Différences entre les versions de « Discussion:Napoléon Bonaparte »

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« Nous devons considérer les juifs non seulement comme une race distincte, mais comme un peuple étranger. Ce serait une humiliation trop grande pour la Nation Française d’être gouvernée par la race la plus basse du monde… Je ne puis regarder comme des Français ces juifs qui sucent le sang des véritables Français. Si je ne faisais rien, le résultat serait la spoliation d’une multitude de familles par des usuriers rapaces et sans pitié […] Je fais remarquer de nouveau qu'on ne se plaint point des protestants ni des catholiques comme on se plaint des Juifs; c'est que le mal que font les Juifs ne vient pas des individus mais de la constitution même de ce peuple; ce sont des chenilles, des sauterelles qui ravagent la France. » (Au Conseil d’État, le 6 avril 1806)
 
« Nous devons considérer les juifs non seulement comme une race distincte, mais comme un peuple étranger. Ce serait une humiliation trop grande pour la Nation Française d’être gouvernée par la race la plus basse du monde… Je ne puis regarder comme des Français ces juifs qui sucent le sang des véritables Français. Si je ne faisais rien, le résultat serait la spoliation d’une multitude de familles par des usuriers rapaces et sans pitié […] Je fais remarquer de nouveau qu'on ne se plaint point des protestants ni des catholiques comme on se plaint des Juifs; c'est que le mal que font les Juifs ne vient pas des individus mais de la constitution même de ce peuple; ce sont des chenilles, des sauterelles qui ravagent la France. » (Au Conseil d’État, le 6 avril 1806)
 
« '''Le canon a tué la féodalité ; l’encre tuera la société moderne.''' »
 
  
 
« La première des vertus est le dévouement à la patrie. »
 
« La première des vertus est le dévouement à la patrie. »
  
 
« Les peuples passent, les trônes s'écroulent, l'Église demeure. »
 
« Les peuples passent, les trônes s'écroulent, l'Église demeure. »

Version du 9 juillet 2024 à 13:31

« Les Juifs sont un vilain peuple, poltron et cruel. » (28 août 1817, Sainte-Hélène)

« Nous devons considérer les juifs non seulement comme une race distincte, mais comme un peuple étranger. Ce serait une humiliation trop grande pour la Nation Française d’être gouvernée par la race la plus basse du monde… Je ne puis regarder comme des Français ces juifs qui sucent le sang des véritables Français. Si je ne faisais rien, le résultat serait la spoliation d’une multitude de familles par des usuriers rapaces et sans pitié […] Je fais remarquer de nouveau qu'on ne se plaint point des protestants ni des catholiques comme on se plaint des Juifs; c'est que le mal que font les Juifs ne vient pas des individus mais de la constitution même de ce peuple; ce sont des chenilles, des sauterelles qui ravagent la France. » (Au Conseil d’État, le 6 avril 1806)

« La première des vertus est le dévouement à la patrie. »

« Les peuples passent, les trônes s'écroulent, l'Église demeure. »