Différences entre les versions de « Modèle:Random quotations »
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{{quote-center|Toute guerre civile introduit l’étranger dans les affaires d’un pays.|[[Jacques Bainville]]}} | {{quote-center|Toute guerre civile introduit l’étranger dans les affaires d’un pays.|[[Jacques Bainville]]}} | ||
{{quote-center|La France est une œuvre de l’intelligence et de la volonté.|[[Jacques Bainville]]}} | {{quote-center|La France est une œuvre de l’intelligence et de la volonté.|[[Jacques Bainville]]}} | ||
− | {{quote-center| | + | {{quote-center|[...] le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l’homme et de la création.|[[Maurice Bardèche]]}} |
+ | {{quote-center|[...] dans la civilisation moderne, les capitaux, les puissances d’argent tendent à devenir les puissances suprêmes.|[[Maurice Barrès]]}} | ||
{{quote-center|Le peuple sera écrasé d’impôts, on fera emprunt sur emprunt ; après avoir épuisé le présent, on dévorera l’avenir.|[[Frédéric Bastiat]]}} | {{quote-center|Le peuple sera écrasé d’impôts, on fera emprunt sur emprunt ; après avoir épuisé le présent, on dévorera l’avenir.|[[Frédéric Bastiat]]}} | ||
{{quote-center|Il n’y a de grand parmi les hommes que le poète, le prêtre et le soldat.|[[Charles Baudelaire]]}} | {{quote-center|Il n’y a de grand parmi les hommes que le poète, le prêtre et le soldat.|[[Charles Baudelaire]]}} | ||
{{quote-center|Il n’y a rien d’intéressant sur la terre que les religions.|[[Charles Baudelaire]]}} | {{quote-center|Il n’y a rien d’intéressant sur la terre que les religions.|[[Charles Baudelaire]]}} | ||
{{quote-center|N’importe où ! n’importe où ! pourvu que ce soit hors de ce monde !|[[Charles Baudelaire]]}} | {{quote-center|N’importe où ! n’importe où ! pourvu que ce soit hors de ce monde !|[[Charles Baudelaire]]}} | ||
+ | {{quote-center|[...] le ludique de la consommation s’est substitué progressivement au tragique de l’identité.|[[Jean Baudrillard]]}} | ||
{{quote-center|[...] le degré d’homogénéité des sociétés occidentales actuelles excède largement celui des sociétés totalitaires du siècle passé.|[[Vu de droite - Alain de Benoist|Alain de Benoist]]}} | {{quote-center|[...] le degré d’homogénéité des sociétés occidentales actuelles excède largement celui des sociétés totalitaires du siècle passé.|[[Vu de droite - Alain de Benoist|Alain de Benoist]]}} | ||
{{quote-center|Le désir d’égalité, succédant au désir de liberté, fut la grande passion des temps modernes. Celle des temps postmodernes sera le désir d’identité.|[[Vu de droite - Alain de Benoist|Alain de Benoist]]}} | {{quote-center|Le désir d’égalité, succédant au désir de liberté, fut la grande passion des temps modernes. Celle des temps postmodernes sera le désir d’identité.|[[Vu de droite - Alain de Benoist|Alain de Benoist]]}} | ||
{{quote-center|La menace principale, aujourd’hui, quelle est-elle ? Elle est la disparition progressive de la diversité du monde.|[[Vu de droite - Alain de Benoist|Alain de Benoist]]}} | {{quote-center|La menace principale, aujourd’hui, quelle est-elle ? Elle est la disparition progressive de la diversité du monde.|[[Vu de droite - Alain de Benoist|Alain de Benoist]]}} | ||
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{{quote-center|L’inégalité est une condition du développement de la culture.|[[Nicolas Berdiaev]]}} | {{quote-center|L’inégalité est une condition du développement de la culture.|[[Nicolas Berdiaev]]}} | ||
+ | {{quote-center|L’homme sans Dieu cesse d’être homme [...].|[[Nicolas Berdiaev]]}} | ||
{{quote-center|Un monde gagné pour la Technique est perdu pour la Liberté.|[[Georges Bernanos]]}} | {{quote-center|Un monde gagné pour la Technique est perdu pour la Liberté.|[[Georges Bernanos]]}} | ||
+ | {{quote-center|On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l’on n’admet pas d’abord qu’elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure.|[[Georges Bernanos]]}} | ||
{{quote-center|Il ne s’agit pas d’édifier à grand-peine des institutions libérales, il s’agit d’avoir encore des hommes libres à mettre dedans.|[[Georges Bernanos]]}} | {{quote-center|Il ne s’agit pas d’édifier à grand-peine des institutions libérales, il s’agit d’avoir encore des hommes libres à mettre dedans.|[[Georges Bernanos]]}} | ||
{{quote-center|Le monde moderne n’a pas le temps d’espérer, ni d’aimer, ni de rêver.|[[Georges Bernanos]]}} | {{quote-center|Le monde moderne n’a pas le temps d’espérer, ni d’aimer, ni de rêver.|[[Georges Bernanos]]}} | ||
{{quote-center|Combien d’âmes réellement vivantes dans ce grouillement d’êtres humains ?|[[Léon Bloy]]}} | {{quote-center|Combien d’âmes réellement vivantes dans ce grouillement d’êtres humains ?|[[Léon Bloy]]}} | ||
