres, etc. »

— Stendhal, La Chartreuse de Parme (1839), éd. Le Livre de Poche, 2000, p. 101-102


« [...] ils prennent l’étiolement de leur âme pour de la civilisation et de la générosité. »

— Stendhal, Vie de Henry Brulard (1835-1836), éd. Le Livre de Poche, 2013 (ISBN 9782253168089), p. 82


« Aujourd’hui, Messieurs, ce n’est plus un homme qu’il faut immoler, c’est Paris. Toute la France copie Paris. À quoi bon armer vos cinq cents hommes par département ? Entreprise hasardeuse et qui n’en finira pas. À quoi bon mêler la France à la chose qui est personnelle à Paris ? Paris seul avec ses journaux et ses salons a fait le mal ; que la nouvelle Babylone périsse. »

— Stendhal, Le Rouge et le Noir (1830), éd. Gallimard, 2002 (ISBN 9782070412396), p. 514


« [...] l’église de France semble avoir compris que les livres sont ses vrais ennemis. »

— Stendhal, Le Rouge et le Noir (1830), éd. Gallimard, 2002 (ISBN 9782070412396), p. 258


« La beauté n’est jamais, ce me semble, qu’une promesse de bonheur. »

— Stendhal, Rome, Naples et Florence (1817), éd. Michel Lévy frères, 1854, p. 30