Différences entre les versions de « Discussion:Julius Evola »
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"La brutalité qui caractérise incontestablement les Américains peut bien être considérée comme un caractère nègre. Dans les jours heureux de ce qu’Eisenhower n’a pas eu honte d’appeler la « Croisade en Europe », ainsi que dans les premiers temps de l’occupation, nous avons eu l’occasion d’observer les formes typiques de cette brutalité, mais nous avons vu aussi que, parfois, les « blancs » américains allaient encore plus loin dans ce domaine que leurs camarades nègres, dont ils partageaient pourtant souvent l’infantilisme." | "La brutalité qui caractérise incontestablement les Américains peut bien être considérée comme un caractère nègre. Dans les jours heureux de ce qu’Eisenhower n’a pas eu honte d’appeler la « Croisade en Europe », ainsi que dans les premiers temps de l’occupation, nous avons eu l’occasion d’observer les formes typiques de cette brutalité, mais nous avons vu aussi que, parfois, les « blancs » américains allaient encore plus loin dans ce domaine que leurs camarades nègres, dont ils partageaient pourtant souvent l’infantilisme." | ||
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+ | — Julius Evola, L'Amérique négrifiée (1968) | ||
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+ | "[...] des « affinités électives » très singulières ont conduit l’Amérique, par un processus de régression et de primitivisation, à imiter les N***** [...] l’Amérique a choisi d’imiter les Noirs et les Afro-Cubains, et c’est à partir de l’Amérique que la contagion s’est progressivement étendue à tous les autres pays." | ||
— Julius Evola, L'Amérique négrifiée (1968) | — Julius Evola, L'Amérique négrifiée (1968) |
Version du 3 février 2024 à 21:29
«Entre la vraie droite et la droite économique, écrit Julius Evola, non seulement il n’y a pas identité, mais il y a même opposition précise» (Le fascisme vu de droite, Totalité, 1981, p. 24).
Textes
- https://www.revue-elements.com/le-peril-americain
- https://theatrum-belli.com/orientations-julius-evola
- https://www.cjoint.com/doc/20_05/JEdkAkLQEaV_Evola-Orientations.pdf
« Les cultures modernes sont des dévoreuses d’espace, les cultures traditionnelles furent des dévoreuses de temps. Les premières ont une fièvre vertigineuse de mouvement et de conquêtes territoriales, qui génère un arsenal infini de moyens mécaniques capable de réduire les plus grandes distances, d’abréger chaque intervalle, de contenir dans une sensation d’ubiquité tout ce qui se déploie dans la multitude des lieux […] Au contraire, les cultures traditionnelles furent vertigineuses par leur stabilité, leur identité et leur capacité à résister, inébranlablement, au cours du temps et de l’histoire : elles ont été capables d’exprimer jusque dans des formes sensibles et tangibles un symbole d’éternité. »
- Julius Evola, L’Arc et la Massue (L’arco e la clava), 1968
« La contemplation, c’est l’essence même de cette expérience héroïque : le regard devient circulaire et solaire, il n’y a plus que le ciel et des forces pures et libres qui reflètent et figent l’immensité dans le chœur titanique des sommets. »
- Julius Evola, Méditations du haut des cimes (Meditazioni delle vette)
"La brutalité qui caractérise incontestablement les Américains peut bien être considérée comme un caractère nègre. Dans les jours heureux de ce qu’Eisenhower n’a pas eu honte d’appeler la « Croisade en Europe », ainsi que dans les premiers temps de l’occupation, nous avons eu l’occasion d’observer les formes typiques de cette brutalité, mais nous avons vu aussi que, parfois, les « blancs » américains allaient encore plus loin dans ce domaine que leurs camarades nègres, dont ils partageaient pourtant souvent l’infantilisme."
— Julius Evola, L'Amérique négrifiée (1968)
"[...] des « affinités électives » très singulières ont conduit l’Amérique, par un processus de régression et de primitivisation, à imiter les N***** [...] l’Amérique a choisi d’imiter les Noirs et les Afro-Cubains, et c’est à partir de l’Amérique que la contagion s’est progressivement étendue à tous les autres pays."
— Julius Evola, L'Amérique négrifiée (1968)