+ | {{quote-center|J’attends les Cosaques et le Saint-Esprit.|[[Léon Bloy]]}} | ||
+ | {{quote-center|Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres.|[[Étienne de La Boétie]]}} | ||
+ | {{quote-center|[...] depuis l’Évangile jusqu’au Contrat Social, ce sont les livres qui ont fait les révolutions.|[[Louis de Bonald]]}} | ||
{{quote-center|Un réactionnaire [...] c’est un homme qui refuse de devenir un individu.|[[Abel Bonnard]]}} | {{quote-center|Un réactionnaire [...] c’est un homme qui refuse de devenir un individu.|[[Abel Bonnard]]}} | ||
{{quote-center|L’ordre est le nom social de la beauté.|[[Abel Bonnard]]}} | {{quote-center|L’ordre est le nom social de la beauté.|[[Abel Bonnard]]}} | ||
{{quote-center|Parmi toutes les causes de faiblesse qui affectent l’action des nations blanches, la plus profonde, de beaucoup, est de n’avoir pas de doctrine.|[[Abel Bonnard]]}} | {{quote-center|Parmi toutes les causes de faiblesse qui affectent l’action des nations blanches, la plus profonde, de beaucoup, est de n’avoir pas de doctrine.|[[Abel Bonnard]]}} | ||
− | {{quote-center| | + | {{quote-center|Quand une fois on a trouvé le moyen de prendre la multitude par l’appât de la liberté, elle suit en aveugle, pourvu qu’elle en entende seulement le nom.|[[Jacques-Bénigne Bossuet]]}} |
{{quote-center|Mais l’âge de la chevalerie est passé. Celui des sophistes, des économistes et des calculateurs lui a succédé [...].|[[Edmund Burke]]}} | {{quote-center|Mais l’âge de la chevalerie est passé. Celui des sophistes, des économistes et des calculateurs lui a succédé [...].|[[Edmund Burke]]}} | ||
{{quote-center|[...] je m’ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde.|[[Albert Camus]]}} | {{quote-center|[...] je m’ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde.|[[Albert Camus]]}} | ||
+ | {{quote-center|Nous crevons d’être sans légende, sans mystère, sans grandeur. Les cieux nous vomissent.|[[Les Beaux Draps - Louis-Ferdinand Céline|Louis-Ferdinand Céline]]}} | ||
+ | {{quote-center|La démocratie partout et toujours, n’est jamais que le paravent de la dictature juive.|[[Louis-Ferdinand Céline]]}} | ||
{{quote-center|Le monde moderne est saturé des vieilles vertus chrétiennes virant à la folie.|[[Gilbert Keith Chesterton]]}} | {{quote-center|Le monde moderne est saturé des vieilles vertus chrétiennes virant à la folie.|[[Gilbert Keith Chesterton]]}} | ||
{{quote-center|On ne détruit une civilisation que lorsqu’on détruit ses dieux.|[[Emil Cioran]]}} | {{quote-center|On ne détruit une civilisation que lorsqu’on détruit ses dieux.|[[Emil Cioran]]}} | ||
{{quote-center|Où aller, où demeurer ? et que chercher encore dans le brouhaha d’une planète babylonisée ?|[[Emil Cioran]]}} | {{quote-center|Où aller, où demeurer ? et que chercher encore dans le brouhaha d’une planète babylonisée ?|[[Emil Cioran]]}} | ||
− | {{quote-center|[...] | + | {{quote-center|[...] le capitalisme a produit la société civile, ce que Hegel appelait “la Bête Sauvage” : une société qui n’est plus qu’un marché [...].|[[Michel Clouscard]]}} |
+ | {{quote-center|Douleur après douleur, souffrance après souffrance, supplice après supplice, blessure après blessure sur nos corps et dans nos âmes, tombe après tombe : ainsi vaincrons-nous.|[[Corneliu Zelea Codreanu]]}} | ||
{{quote-center|[...] prions l’autorité de rester dans ses limites ; qu’elle se borne à être juste. Nous nous chargerons d’être heureux.|[[Benjamin Constant]]}} | {{quote-center|[...] prions l’autorité de rester dans ses limites ; qu’elle se borne à être juste. Nous nous chargerons d’être heureux.|[[Benjamin Constant]]}} | ||
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{{quote-center|Le spectacle est le moment où la marchandise est parvenue à l’occupation totale de la vie sociale.|[[La Société du spectacle - Guy Debord|Guy Debord]]}} | {{quote-center|Le spectacle est le moment où la marchandise est parvenue à l’occupation totale de la vie sociale.|[[La Société du spectacle - Guy Debord|Guy Debord]]}} | ||
{{quote-center|L’économie transforme le monde, mais le transforme seulement en monde de l’économie.|[[La Société du spectacle - Guy Debord|Guy Debord]]}} | {{quote-center|L’économie transforme le monde, mais le transforme seulement en monde de l’économie.|[[La Société du spectacle - Guy Debord|Guy Debord]]}} |
Version du 14 mai 2020 à 20:59
« | Et si les sentiments généreux et libres de notre ville sont si fermes, si sains et si naturellement hostiles au barbare, c’est que nous sommes des Grecs pur sang, sans mélange de barbares.
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» |
Platon |