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« Et d’abord le ciel et les continents, les plaines liquides, le globe luisant de la lune, les feux radieux de Titan, un souffle au-dedans les fait vivre ; infus dans les membres du monde, l’esprit en meut la masse entière et il se mêle dans ce grand corps. De là, races des hommes et des bêtes, vies des êtres qui volent et les monstres que sous le marbre de ses eaux porte la mer. »
 
« Et d’abord le ciel et les continents, les plaines liquides, le globe luisant de la lune, les feux radieux de Titan, un souffle au-dedans les fait vivre ; infus dans les membres du monde, l’esprit en meut la masse entière et il se mêle dans ce grand corps. De là, races des hommes et des bêtes, vies des êtres qui volent et les monstres que sous le marbre de ses eaux porte la mer. »
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Version actuelle datée du 29 septembre 2023 à 21:08

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Citations

« La Fortune seconde l’audace. »

— Virgile, Énéide, trad. Jacques Perret, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1991 (ISBN 9782070383450), partie X, p. 307


« Qui fut cause que l’Europe et l’Asie se dressèrent l’une contre l’autre et que les pactes furent brisés par un rapt clandestin ? »

— Virgile, Énéide, trad. Jacques Perret, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1991 (ISBN 9782070383450), partie X, p. 301


« [...] à toi de diriger les peuples sous ta loi, Romain, qu’il t’en souvienne — ce seront là tes arts, à toi — et de donner ses règles à la paix : respecter les soumis, désarmer les superbes. »

— Virgile, Énéide, trad. Jacques Perret, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1991 (ISBN 9782070383450), partie VI, p. 212


« Et d’abord le ciel et les continents, les plaines liquides, le globe luisant de la lune, les feux radieux de Titan, un souffle au-dedans les fait vivre ; infus dans les membres du monde, l’esprit en meut la masse entière et il se mêle dans ce grand corps. De là, races des hommes et des bêtes, vies des êtres qui volent et les monstres que sous le marbre de ses eaux porte la mer. »

— Virgile, Énéide, trad. Jacques Perret, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1991 (ISBN 9782070383450), partie VI, p. 208


« Toi, ne cède pas au malheur ; au contraire, va de l’avant, avec plus d’audace que ta fortune ne t’y autorisera. »

— Virgile, Énéide, trad. Jacques Perret, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1991 (ISBN 9782070383450), partie VI, p. 189